[jeu] shabadabada : citer une année

Plutôt d'une sombre
Histoire de fesses
Où la fesse m'a pris pour un con

Mytho des Ogres de Barback (et oui encore et toujours :D )

On continue avec Laurent Voulzy : Quatre nuages

Ce matin le vent,
Apporte de l'ouest
Quatre nuages lents,
Ils ont dû voir hier
Quatre volets bleus
Ouverts sur l'océan,
Pousse le vent.

Elle était assise,
Sur le chemin de douane
Ou elle vient souvent,
Elle a vu c'est sûr
Ces quatre nuages
Et mis ses rêves dedans.
Porte le vent.

Bon,
Ce vent me donne de l'espoir,
Et puis c'est un peu notre histoire,
Elle a toujours vu venir
Les nuages avant,
Pousse le vent.

Quatre doux soupirs,
Traversent tranquilles
Le ciel d'occident,
Mais je m'attends au pire,
Un vent qui tournerait
Un vent d'autan,
Tourne le vent.
Tourne le vent.

Ciel,
Aujourd'hui j'aime ton présage,
Je bénis ton aréopage,
J'effleurerai sa bouche
Avant longtemps
Vive le vent.

Aie,
Quand le vent d'ouest
Mettra les voiles,
J'interrogerai quatre étoiles,
Qui voient comme elle me voit
Des volets bleus,
En attendant,
Souffle le vent.

:lol: je vois qu'entre Voulzy et les ogres chacun utilise son filon , alors ben je vais continuer avec Ridan ;)

Ridan / Demain

J'aurais voulu te raconter que tout serait rose dans ce petit monde,
Que si demain tu serais mon fils j'aurais fait de toi le plus grand homme,
En ayant conscience de ce que je pense en ayant foi de ce que je t'avance
Ça devrait te suffire pour te convaincre tu sais que la vie ne t'attend pas.

Tu sais que la vie ne t'attend pas.

Tu vas croiser un tas de vieux cons mais tous vont te dire que t'es parfait,
Que si il pleut tu seras couvert par les ennemis dont tu flippais,
Deux secondes après tu te poses à table ils vont te bouffer comme un canard,
Assaisonné à coup de respect, à coup de rempart de leur Histoire.

J'aurais voulu te raconter que tout serait rose dans ce petit monde,
Que si demain tu serais mon fils j'aurais fait de toi le plus grand homme,
J'aurais voulu te raconter que tout serait rose dans ce petit monde,
Que si demain tu serais mon fils j'aurais fait de toi le plus grand homme.

Tu sais j'essaie de faire mon possible pour que tes rêves restent accessibles,
Je vendrai mon âme à qui la veut pour que demain tu vives si vieux,
Je ferai ce que je peux pour faire barrage pour que ta vie ne soit plus une cible,
Je prendrai leur flèches à bras le corps je prierai le ciel de faire un effort.

Je prendrai leur flèches à bras le corps je prierai le ciel de faire un effort.

J'aurais voulu te raconter que tout serait rose dans ce petit monde,
Que si demain tu serais mon fils j'aurais fait de toi le plus grand homme,
J'aurais voulu te raconter que tout serait rose dans ce petit monde,
Que si demain tu serais mon fils j'aurais fait de toi le plus grand homme.

J'aurais voulu te préserver de la bêtise de toutes ces races,
Te dire que cette vie est faite pour toi et tous tes rêves y trouveront place.
J'aurais voulu te laisser un monde aussi serein que ce soleil,
Une liberté aussi parfaite que celle que j'ai sur ce papier.

Une liberté aussi parfaite que celle que j'ai sur ce papier.
Prends garde, prends garde, prends garde.

ocelau dit::lol: je vois qu'entre Voulzy et les ogres chacun utilise son filon


Certains sont inépuisables : Mary Quant de Vous savez qui

Oyez, oyez
C'est mon histoire
que je chante
Oyez, oyez
En ce temps-là,
Je n'avais jamais cassé
De guitares encore,
Jamais volé de disques
Au drugstore.

La maison des jeunes
C'était pas Hollywood,
On n'avait pas Bardot,
Pas Nathalie Wood,
On jouait "Telstar"
Nos nunuches platoniques,
Qui nous envoyaient
Des baisers romantiques...
C'était doux,
Les bords de Marne l'été
Et l'amour
Qu'on n'osait pas toucher
Ouuuhhhs

Mais un jour
Mary Quant
A fait son grand carnage,
Elle a coupé les jupes
Des filles les plus sages,
Ses robes pop toutes courtes
Ont fait trembler la terre,
Ma vie a chaviré
A cause d'une couturière.

