[jeu] shabadabada : citer une année

On oublie tout, tous les barrages
Qui nous empêchaient d'exister
Quelque chose de neuf a tout changé
Quelque chose et ça m' fait avancer

On oublie tous les gens, tous les naufrages
Tous les bateaux, touchés, coulés
Je n'sais pas comment ça s'est passé
Je n'sais pas pourquoi j'ai plus peur d'aimer.

Elle dit j'imagine des musiques qui se dansent
Pour toi
Elle dit j'imagine des mots dans le silence
Pour toi
Des jours et des nuits où la vie recommence
Comme ça
Encore une fois
Et on démarre une autre histoire
Et on démarre une autre histoire
Mais ça c'est une autre histoire.

On oublie tout, tous les nuages
Qui nous cachaient la vérité
Tous les vents du large sont déchaînés
Tous les vents et ça m'fait pardonner

On oublie tous les jours, tous les mirages
Comme un soleil qui s'est couché
Je n'sais pas comment ça s'est passé
Je n'sais pas pourquoi j'ai plus peur d'aimer

Elle dit j'imagine des musiques qui se dansent
Pour toi
Elle dit j'imagine des mots dans le silence
Pour toi
Des jours et des nuits où la vie recommence
Comme ça
Encore une fois
Et on démarre une autre histoire
Et on démarre une autre histoire
Mais ça c'est une autre histoire
Mais ça c'est une autre histoire
Et on prend un nouveau départ

Et on démarre une autre histoire
Et on prend un nouveau départ
En laissant faire le hasard
C’est une autre histoire

Gérard Blanc Une autre histoire

L'espace d'un instant, j'ai cru entendre une histoire
Si le thème est navrant, j'en supprime quelques lignes
Mais il faut pourtant que chacun ait son histoire
Pathétique, hilarante, pour la vie ou juste pour un soir...


Westinghouse, l'histoire

il devrait y avoir moins de chose que pour girl :)

Ridan / le Quotidien

J'étais si môme, j'ai pas fait gaffe à la connerie de tous ces grands
Maintenant qu'j'le suis, j'suis tellement con que j'presse mon temps
Comme une orange
J'aurais voulu revoir Grand-Père pour qu'il m'raconte une belle histoire
J'aurais voulu revoir Grand-Père, y a plus de lumière et j'suis dans l'noir
D'un coup j'entends le brigadier qui m'interpelle comme un vieux sac
Le dos au mur, j'étais bloqué, c'était le corse, patron du SAC
Il m'dit : "Passe tout !", j'lui dis : "Passe-quoi ?"
Il m'dit : "Le tout !", j'lui dis qu'j'ai rien
Il m'dit : "Bougnoul !", j'lui dis : "Fon-bou !" et j'lui dis qu'l'Algérien
Il m'dit : "Au poste !", j'lui dis : "Pourquoi ?", il m'a frappé comme un maquereau
J'ai fait des yeux de merlan frit et j'ai filet
Comme un hareng

{Refrain: x4}
Tu veux qu'j'te dise, le quotidien, d'un maghrébin, quand t'as vingt ans ?

La ça va être plus dûr...

Je connais au moins ça :

Valérie s'ennuyait
Dans les bras de Nicolas
Mais Nicolas, celui-là
Ne le savait pas
Isabelle a attendu, attendu
Mais Patrick n'est jamais reparu

Les histoires d'A
Les histoires d'amour
Les histoires d'amour finissent mal
Les histoires d'amour finissent mal en général

Louise Attaque / Toute cette histoire

Toute cette histoire
est bien ancrée dans ma mémoire
et si quelqu'un vient s'en mêler
je crois que je vais craquer.

Je vous raconte une histoire
sortie de ma tête par hasard,
sortie d'un livre rouge et noir,
elle aime le rouge et le noir
je voudrais bien la revoir
et je peux pas te croire,
elle m'a prêté sa guitare,
elle était bordeaux et noir
je voudrais bien la revoir;

Toute cette histoire
est bien ancrée dans
ma mémoire et
si quelqu'un vient s'en mêler
je crois que je vais craquer...

