Personne n’est surpris que les pièces de monnaie ne soient pas percées au centre ? (comme sur la photo sur kickstarter)
Les pièces de Loyang sont percées mais il y en a pas assez
On trouve beaucoup de pièces de monnaie “deluxe” un peu partout, mais est-ce que ça existe pour cette monnaie ?
passager57 dit :On trouve beaucoup de pièces de monnaie "deluxe" un peu partout, mais est-ce que ça existe pour cette monnaie ?
Je ne suis pas sûr de comprendre ta question; les pieces à IKI sont des imitations de monnaies de l'époque Edo. si tu cherches des versions en metal, il y en a chez fantasy coins http://www.fantasycoin.com/. J'en ai commandé lors de leur dernier KS et je devrai les recevoir le mois prochain, je ferai un retour ici.
khaali dit :passager57 dit :On trouve beaucoup de pièces de monnaie "deluxe" un peu partout, mais est-ce que ça existe pour cette monnaie ?Je ne suis pas sûr de comprendre ta question; les pieces à IKI sont des imitations de monnaies de l'époque Edo. si tu cherches des versions en metal, il y en a chez fantasy coins http://www.fantasycoin.com/. J'en ai commandé lors de leur dernier KS et je devrai les recevoir le mois prochain, je ferai un retour ici.
Superbe tu as répondu à ma question :-) je vais aller voir ce site
Sinon ce que je voulais dire c'est que les pièces cartonnées de la boîte n'ont pas le trou au centre (alors que sur la photo sur kickstarter on a l'impression que oui)
Hmm il y a quand même une chose dont je ne suis pas sûr en lisant les post précédents : concernant la carte “puppy maker” permettant de switcher 2 cartes entre elle, bouge t’on également les artisans associés au carte ? la logique voudrait que oui mais ce n’est pas vraiment précisé dans la règle
merci
Serge A. Storms dit :Hmm il y a quand même une chose dont je ne suis pas sûr en lisant les post précédents : concernant la carte "puppy maker" permettant de switcher 2 cartes entre elle, bouge t'on également les artisans associés au carte ? la logique voudrait que oui mais ce n'est pas vraiment précisé dans la règle
merci
Oui c'est juste un échange d'emplacement , donc chaque artisan conserve son niveau et son propriétaire
La carte et le pion sont indissociables selon l’esprit du jeu: le pion vert associé à la profession Puppy Maker constitue un unique personnage: l’artisan vert Puppy Maker.
Iki, a 3 joueurs, avec deux autres comparses, pas les mêmes que la dernière fois pour moi, et qui ont adoré eux aussi.
Je prends l’artisan produisant des sous, et décide d’être short en conso de riz pour optimiser le reste et tenter un bâtiment, ce que je n’avais pas pu faire la dernière fois et voir si ca pouvait marcher. Je choisis aussi les cartes bois pour en produire, je suis le seul, tant mieux. On me devance a l’incendie, ce qui me gêne pour choisir mes avancées, mais ça se gère, comme sur ma première partie. Je pense d’ailleurs qu’à 4 joueurs, ce genre de tactique ne doit pas être idéale. Au final, je prends le bâtiments à 28 points et prends soin de coller au score le reste du temps. L’option poisson, coûteuse en temps et en sous, paraît assez faible tout de même. Les incendies sont gérés pile poil a 3 joueurs et ne gênent pas tant que ca, je pense qu’à 4, ça doit pas être la même chose du tout.
Excellent, on adore bien sur. Le système de roue d’action avec action évolutive et variable rend le jeu très dynamique, et le scoring par manche est vraiment très intéressant et offre une interaction modérée mais juste ce qu’il faut pour un jeu de gestion
Pour en revenir à cet effet qui permet d’échanger deux artisans de place sur le plateau, si cet échange doit concerner une case boutique avec surcoût de 2, l’artisan y arrivant doit il payer à votre avis ?
Je ne crois pas qu’il faille payer pour échanger avec un emplacement à deux, ça semble bizarre.
Sinon, j’ai déjà gagné grâce aux poissons (29 points pour une collection complète comprenant les deux poissons à points) alors que Ts Léodagan m’avait brillamment soufflé sous le nez le bâtiment que je visais.
ElGrillo dit :
Pour en revenir à cet effet qui permet d'échanger deux artisans de place sur le plateau, si cet échange doit concerner une case boutique avec surcoût de 2, l'artisan y arrivant doit il payer à votre avis ?
Non, c'est justement un des interets de cette compétence.