Et ce minimum a changé ma vie
J'aime un maximum ce mini

Mary Quant,
Mary Quant,
Qu'as-tu fait de moi? Dis-moi!
AÏe Aïe Aïe
Mary Quant
Je ne pense plus qu'à
Plaire plaire plaire
Ses guibolles en Dim,
Voilà ma vie en somme
Dim Dam Dom

Plus longues sont les jambes
Des élèves de première
Plus courtes
Sont les études secondaires.
Encore aujourd'hui
Même si c'est dur à croire
C'est pour toi Mary
Que je joue de la guitare.

Ecoutez!
C'est Twiggy qui passe
Oh yeah!
Ma première guitare basse
Mm mm...
Céline que j'enlace
Hein hein...

Mary Quant,
Mary Quant,
Qu'as-tu fait de moi? Dis-moi!
AÏe Aïe Aïe
Mary Quant
Sans pitié
Tu tailles tailles tailles
De tes ciseaux magiques,
Tu mets dans l'air un air électrique

Et ce minimum a changé ma vie
J'aime un maximum ce mini

Oyez, oyez
C'est mon histoire que je chante
Mary Quant,
Mary Quant,
Tu coupes coupes coupes
Au plus court de mes rêves,
Mes rêves
Dim Dam Dom

Aïe AÎe Aïe
Mary Quant
Dim Dam Dom
Oh Oh Yeah
Mary Quant
Qu'as-tu fait de moi? Dis-moi!
Oh Oh Yeah
Mary Quant

Qu'as-tu fait de moi? Dis-moi!
Qu'as-tu fait de moi? Dis-moi!
Qu'as-tu fait de moi? Dis-moi!

Da Silva / L'indécision

Oh mon amour, je n'ai aucun regret de partir
Non mais vraiment je n'ai pas eu le coeur à m'étendre
sur de jolies choses passées en ta compagnie
sur de jolies choses passées, usées pour la vie

On n'a pas su recolorier le fond de l'écran
notre histoire pauvre en couleur
assombri dans le gris, à sombri mon coeur
ne bat plus la cadence des jours heureux passés en ta présence

Oh mon amour, le temps ne suspend plus son vol
Attéré, attéri, abattu en plein vol
non mais dis moi vraiment à quoi l'on ressemble après toutes ces années à vivre ensemble.

...

On a vécu sans histoires, nous, femmes peuple du moment, portons en nous, par hasard, le portrait d'un drôle de tourment. Si votre dieu nous a fait sans âme, qu'il serait fort cruel mes enfants, de brandir contre nous la lame, de votre religion de perdants.

PEUPLES DU MOMENT

Des Ogres encore une fois

Barbara : Göttingen

Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.

Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.

Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.

Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.

Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.

Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.

Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.

O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.

[Répétition] :
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.

Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

En fait des histoires il y en a plein , il va falloir limiter la durée à un jour :)

allez hop et je vous le met entier pask'il est beau ce texte (mais triste)
Renan Luce / la feuille

Aurais-je imaginé que je trouverai là
Une mine de stylo plantée sur ma peau oh oh
Les yeux de mon bourreau qui ne me quittent pas
Ma blancheur lui fais peur je sais qu'il cherche ses mots oh oh
Je suis une feuille blanche je ne demandais rien
Qu'à rester sur mon arbre et attendre la fin
Moi j'aimais le vent se perdant dans les feuilles
Et le murmure de la sève qui lui donnait la vie
Moi j'aimais la hauteur que j'avais sur les choses
Je n'ai pas vu venir la lame qui m'a trahis
Si au moins je servais de papiers officiels
Pour signer des traités et proteger les faibles
Ou etre dans les mains d'un poète oublié
Qui me jeterai des vers comme on cherche un ami

J'aurais pu etre préssée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou etre le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Ou etre dans les pages d'un livre d'histoire
Qui dit que le chemin est encore tellement long

Mais voila que je sens que la plume me frole
Et les lettres se forment comme l'encre tourbillonne
J'n'ai jamais vu plus lourd que le poids de ces mots
C'est la misere d'un homme que je sens sur mon dos
Il dit je veux finir d'avec ma vie
Pardonne moi mon amour mais je m'arrete ici
Ce n'est pas de ta faute si je baisse les bras
Mais j'ai perdu ma chance de gagner ici bas
Et moi c'etait mon role de porter tous ces mots
Et les larmes d'une femme tomberons sur moi bientôt

J'aurais pu etre pressée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou etre le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Mais je tourne la page d'une triste histoire
Qui dit que le chemin n'etait pas tellement long
Pas tellement long...

