Aucun ange ne me plaindra Il ne reste que toi et moi Mes vêtements ne me vont plus J’ai marché tant de kilomètres Je crois que j’ n’en peux plus Maintenant la nuit tombe Mais je suis réveillé Et je sens que je m’éteins Alors, emporte-moi, mon frère Avec ce dernier baiser Emporte-moi loin
grolapinos dit:C'est une chanson sur le sida ? C'est bien Patriiiiiiiiiiiiiiiiick qui a traduit ça ? (pour du Bruel, c'est très acceptable comme texte, pour le coup )
C'est bien une chanson sur le Sida.
Bruel la chante en français avec Aubert. je ne sais qui l'a traduite par contre.
grolapinos dit:Un film sur le Sida ? Philadelphia ? Je l'ai vu mais je ne me souviens plus de la zique. EDIT : Hank-ore/Hanks. OK. La chanson s'appelle Philadelphia ?
Tu as le titre du film ainsi que de la chanson de Neil Young qui le cloture.
Il te manque juste l'Oscar 1993 de la meilleure chanson originale qui ouvre le film
C'est ma minute de bonté: Je me contenterai du titre original.
Roxxor ne relance pas et moi j’avais encore fait les 3/4 du boulot, alors prout et pis zut.
Cékidon qui dit:Tiens, c’est le fond de la bouteille Ça y est nous voilà vieux ma vieille Des vrais vieux qui trient les lentilles Des vieux de la tête aux béquilles Tiens voilà le bout de la rue On souffle comme, qui l’aurait cru Du temps qu’on vivait à grand pas Du temps qu’on leur en voulait pas Aux étoiles de disparaître. T’as beau dire qu’on nous rend le coeur Une fois vidé du meilleur Qu’ils ont pris le tronc et la force Qu’ils ne rapportent que l’écorce N’empêche c’est déjà moins con Que soit consigné le flacon Qu’après le festin on nous laisse Les arêtes de la vieillesse Le temps d’finir la cigarette. Tout ici a la soixantaine Ce café-là sent la verveine “Je t’aime” enfile ses chaussons L’amour jette ses paillassons Et la tête tourne soudain A relire le papier peint Où mille fois les chasseurs tuent Un grand cerf qui cherchait l’issue Entre la porte et la fenêtre. Il paraît qu’à un certain âge Plus ou moins l’esprit déménage Et qu’on a la raison qui tangue Et des cheveux blancs sur la langue Nous on doit être centenaires A rêver du bout de la terre Avoir des envies de Pérou Et entendre au-dessus du trou Ce bruit de pelletées qu’on jette.