Huitième partie de IKI jeudi soir au Flash avec Valérie “Tad” et Seb “Moosmi”. Pour la première fois nous jouerons avec la « vraie » règle, en n’oubliant pas le cinquième nagaya formé par les quatres boutiques centrales. L’auteur avait fait l’impasse sur cette règle lors de ma partie de découverte à Essen, et depuis lors j’expliquais la règle sur cette base. Seb qui a lu la règle, lui, nous a remis sur les rails.
Démarrage un peu poussif pour moi, sans un plan bien arrêté en tête. Les artisans à l’embauche ne sont pas mes favoris. Je démarre avec celui qui, une fois à la retraite, me permettra de bouger d’une case de plus que ne permet mon style de vie. La dernière fois il ne m’a pas réussi (voir « la partie de la désillusion » en page 2). Fort de cette expérience de je sais qu’il faut soigner mon revenu et je me retrouve rapidement à la tête de quelques artisans rapportant soit du riz et soit du fric.
Du coup, où sont mes points ? Un peu nulle part, je le crains. Côté bonus artisan, j’ai assuré tout juste deux couleurs… Pas génial. J’ai un peu de tabac, mais pas question –ce qui avait été un peu mon intention reconnaissons-le humblement– de le truster ; Seb, le petit salopard, m’a bien coupé l’herbe sous le pied. Côté poisson, Seb est en bonne position pour se faire la totale et je n’ai jamais été dans le timing pour le contrer. Côté matériaux de construction, je suis bon dernier avec un pauvre petit bout de bois derrière Seb et Valérie qui domine ce secteur. Côte nagaya bonus, je joue (enfin !) à peu près correctement ce qui me permet tout juste de rester dans le peloton sur la piste de score, les autres le jouant au moins aussi bien que moi.
Bref, ça craint !
Inutile de lutter là où je suis dominé, il me faut une stratégie à contretemps des autres. Mon seul point fort : J’ai beaucoup d’artisans à la retraite. Le revenu qu’ils m’assurent me laisse une grande liberté d’action.
Je décide de truster les artisans à points, en essayant autant que possible de les placer par familles pour maxer les nagaya bonus. Ça marche ! Au décompte de l’automne je m’envole enfin sur la piste de score. Renonçant à toute ambition sur les bâtiments, j’embauche un artisan qui me permet d’échanger le bois contre cinq points. Grâce à lui, je valorise mon petit bout de bois avec la quasi-certitude que les autres n’en feront jamais autant… ils gardent leurs ressources dans l’espoir de construire des bâtiments (rire sardonique à la clé bien sûr).
L’artisan « +1 déplacement », révèle enfin la puissance dont je n’avais pas su jouer lors de « la partie de la désillusion » : en me plaçant un cran plus tôt sur la piste de style de vie je peux choisir mes artisans plus tôt sur le marché. Ça n’a l’air de rien, mais usant et abusant de ce privilège, je ne ressentirai plus aucune contrainte sur le choix de mes artisans ou de mes actions jusqu’à la fin de partie, et maximiseria sans difficulté le bonus artisan qui m’inquiétait tant en début de partie. Seb et Valérie me semblent beaucoup plus contraints sur leur choix d’artisans en fin de partie, et ne réaliseront pas un gros score sur ce plan.
Valérie gagne la lutte pour les bâtiments et en construit deux : le petit bâtiment à dix points et le bâtiment « bonus pompier » (20 points grâce à son score de dix sur l’échelle de lutte contre le feu). Seb ne pourra pas lutter sur ce plan, mais assure la totale en poissons pour 29 points (15 points pour un poisson de chaque saison plus 14 points pour avoir les deux poissons de luxe à sept points bonus chaque).
C’est la première partie que je vois où personne ne marque de gros points lors du treizième tour bonus ; chacun se contentant d’aller acheter un koban d’or valant trois points au décompte.
Au final, je gagne assez largement, Seb et Valérie étant dans un mouchoir de poche loin derrière. On peut donc gagner sans aucun bâtiment, ni poisson, ni beaucoup de tabac… Ce jeu se révèle plus riche que je ne croyais à chaque nouvelle partie. Vivement la prochaine !
sanjuro dit :
Au final, je gagne assez largement, Seb et Valérie étant dans un mouchoir de poche loin derrière. On peut donc gagner sans aucun bâtiment, ni poisson, ni beaucoup de tabac… Ce jeu se révèle plus riche que je ne croyais à chaque nouvelle partie. Vivement la prochaine !