Sur cet air lent je voudrais vous parler
Enervé, d'un tourment qui m'agresse, insensé!
Ce ne sont pour moi pas des façons
De dire "femme, tu es la tentation."

Et c'est sûrement une histoire de culture
Ou cent pour cent de mes idées impures
Je ne vois pas le bien, que le mal
Qui dit "Femme, je t'aime donc je te voile"

C'est un pour sûr : Ras le bol général
De ceux qui, purs, infligent la morale
De leur religion universelle
Qui abaissent les femmes au pluriel

De la calotte, des kippas au foulard
De la carotte, au bâton qui ce soir
Frappera pour avoir douté dieu
"Je te bats, femme, mais c'est pour ton mieux"

C'est certainement une histoire de raté
En m'éduquant mes parents ont oublié
De me dire "tu comprends la raison
D'une femme qui subit l'excision"

Quand ils émiettent l'amour à ton insu
Qu'ils te promettent à un homme inconnu
Ils brandissent leurs versets de malheur
"Tu épouses cet homme, femme, ou tu meurs"

Et c'est surtout toujours la même histoire
L'homme est un fou de dieu et du pouvoir
Et s'ils versent le sang innocent
Ils crient "femme, tu te trompe je te prends"

Et tu peux voir et tu peux constater
Dans la mémoire de notre humanité
Pas une ligne pas une explication
Qui dit "femme, subis leur punition"

Moi qui ne crois en rien ni en personne
Pas même en toi de ces mots je te donne
Toute mon âme si un jour pacifique
Il te laisse, femme, prêcher le mystique

Toujours surpris qu'un peuple dans la rue
Ensemble crie sa haine et son refus
D'un dessin qui insulterait dieu
Quand ta faim, femme, les laisse silencieux

C'est sans vouloir l'amalgame général
Qu'un jour sur noir en blanc, on me régale
D'une prière qui sans concession
Laisse claire, femme, une place à ton nom

Et c'est sans doute pour surmonter la peur
Qu'un jour ma route diable ! croise la leur
Ils grandissent et après ils deviennent
Ceux qui maudissent, femme, ta vie et la mienne

Et si profane ils me jugent ici bas
S'ils me condamnent de leur divine loi
S'ils me tuent ils ne regrettent rien
Dieu pardonne, femme, même aux assassins

NI DIEU NI DIEUE

Des incontournables Ogres de barback

On change de compère :

Alain Souchon – Londres sur Tamise

Souviens-toi de notre histoire
Souviens-toi, secoue ta mémoire
II y avait des éphémères
Dans notre jardin d'Angleterre
Souviens-toi de notre histoire
Souviens-toi, secoue ta mémoire
Essaie de penser à naguère
Quand nous vivions en Angleterre
Quand nous vivions en Angleterre

Près de Londres sur Tamise
La grande rivière trop grise
La maison aux volets verts
Dis-moi, dis, t'en souviens-tu?
Nous vivions tous deux ensemble
Nous nous aimions il me semble
Tu as même eu un enfant
Dis-moi, dis, t'en souviens-tu?
Nos baldaquins de fortune
Accrochés au clair de lune
Les chansons de Mc Cartney
Dis-moi, dis, t'en souviens-tu?
Mais tu parles d'autre chose
Tes mains, pétales de rosé,
Caressent un autre que moi,
Tu ne me reconnais pas

Souviens-toi de notre histoire
Souviens-toi, secoue ta mémoire
II y avait des éphémères
Dans notre jardin d'Angleterre
Souviens-toi de notre histoire
Souviens-toi, secoue ta mémoire
Essaie de penser à naguère
Quand nous vivions en Angleterre
Quand nous vivions en Angleterre

Près de Londres sur Tamise
La grande rivière trop grise
C'était une histoire d'amour,
Dis-moi, dis, t'en souviens-tu?
Ton enfant c'est mon image,
II a des yeux de nuages,
Tu disais que tu l'aimais,
Dis-moi, dis, t'en souviens-tu?
Je voudrais que tout revienne,
La Tamise et les persiennes
Que l'on fermait nuit et jour,
Dis-moi, dis, t'en souviens-tu?