Une bellle histoire
sortie de ma tête par hasard,
sortie d'un livre rouge et noir
elle aime le rouge et le noir
je voudrais bien la revoir
et je peux pas te croire,
elle m'a prêté sa guitare,
elle était bordeaux et noir
je voudrais bien la revoir;

Toute cette histoire
est bien ancrée dans
ma mémoire et
si quelqu'un vient s'en mêler
je crois que je vais craquer...

Hugues Auffray :

Ecoutez cette histoire
Que l'on m'a racontée.
Du fond de ma mémoire,
Je vais vous la chanter.
Elle se passe en Provence,
Au milieu des moutons,
Dans le sud de la France,
Au pays des santons.

Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est l'histoire {2x} ,
La façon dont on l'raconte
Pour se faire valoir.
L'important, dans la bataille,
C'est l'histoire {2x} ,
Qu'on découpe ou qu'on détaille
Selon l'auditoire.

Face aux Sarrazins d'Espagne,
En voyant son olifant,
Les soldats de Charlemagne
Disaient à Roland :
"Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est notoire {2x} ,
Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est l'histoire."

La glorieuse histoire de France
Est truffée d'assassinats,
De massacres et de violences
Et autres coups d'état.
Après tout, quand on y pense,
Bonaparte et Attila
Ont plus d'morts sur la conscience
Que Landru et Borgia.

C'est quand même un peu étrange,
Quand on repense au passé,
On dirait que les temps changent
Et qu'à la vérité
Ça n'est pas ce qu' on fait qui compte,
C'est l'histoire {2x} ,
La façon dont on l'raconte
Pour se faire bien voir.

L'important dans la bataille,
C'est l'histoire {2x} ,
Qu'on découpe ou qu'on détaille
Selon l'auditoire.
On inverse un peu les rôles,
On rajoute un petit morceau.
Ça rend les récits plus drôles,
Et pour être un héros,
À l'heure où l'on fait les comptes
Pour la gloire {2x} ,
Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est l'histoire.

L'aventure est éphémère,
Mais si la vie n'a qu'un temps,
Le récit qu'on peut en faire
Dure indéfiniment,
Et pour peu qu'on soit habile
À savoir où va le vent,
On peut être indélébile
Jusqu'à la fin des temps.

Comme le nez de Cléopâtre,
Dagobert son pantalon,
La poule au pot d'Henri quatre
Ou le vase de Soissons,
Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est l'histoire {2x} ,
La façon dont on l'raconte
Pour se faire bien voir.
L'important dans la bataille,
C'est l'histoire {2x}
Qu'on découpe ou qu'on détaille
Selon l'auditoire.

Dans les débats politiques
Juste avant les élections
Aux moments les plus critiques
À la télévision,
À l'heure où l'on fait les comptes,
C' est notoire {2x} ,
Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est l'histoire.

Lorsque par inadvertance,
Si on a vraiment besoin,
Dans des cas d'extrême urgence
On assomme un crétin,
On n'a pas toujours la chance
D'avoir les témoins pour soi,
Quand on est dans l'existence
Un peu maladroit.

Dans les grands procès d'assises,
On assiste quelquefois
À de drôles de vocalises
Et suivant l'avocat,
Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est l'histoire {2x} ,
La façon dont on l'raconte
Pour le faire savoir.

L'important dans la bataille
C'est l'histoire {2x}
Qu'on découpe ou qu'on détaille
Selon l'auditoire.

Combien de têtes victimes
D'un bon mot du procureur
Juste pour gagner l'estime
De ses supérieurs.
A l'heure où l'on fait les comptes
Pour la gloire {2x} ,
Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est notoire,
Ça n'est pas ce qu'on fait qui compte,
C'est l'histoire.

Yves Duteil "Ca n'est pas ce qu'on fait qui compte"

Dommage qu'on ne gagne pas un point par occurrence du mot :mrgreen:

Bonnie and Clyde de Serge Gainsbourg :

Vous avez lu l'histoire
De Jesse James
Comment il vécu
Comment il est mort
Ça vous a plus hein
Vous en d'mandez encore
Et bien
Ecoutez l'histoire
De Bonnie and Clyde

...