C'est le constat que j'avais fait lors de ma première partie, qui s'était soldé par une victoire avec cet état de fait, ce qui m'avais assez surpris d'ailleurs. La prise de bâtiments et de poissons n'étant pas obligatoire quand on a un bonus bâtiments de couleurs au max. C'est pour cela d'ailleurs que j'aime particulièrement l'artisan qui permet de se transformer, quand il est à la retraite, en un artisan de la couleur de son choix.
Merci pour ce compte rendu. Je n'ai pas encore joué à 4 joueurs, j'imagine que les incendies doivent être plus ravageurs et la course au recrutement bien plus tendue.
Merci pour vos retours Vivement la livraison
ça fait envie
Compte rendu de la 1ère partie
Iki à 4j: ma première d’un jeu hyper bien calibré, vraiment excellent. Même s’il y a différentes pistes sur le plateau, et différentes voies de score, en un tour de jeu on voit clairement où on va. Cette fluidité nous permet de conduire une stratégie définie. C’est simple et profond à la fois!
A tout cela s’ajoutent des choix cornéliens mais non paralysants (se déplacer vite dans la rue mais alors jouer en dernier…) , des prises de risque (aller haut sur la piste Ikizama de lutte contre incendie ou pas) et des petits coups fourrés avec les artisans qui partent à la retraite ou des blocages sur la piste conditions de vie…
Pour l’instant le seul petit bémol est peut être la piste Ikizama trop prépondérante à 4j pour ne pas être contraint dans le jeu par sa place dans le tour.
C’est sûr que j’y reviendrai souvent autant que je peux!
Le premier gagne avec 100pts en étant complet pipes, poissons, un bâtiment (2 iki par niveau incendie), et c’est cemlui qui avait le plus d’artisans retraités.
Questions: les artisans violet ont un spéciale d’expérience qui s’active à la retraite mais il en est un dont cette bande ne fait que 2/3 de la place disponible. Quel intérêt vu que ce pouvoir n’est valable qu’à la retraite?
A quoi servent les Kobuns en trop?
Peut on délibérément ne pas nourrir un artisan même si on a de quoi le nourrir (intéressant au dernier décompte pour garder du riz pour le bâtiment riz/iki)?
Merci pour vos retours et merci à Sanjuro, Govin et consorts qui ont mis en avant ce magnifique jeu
bacoun dit :
il en est un dont cette bande ne fait que 2/3 de la place disponible. Quel intérêt vu que ce pouvoir n'est valable qu'à la retraite?
Merci pour vos retours et merci à Sanjuro, Govin et consorts qui ont mis en avant ce magnifique jeu
Je ne sais pas si je comprends bien ta question. Tu parles d'un artisan qui ne possède que deux stades d'évolution avant d'être retraité et qui n'offre aucun intérêt pour les autres joueurs. Si c'est cela, à toi de le faire vieillir au plus vite pour bénéficier de son pouvoir, en passant par la case départ qui te permet de faire évoluer tous tes artisans et en utilisant le pouvoir de certains artisans qui permet de faire évoluer les siens.
Si j'ai contribué à ce que tu passes de bons moments autour de ce jeu, j'en suis ravi.
bacoun dit :
Questions: les artisans violet ont un spéciale d'expérience qui s'active à la retraite mais il en est un dont cette bande ne fait que 2/3 de la place disponible. Quel intérêt vu que ce pouvoir n'est valable qu'à la retraite?
Cela signifie qu'il démarre sa carrière directement au niveau 2. Il prend sa retraite plus vite.
A quoi servent les Kobuns en trop?
Je me suis posé la même question. Je crois qu'ils sont juste en trop.
Peut on délibérément ne pas nourrir un artisan même si on a de quoi le nourrir (intéressant au dernier décompte pour garder du riz pour le bâtiment riz/iki)?
Tel que c'est libellé dans la règle "payez le riz", je dirais que c'est obligatoire. C'est comme ça que Koota nous l'a fait jouer à Essen me semble-t'il.
bacoun dit :
A quoi servent les Kobuns en trop?
J'imagine que tu parles des Kobans : ceux qui te restent à la fin du jeu sont transformés en points de IKI (3 pts par Koban).
Peut on délibérément ne pas nourrir un artisan même si on a de quoi le nourrir (intéressant au dernier décompte pour garder du riz pour le bâtiment riz/iki)?
Je ne crois pas, mais c'est vrai que ce n'est pas explicite dans la règle. Je demanderai à Koota.