Mais tu parles d'autre chose
Tes mains, pétales de rosé,
Caressent un autre que moi,
Tu ne me reconnais pas
Mais tu parles d'autre chose
Tes mains, pétales de rosé,
Caressent un autre que moi,
Tu ne me reconnais pas

pendant que certain sèche sur leur chanteur favoris moi je continu avec les ogres avec:

P'TIT BONHOMME

Aïe, aïe, aïe, c'est une histoire
C'est une histoire terrible que l'on me chantait.
Aïe, aïe, aïe, c'est une chanson
C'est une chanson horrible que l'on me racontait.
P'tit bonhomme, p'tit bonhomme se promène, se promène
Comme dans toutes les chansons, dans une rue endormie.
P'tit bonhomme, p'tit bonhomme l'aime, oh oui ! il l'aime.
Il ne sait même pas son nom, cette fille est si jolie.
Il f'rait tout, tout pour la rencontrer.
Mais il le sait :
Dans cette ville y'a une loi : soit t'es pauvre, soit bourgeois.
P'tit bonhomme, p'tit bonhomme le sait :
Chaque seconde où il croise
Sa silhouette au hasard, il n'ose pas un regard,
Cette fille est une bourgeoise.
P'tit bonhomme, p'tit bonhomme n'ose pleurer, chez lui ça n'se fait pas,
On n'écrit pas " Je t'aime " sur une lettre
Où il y a des cœurs, des fleurs, des poèmes.
P'tit bonhomme, p'tit bonhomme en a marre,
Lui, tout c'qu'on lui a laissé
C'est sa gueule de paumé
Cette fille est une déesse, ses yeux sont une richesse.
P'tit bonhomme, p'tit bonhomme voudrait bien, avec sa gueule de chien
Il s'fait ses contes de fées, il veut tout massacrer.
Aïe, aïe, aïe, c'est une histoire
C'est une histoire terrible que l'on me chantait.
Aïe, aïe, aïe, c'est une chanson
C'est une chanson horrible que l'on me racontait.
P'tit bonhomme, p'tit bonhomme a mal...
Un couteau entre ses mains.
P'tit bonhomme, c'est trop banal,
Mais c'est la fin...
Il pleure.

Jeanne Moreau : Quelle histoire


Cet homme est là qui me regarde
Je m'y accroche par mégarde
Je n'ai pas su baisser les yeux
Il semble en être très heureux
Il prend cela pour un aveu
Mes yeux sont noirs, les siens sont bleus

Oh ! Oh ! Oh ! Quelle histoire
Il va croire que je le veux
Oh ! Oh ! Oh !
Oh ! Comment faire
M'en défaire
Si je peux

Cet homme est là qui me sourit
Il me parle et j'en suis ravie
Je suis le dessin de sa bouche
Légèrement sa main me touche
Ce soir je ne suis pas farouche
Prise au piège comme une mouche

Oh ! Oh ! Oh ! Quelle histoire
Il va croire que je le veux
Oh ! Oh ! Oh !
Oh ! Comment faire
M'en défaire
Si je peux

Cet homme est là qui prend mon bras
Je le suis je ne sais pourquoi
Nous sommes un peu trop intimes
Je vais encore être victime
D'une aventure bellissime
Cette rencontre est rarissime

Oh ! Oh ! Oh ! Quelle histoire
Il va croire que je le veux
Oh ! Oh ! Oh !
Oh ! Comment faire
M'en défaire
Si je peux

Cet homme-là me déshabille
Ce soir mon corps sent la vanille
Tout simplement il a dit : "Viens !"
Et vainement je me retiens
Il fait tout cela pour mon bien
Son désir a tissé les liens

Oh ! Oh ! Oh ! Quelle histoire
Il va croire que je le veux
Oh ! Oh ! Oh !
Oh ! Comment faire
M'en défaire
Si je peux

Cet homme est là à mon réveil
Dehors il fait déjà soleil
Nous reprenons notre entretien
Ce n'est pas un théoricien
Quel est son nom, je n'en sais rien
Mais je crois qu'il est Brésilien

Oh ! Oh ! Oh ! Quelle histoire
Il va croire que je le veux
Oh ! Oh ! Oh !
Oh ! Comment faire
M'en défaire
Si je peux

Oh ! Oh ! Oh ! Quelle histoire
Il va croire que je le veux
Oh ! Oh ! Oh !
Oh ! Comment faire
M'en défaire
C'est trop tard !