Téléphone - Cendrillon


Cendrillon pour ses vingt ans
Est la plus jolie des enfants
Son bel amant, le prince charmant
La prend sur son cheval blanc
Elle oublie le temps
Dans son palais d'argent
Pour ne pas voir qu'un nouveau jour se lève
Elle ferme les yeux et dans ses rêves
Elle part, jolie petite histoire x2

Cendrillon pour ses trente ans
Est la plus triste des mamans
Son bel amant a foutu l'camp
Avec la belle au bois dormant
Elle a vu cent chevaux blanc
Loin d'elle emmener ses enfants
Elle commence à boire
A traîner dans les bars
Emmitouflée dans son cafard
Maintenant elle fait le trottoir
Elle part, jolie petite histoire x2

Dix ans de cette vie ont suffit
A la changer en junkie
Et dans un sommeil infini
Cendrillon voit finir sa vie
Les lumières dansent
Dans son ambulance
Mais elle tue sa dernière chance
Tout ça n'a plus d'importance
Elle part
Fin de l'histoire

Notre père qui êtes si vieux
As-tu vraiment fais de ton mieux
Car sur la terre et dans les cieux
Tes anges n'aiment pas devenir vieux

C'est l'histoire d'une trêve que j'avais demandée
C'est l'histoire d'un soleil que j'avais espéré
C'est l'histoire d'un amour que je croyais vivant
C'est l'histoire d'un beau jour que moi petit enfant
Je voulais très heureux pour toute la planète
Je voulais, j'espérais que la paix règne en maître
En ce soir de Noël, mais tout a continué
Mais tout a continué, mais tout a continué

{Refrain: x2}
Non, non, rien n'a changé
Tout, tout, a continué
Hé ! Hé ! Hé ! Hé !

[...]

Les Poppys : Non, non, rien n'a changé.

Attention les oreilles je pioche dans les tubes années 80 :) :
Elsa & Glenn Medeiros / Un roman d'amitié


Un roman d'amitié
Qui s'élance comme un oiseau
Pas une histoire d'amour vacances
Qui finit dans l'eau
C'est un long roman d'amitié
Qui commence entre nous deux
Magique adolescence
Où tout est un jeu
Quand tu prends ma main tout va bien
Fais comme tu veux mais ne dis rien

On prendra le chemin bizarre
Celui de l'ignorance humaine
Loin de tout ces cons sans histoire
Que cultivent pourtant la haine
Contre tout ceux qui n'auront pas de môme, Jérome.

JEROME des OGRES DE BARBACK

Grand Corps Malade – Les voyages en train

J'crois qu'les histoires d'amour, c'est comme les voyages en train
Et quand j'vois tous ces voyageurs, parfois j'aimerais en être un
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?

Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins
Et l'histoire d'amour t'emporte, sous l'œil impuissant des témoins
Les témoins c'est tes potes, qui te disent au revoir sur le quai
Ils regardent le train s'éloigner, avec un sourire inquiet
Toi aussi tu leur fais signe et t'imagines leurs commentaires
Certains pensent que tu t'plantes, et qu't'as pas les pieds sur terre
Chacun y va d'son pronostic sur la durée du voyage
Pour la plupart le train va dérailler dès l'premier orage

Le grand amour change forcément ton comportement
Dès l'premier jour faut bien choisir ton compartiment
Siège couloir ou contre la vitre, il faut trouver la bonne place
Tu choisis quoi, une love story de première ou d'seconde classe ?

Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage
Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages
Tu te sens vivant, tu te sens léger, tu ne vois pas passer l'heure
T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le contrôleur

Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bat de l'aile
Toi tu te dis que tu n'y es pour rien, et que c'est sa faute à elle
Le ronronnement du train te saoule et chaque virage t'écœure
Faut que tu te lèves, que tu marches, tu vas te dégourdir le cœur

Et le train ralentit, c'est déjà la fin de ton histoire
En plus t'es comme un con, tes potes sont restés à l'autre gare
Tu dis au revoir à celle que t'appelleras désormais ton ex
Dans son agenda sur ton nom, elle va passer un coup de Tipp-Ex

C'est vrai que les histoires d'amour, c'est comme les voyages en train
Et quand je vois tous ces voyageurs, parfois j'aimerais en être un
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare ?
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard ?

Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train
A connaître ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain
Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur

Il est facile de prendre un train, encore faut-il prendre le bon
Moi je suis monté dans deux, trois rames mais c'était pas le bon wagon
Car les trains sont capricieux et certains sont inaccessibles
Et je ne crois pas tout le temps "qu'avec la SNCF, c'est possible"

Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grève
Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves
Et y a ceux qui foncent dans le premier train, sans faire attention
Mais forcément ils descendront déçus à la prochaine station
Y a celles qui flippent de s'engager, parce qu'elles sont trop émotives
Pour elles c'est trop risqué, de s'accrocher à la locomotive
Et y a les aventuriers qu'enchaînent voyage sur voyage
Dès qu'une histoire est terminée, ils attaquent une autre page

Moi après mon seul vrai voyage, j'ai souffert pendant des mois
On s'est quitté d'un commun accord, mais elle était plus d'accord que moi
Depuis je traîne sur le quai, je regarde les trains au départ
Y a des portes qui s'ouvrent, mais dans une gare je me sens à part

Il paraît que les voyages en train finissent mal en général
Si pour toi c'est le cas, accroche-toi et garde le moral
Car une chose est certaine : y aura toujours un terminus
Maintenant tu es prévenu, la prochaine fois tu prendras le bus

Sigurd dit:Hugues Auffray :
Ecoutez cette histoire
Que l'on m'a racontée.
Du fond de ma mémoire,
Je vais vous la chanter.
Elle se passe en Provence,
Au milieu des moutons,
Dans le sud de la France,
Au pays des santons.


sans vouloir abuser, tu aurais le titre de cette chanson?

Sinon, pour rester dans le sujet:

Joe Dassin, Billy le Bordelais

Prince du Coumarquis(,) ou Monsieur de Bordeau,
ton sang est fait de vin, bien plus qu'il ne l'est d'eau!
aussi je te dédis cette histoire attachante
espérent que demain toi aussi tu la chante!

Sulfur-e dit:
Sigurd dit:Hugues Auffray :
Ecoutez cette histoire
Que l'on m'a racontée.
Du fond de ma mémoire,
Je vais vous la chanter.
Elle se passe en Provence,
Au milieu des moutons,
Dans le sud de la France,
Au pays des santons.

sans vouloir abuser, tu aurais le titre de cette chanson?


Non non t'abuses pas.
Le Petit âne gris il me semble..

Que me revienne en mémoire cette histoire qui est la tienne
Tu sais, j’ai du mal à croire que tu sois née arménienne
Ainsi d’un autre pays, d’un autre temps, d’un autre lieu
Ainsi jadis tu as souri et tu pensais vivre mieux

J’ai du mal et, quel hasard, devant ma télévision
On ne me parle de ton histoire qu’en pire sujet d’information
Pour couronner sans importance des années de guerre truquée
La terre tremble comme je pense que tu n’y es jamais retournée

J’irai voir en harmonie, j’irai découvrir ce mystère
Qui m’a laissé comme je suis, étonné, curieux mais amer
Et si je croise, belle surprise, un frère, un cousin, une cousine
Je lui parlerai de l’emprise de tes câlins, de ta cuisine

Tu es partie et maintenant tu me laisses à l’écriture
Dont je connais, c’est étonnant, ligne après ligne, toute l’aventure
Pour que jamais l’on ignore qu’en France tu as vécu cela
C’est tous les dieux que j’implore de ne plus faire n’importe quoi

Oh ! C’est promis, ma p’tite mémé, j’irai voir dans ce pays
Pourquoi ma famille blessée un soir dut fuir l’Arménie
Je ferai vivre ton image battant la poussière de mes pieds
Découvrant d’où vient cette rage, celle qui m’a toujours hanté

Que me revienne en mémoire cette histoire qui est la tienne
Tu sais, j’ai du mal à croire que tu sois née arménienne
Que me revienne en mémoire cette histoire qui est la tienne
Tu sais, j’ai du mal à croire que tu sois partie loin des tiennes !


Encore les Ogres de Barback avec cette fois ci ARMENIENNE

Michel Fugain, avec Un beau roman


C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain

Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par les courants
Se sont racontés leur vies qui commençaient
Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s'étaient trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains
Comme on cueille la providence
Refusant de penser au lendemain

C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini le jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la providence en se faisant un signe de la main

Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue là-bas dans le midi
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui

lycisca dit:Michel Fugain, avec Un beau roman

Déjà sorti pour Sanjuro.

