Pffff. Je répète les deux premiers indices…
Vous pourriez dire que c’en est un
Mais il n’est pas le seul.
J’espère qu’un jour, on va se comprendre…
Un rêveur?
Mais euh…
sanjuro dit:Un rêveur?
Mais euh...
Mais euh quoi ?
Le rêveur est bien le titre de cette très belle chanson de Jacques Bertin, qui n'en a pas commis qu'une seule (même s'il excelle plus dans les textes que dans les musiques, faut être honnête).
La main à sanju.
Bon, ben hop!
Une petite rigolote pour se mettre le moral à zéro
ne me dites pas que vous ne la connaissez pas! dit:Dire que Fernand est mort
Dire qu’il est mort Fernand
Dire que je suis seul derrière
Dire qu’il est seul devant
Lui dans sa dernière bière
Moi dans mon brouillard
Lui dans son corbillard
Et moi dans mon désert
Devant y a qu’un cheval blanc
Derrière y a que moi qui pleure
Dire qu’y a même pas de vent
Pour agiter mes fleurs
Moi si j’étais le Bon Dieu
Je crois que j’aurais des remords
Dire que maintenant il pleut
Dire que Fernand est mort
Dire qu’on traverse Paris
Dans le tout petit matin
Dire qu’on traverse Paris
Et qu’on dirait Berlin
Toi toi toi tu sais pas tu dors
Mais c’est triste à mourir
D’être obligé de partir
Quand Paris dort encore
Moi je crève d’envie
De réveiller des gens
Je t’inventerai une famille
Juste pour ton enterrement
Et puis si j’étais le Bon Dieu
Je crois que je serais pas fier
Je sais on fait ce qu’on peut
Mais y a la manière
Tu sais je reviendrai
Je reviendrai souvent
Dans ce putain de champ
Où tu dois te reposer
L’été je te ferai de l’ombre
On boira du silence
A la santé de Constance
Qui se fout bien de ton ombre
Et puis les adultes sont tellement cons
Qu’ils nous feront bien une guerre
Alors je viendrai pour de bon
Dormir dans ton cimetière
Et maintenant Bon Dieu
Tu vas bien rigoler
Et maintenant Bon Dieu
Maintenant je vais pleurer
Brel, bien sûr
Fernand
Du coup, relance, prix de gros, trois extraits pour le prix d’un:
“Ceux qui mettent le bordel il faut les foutre dehors”
J’ai dit “et si ils sont nés ici, on les met où alors?”
Il a répondu “tu vas quand même pas me donner tort”
“On va pas parler racisme, on va pas être d’accord…”
…
Les femmes fonctionnent un peu comme des sortes d’animaux
Elles sont “vives”, elles s’emportent, mais oublient aussitôt
Un chien battu pardonne, parce qu’au fond il est gentil
Et ça c’est pas des conneries, c’est Bigard qui l’a dit
…
“Un immigré en France il nous coûte bien trop cher
Un immigré chez lui il nous coûte que le charter”
A ce moment précis, on touchait tellement le fond
Qu’il aurait juste manqué un accordéon…
Les Fatals Picards, “le mariage de Kevin et ma soeur”.
S'il vous plaît
Soyez comme le duvet
Soyez comme la plume d'oie
Des oreillers d'autrefois
J'aimerais
Ne pas être portefaix
S'il vous plaît, faites-vous légers
Moi, je ne peux plus bouger
Je vous ai portés vivants
Je vous ai portés enfants
Dieu ! Comme vous étiez lourds
Pesant votre poids d'amour
Je vous ai portés encore
À l'heure de votre mort
Je vous ai porté des fleurs
Vous ai morcelé mon cœur
Quand vous jouiez à la guerre
Moi, je gardais la maison
J'ai usé de mes prières
Les barreaux de vos prisons
Quand vous mourriez sous les bombes
Je vous cherchais en hurlant
Me voilà comme une tombe
Et tout le malheur dedans
Ce n'est que moi
C'est elle ou moi
Celle qui parle ou qui se tait
Celle qui pleure ou qui est gaie
C'est Jeanne d'Arc ou bien Margot
Fille de vague ou de ruisseau
Et c'est mon cœur
Ou bien le leur
Et c'est la sœur ou l'inconnue
Celle qui n'est jamais venue
Celle qui est venue trop tard
Fille de rêve ou de hasard
Et c'est ma mère
Ou la vôtre
------------------------
Il vous faut
Être comme le ruisseau
Comme l'eau claire de l'étang
Qui reflète et qui attend
S'il vous plaît
Regardez-moi ! Je suis vraie
Je vous prie, ne m'inventez pas
Vous l'avez tant fait déjà
Vous m'avez aimée servante
M'avez voulue ignorante
Forte, vous me combattiez
Faible, vous me méprisiez
Vous m'avez aimée putain
Et couverte de satin
Vous m'avez faite statue
Et toujours je me suis tue
Quand j'étais vieille et trop laide
Vous me jetiez au rebut
Vous me refusiez votre aide
Quand je ne vous servais plus
Quand j'étais belle et soumise
Vous m'adoriez à genoux
Me voilà comme une église
Toute la honte dessous
Ce n'est que moi
C'est elle ou moi
Celle qui aime ou n'aime pas
Celle qui règne ou se débat
C'est Joséphine ou la Dupont
Fille de nacre ou de coton
Et c'est mon cœur
Ou bien le leur
Celle qui attend sur le port
Celle des monuments aux morts
Celle qui danse et qui en meurt
Fille-bitume ou fille-fleur
Et c'est ma mère
Ou la vôtre
------------------------
S'il vous plaît
Soyez comme je vous ai
Vous ai rêvés depuis longtemps
Libres et forts comme le vent
Libre aussi
Regardez, je suis ainsi
Apprenez-moi, n'ayez pas peur
Pour moi, je vous sais par cœur
J'étais celle qui attend
Mais je peux marcher devant
J'étais la bûche et le feu
L'incendie aussi, je peux
J'étais la déesse mère
Mais je n'étais que poussière
J'étais le sol sous vos pas
Et je ne le savais pas
Mais un jour la terre s'ouvre
Et le volcan n'en peut plus
Le sol se rompant découvre
Des richesses inconnues
La mer à son tour divague
De violence inemployée
Me voilà comme une vague
Vous ne serez pas noyés
Ce n'est que moi
C'est elle ou moi
Et c'est l'ancêtre ou c'est l'enfant
Celle qui cède ou se défend
C'est Gabrielle ou bien Éva
Fille d'amour ou de combat
Et c'est mon cœur
Ou bien le leur
Celle qui est dans son printemps
Celle que personne n'attend
Et c'est la moche ou c'est la belle
Fille de brume ou de plein ciel
Et c'est ma mère
Ou la vôtre
------------------------
S'il vous plaît
S'il vous plaît, faites-vous légers
Moi, je ne peux plus bouger
Le titre de la chanson a été remplacé par des tirets, sinon, c'est un chouïa trop facile (mais c'est quand même une chanson assez connue je pense).
“Une sorcière comme les autres” d’Anne Sylvestre.
Pô tout neuf, ça
Dod dit:"Une sorcière comme les autres" d'Anne Sylvestre.
Pô tout neuf, ça
C'est pas franchement un signe de mauvaise qualité