Mes souliers sont rouge cahin-caha

C'était un homme, un beau un vrai
De ceux dont on fait le grand mât
Des bateaux qui s'en vont là-bas
C'était un de ces gars-là qui
Une fois le boulot fini,
S'en allait boire un coup là-bas

C'était un gars comme ci, comme ça
Et il allait cahin-caha
....

Refrain (bis)

Désespéré, tellement blessé
Notre homme prit sa bien-aimée
Et la ramena dans les bois
C'est alors qu'elle s'est réveillée,
C'est alors qu'elle s'est transformée
L'amour a gagné pour une fois


C'est une histoire comme ci, comme ça
Tant pis si vous n'y croyez pas (bis)
C'est une histoire comme ci, comme ça
Tant pis si vous n'y croyez pas (bis)

Manivelle – Alain Souchon

Moi j'voulais pas venir, j'voulais pas venir
Et puis on m'a dit que c'était pour rire,
Un film joué, une télé, du play-back complet.
Moi je veux bien rire, faire les pieds au mur,
Embrasser des filles dans les voitures,
En recevoir, en donner, faire semblant d'être gai

Mais c'est du vrai sel dans l'eau des yeux,
Du vrai amour qui rend malheureux,
Un c?ur vrai, du sang vrai,
Deux p'tits enfants qu'j'ai.

Manivelle tourne un drôle de cartoon,
Manivelle tourne mais c'est ma vraie vie qui tourne.
Manivelle tourne combien d'années encore ?
Manivelle tourne. Déjà, j'aime plus mon corps.
Manivelle tourne j'suis maquillé pâle.
Manivelle tourne j'savais que ça finirait mal.

Eh ! Gros producteur, fumée de cigare,
Raconte un peu la fin de ton histoire.
Qu'est-ce que j'dis ?
Qu'est-ce que j'ris ?
Comment ça finit ?

Manivelle tourne un drôle de cartoon,
Manivelle tourne mais c'est ma vie qui tourne.
Manivelle tourne combien d'années encore ?
Manivelle tourne. Déjà, j'aime plus mon corps.

C'est pas un film.
Y a même pas de bobine.
C'est ma vraie vie qui se débine.
J'voulais pas venir.
Y a pas d'histoire.
Y a des cheveux plein ma baignoire.
J'voulais pas venir.

Bien avant le premier je t'aime, je suis déjà comme une pute à parcourir les trottoirs, à chercher une autre histoire qui n'aura d'autre suite que mon éternelle fuite. Et si l'autre reste à pleurer je n'en suis que plus contente, moi la vie ne m'a rien donné, j'ai toujours été dans l'attente. C'est une vengeance facile, je ne pourrais en profiter. Car il n'y a que les belles filles qui prennent un cœur pour en jouer.

SOLENE DE GRENOBLE

LES OGRES comme d hab

Têtes raides / Ginette

La mer ça n's'invente pas
et nous on crève à rester là
et le funambule beau qu'il est
marchant sur son fil
Charles il disait l'albatros
il en est mort
a marcher sur la terre
mais c'est pas fini
on va continuer
a voler dans les airs
et les supermarchés
pour nous donner l'air
de ne pas rien faire
et pour manger
on va s'aimer encore et encore
pendant des années
j'étais là moi monsieur
sinon on sait pas trop c'qu'il faut faire
et là y a la Ginette qui valse en guinguette
qu'a toujours un verre d'avance
des fois qu'on ferme la dernière porte
faut s'enivrer quoi qu'il arrive
et puis rêver et faire la fête
c'est des musiciens sur des tréteaux
tôt ou tard ça va s'écrouler
mais leur histoire on s'en fout
Ginette continue à tourner
sur cet air de ferraille et de verres cassés
allez Ginette!...

La mer ça n's'invente pas
et nous on crève à rester là
et c'est tout.

Mais s’il est vrai que pour moi l’amour n’a qu’un prix :
Celui d’un grand tracas qui s’enfuit sans un cri,
Les raisons qui me poussent à vivre cette histoire
Ne sont connues de tous et restent à mon égard

Mme SOLENE SVP

Des ogres bien sur

fan de catane dit:

Des ogres bien sur


Allez avoue : c'est à chaque fois les couplets d'une même chanson :P ?

Ne pleurez pas dans vos mouchoir
Non ça n'est pas mon histoire

Renaud.

Toute cette histoire
est bien ancrée dans ma mémoire
et si quelqu'un vient s'en mêler....

Louise Attaque