Laurent Voulzy – Jelly Bean

Ainsi va la vie, mystérieuse, dérisoire,
Ainsi va la vie, Baby voici mon histoire:
Oh yeah yé yé You know what I mean Jellybean

Au début, rue St Georges Paris 9ème
J'avais cinq ans des ballons, des choux à la crème
On était seul avec ma mère
Tous les deux célibataires
You know what I mean Jellybean
Et puis un jour, on est partis Banlieue Est
Maman rêvait toujours de films, de danses, de gestes
Mérengué, biguine dans la cuisine
You know what I mean Jellybean
Le dimanche à la messe j’ m'habillais beau garçon
Pantalon qui pique, une veste en carton
UIne voisine divine: Evelyne
You know what I mean Jellybean
Dans les établissemnts scolaires oh wo
Blue jean,banane, oh wo
Be-bop, be-bop chic devenait pop
You know what I mean Jellybean
Je rêvais d'avoir un style
You know what I mean Jellybean
Les filles aiment les mecs qui font les cakes en boite
Moi, elles ne me trouvaient pas adéquate
Les voitures, le Foot
j'en avais rien à foutre
You know what I mean Jellybean
Moi,c'était pas non plus l'argent qui cloue l'bec
Qui rend le coeur sec,
J'entendais à l'intérieur un air qui m'emportait ailleurs
You know what I mean Jellybean
J'étais bien dans la salle de bains
Quand j'faisais mon cirque
Avec ma guitare en plastique
J'aimais me voir dans le miroir
You know what I mean Jellybean
Dans une chanson un jour, je reconterai mon histoire
Ainsi va la vie,mystérieuse,dérisoire

Je savais tôt ou tard qu'il fallait m'absenter
En tambour,en guitare,que j'allais m'envoler
Je sentais comm’ des ailes pousser dans mon dos là
Si do ré
Devenir immortel être dans les radios
a do ré
atenzione atenzione…

Mickey 3D / Respire

Approche-toi petit, écoute-moi gamin,
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y avait rien au début c'était bien
La nature avançait y avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups d'pieds dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Les flèches dans la plaine se sont multipliées
Et tous les éléments se sont vus maîtrisés
En 2 temps 3 mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer le désert

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

Laurent Voulzy – Désir

Mais toutes les chansons
Racontent la même histoire
Il y a toujours un garçon
Et une fille au désespoir
Elle l'appelle
Et il l'entend pas
Il voit qu'elle
Mais elle ne le voit pas

On en a fait des films
Et des tragédies divines
De cette situation
Des rocks et du spleen
Mélodie qu'on entend partout
Oh I need you baby
I need you baby
Baby yes I do x2

C'est toujours "toujours" qui rime avec ouh ouh
Cette chose-là il faut que tu devines
Mon premier c'est désir
Mon deuxième du plaisir
Mon troisième c'est souffrir ouh ouh
Et mon tout fait des souvenirs

Elle s'en colle des peintures
Du crayon sur la figure
Il se met des petites boucles d'oreille
Pour se donner des allures
On veut plaire
On veut des rendez-vous
Puis un jour c'est la guerre
Ce jeu là rend fou

Y a du danger des victimes
Un assassin assassine
L'assassin il faut que tu devines
Son premier c'est désir
Son deuxième du plaisir
Son troisième c'est souffrir oh oh
Et son tout fait des souvenirs

C'est du vague à l'âme teen-ager
Ou bien des nuits de désir à mourir
Pendu à l'hameçon de l'âme sœur
C'est toujours pousser des soupirs
ah ah...

Mais toutes les chansons racontent la même histoire
Cette histoire il faut que tu devines
Mon premier x2
Mon premier c'est désir
Mon deuxième du plaisir
Mon troisième c'est souffrir ouh ouh...

Mon premier c'est désir
Mon deuxième est plaisir
Mon troisième c'est souffrir ouh ouh...

Mon premier c'est désir
Mon deuxième du plaisir
Mon troisième c'est souffrir ouh ouh... x2

Et mon tout fait des souvenirs ouh ouh...