Si tu contactes Koota, j’aimerais bien avoir son avis suite à deux parties à trois largements gagnées grâce à la même stratégie :
J’ignore les bâtiments, le poisson, le tabac et me concentre sur les artisans qui rapportent des points. Je maximise leur revenu en multipliant les tours de rue pour les faire vieillir le plus vite possible. Je passe mon temps à dépenser des sandales pour faire le tour de la rue à toute vitesse, m’arrêter sur la première boutique pour racheter des sandales, etc, etc…
Bien sûr je dois sélectionner de manière répétée des styles de vie à gros déplacements, donc choisir mes artisans en dernier, mais à trois joueurs comme à quatre, on révèle systématiquement quatre artisans à chaque début de tour. Le nombre d’artisans présents à l’embauche augmente donc mécaniquement et les choix sont beaucoup plus libres que dans une partie à quatre. Du coup, même en choisissant en dernier, je reste très libre pour choisir des artisans conformes à ma stratégie.
Cette stratégie s’est révèlée bien bourrine à trois et m’a permis d’écrabouiller impitoyablement mes zadversaires. Je me suis demandé s’il ne faudrait pas modifier un peu la règle et révéler un artisan par joueur plutôt que quatre systématiquement.
J’aimerais bien avoir l’opinion de Koota sur le sujet et savoir si la question s’était posé lors des parties de test.
Ok certains artisans sont plus expérimentés et commence au niveau 2; c’est bon à savoir!
Les Kobuns en trop c’est pour une future extension; certainement pas car le jeu se suffit à lui même!
C’est pour faire beau ou les japonais ne savent pas compter!!! Il y a aussi un disque en trop.
Quand au riz on l’a joué comme tu l’as dit Sanjuro, la règle dit “doit nourrir”…
Merci
sanjuro dit :Si tu contactes Koota, j'aimerais bien avoir son avis suite à deux parties à trois largements gagnées grâce à la même stratégie :
J’ignore les bâtiments, le poisson, le tabac et me concentre sur les artisans qui rapportent des points. Je maximise leur revenu en multipliant les tours de rue pour les faire vieillir le plus vite possible. Je passe mon temps à dépenser des sandales pour faire le tour de la rue à toute vitesse, m’arrêter sur la première boutique pour racheter des sandales, etc, etc…
Ca me surprend qu'une telle stratégie marche... c'est bien beau les sandales et les points, mais il faut de l'argent pour recruter tous ces artisans, il faut du riz pour les nourrir, il faut de la protection contre les incendies pour eviter qu'ils crament... Tu sais qu'a la fin du jeu, on ne peut compter qu'une seule série de couleurs, même si on a assez d'artisans pour en faire plusieurs?
khaali dit :sanjuro dit :Si tu contactes Koota, j'aimerais bien avoir son avis suite à deux parties à trois largements gagnées grâce à la même stratégie :
J’ignore les bâtiments, le poisson, le tabac et me concentre sur les artisans qui rapportent des points. Je maximise leur revenu en multipliant les tours de rue pour les faire vieillir le plus vite possible. Je passe mon temps à dépenser des sandales pour faire le tour de la rue à toute vitesse, m’arrêter sur la première boutique pour racheter des sandales, etc, etc…
Ca me surprend qu'une telle stratégie marche... c'est bien beau les sandales et les points, mais il faut de l'argent pour recruter tous ces artisans, il faut du riz pour les nourrir, il faut de la protection contre les incendies pour eviter qu'ils crament... Tu sais qu'a la fin du jeu, on ne peut compter qu'une seule série de couleurs, même si on a assez d'artisans pour en faire plusieurs?
Tout à fait. J'avais posé la question à Koota à Essen.
Pour une stratégie comme celle-ci, il faut savoir "amorcer la pompe" en envoyant d'abord à la retraite des arisans à riz qui vont nourrir les artisans à points sur le plateau. En passant parfois par la case "vente riz/sandales", on maintient un bon niveau de revenu, pour pouvoir embaucher les geisha ou samuraï qui rapportent des gros points...
Ca a marché d'une manière insolente lors de ma dernière partie. Butzé et Ts Léodagan en gardent un souvenir douloureux.
Mes seules sources de points ont été les "nagaya bonus" collectés en cours de partie, le bonus couleur : 25 points (relativement facile à assurer avec cette stratégie), et les revenus des artisans : quelque chose comme 15 points lors du décompte de l'automne et 25 points en hiver.
Cette stratégie me semble plus tendue à quatre, car le choix d'aritisans y est beaucoup plus contraint. D'où ma question.