Allez, une d’actualité:
Des sapins dans les vitrines
De la neige sur les collines
C’est le temps des [titre] !
Les visiteurs de Noel C’était un dessin animé pour une émission,non?
Tout à coup, je me sens plus joyeux.
bertrand dit:Les visiteurs de Noel C'était un dessin animé pour une émission,non?
C'était le générique de l'émission éponyme

grolapinos dit:Tout à coup, je me sens plus joyeux.
Oué hein !


A toi Bertrand
Une pour Grolap?
c’était vingt-deux heures à peine, ce vendredi-là
C’était veille de Noël et, pour fêter ça,
Il s’en allait chez Madeleine près du Pont d’ l’Alma
Elle aurait eu tant de peine qu’il ne vienne pas
Fêter Noël, fêter Noël
En smoking de velour vert, en col roulé blanc
Et le cœur en bandoulière, marchant à pas lents
A pied, il longeait la Seine tout en sifflotant
Puisqu’il allait chez Madeleine, il avait bien l’ temps
Charmant Noël, charmant Noël
C’était vingt-deux heures à peine, ce vendredi-là
C’était veille de Noël et, pour fêter ça,
Elle s’en allait chez Jean-Pierre, près du Pont d’ l’Alma
Il aurait eu tant de peine qu’elle ne vienne pas
Fêter Noël, fêter Noël
Bottée noire souveraine et gantée de blanc
Elle allait pour dire “Je t’aime” marchant d’un pas lent
A pied, elle longeait la Seine tout en chantonnant
Puisqu’elle allait chez Jean-Pierre, elle avait bien l’ temps
Mmh mhm mhm, charmant Noël
Or, voilà que sur le pont ils se rencontrèrent
Ces deux-là qui s’en venaient d’un chemin contraire
Lorsqu’il la vit si belle des bottes aux gants
Il se sentit infidèle jusqu’au bout des dents
“Joyeux Noël” de Barbara. Je sens poindre un vague début de thématique dans vos chansons les gens
Est-ce vous que j'appelle
Ou vous qui m'appelez
Langage de mon père
Et patois dix-septième
Vous me faites voyage
Mal et mélancolie
Vous me faites plaisir
Et sagesse et folie
Il n'est coin de la terre
Où je ne vous entende
Il n'est coin de ma vie
À l'abri de vos bruits
Il n'est chanson de moi
Qui ne soit toute faite
Avec vos mots vos pas
Avec votre musique
Je vous entends rêver
Douce comme rivière
Je vous entends claquer
Comme voile du large
Je vous entends gronder
Comme chute en montagne
Je vous entends rouler
Comme baril de poudre
Je vous entends monter
Comme grain de quatre heures
Je vous entends cogner
Comme mer en falaise
Je vous entends passer
Comme glace en débâcle
Je vous entends demain
Parler de liberté
Gilles Vigneault !!! “Les gens de mon pays”
Allez, on continue dans le thème :
Ton palais c’est ta chambre
Ton Noël c’est décembre
Quand les nuits sont longues
Et qu’on habite au ciel
Aaaaah, je connais, mais ça vient pas…
grolapinos dit:"Joyeux Noël" de Barbara. Je sens poindre un vague début de thématique dans vos chansons les gens
A écouter de toute urgence a version des Innocents sur leur album "les innocent chantent Noël/ sing Christmas"