[Jeu] Trouvez le nom du roman

sanjuro dit:Je pars sur le champ me flageller, à genoux sur une règle en fer...

mmm mais dis donc ça a l'air bon ça :skullpouic:

Roman que je n’ai pas lu mais dont j’avais lu la premiere page et ca m avait surpris.

Plaisir en bouche d’une femme je ne sais plus son nom joyaud ou jouyaud

Elfyr dit:Roman que je n'ai pas lu mais dont j'avais lu la premiere page et ca m avait surpris.
Plaisir en bouche d'une femme je ne sais plus son nom joyaud ou jouyaud


Exact, Elfyr. Premier roman de Béatrice Joyaud. J'en ai parlé rapidement

ici .

A défaut de te prêter mes gamins , je peux te ramener le livre jeudi à l'occasion de la soirée Jeux Descartes.

En attendant , à toi la main.

lol merci Bertrand !

“Ca recommençait, ces salopards tiraient au flanc ! Et Azzie venait juste de s’installer confortablement. Il avait trouver un bon coin, juste à la bonne distance entre la Fosse flamboyante et les parois de fer couvertes de givre qui l’encerclaient.”

Voila le premier paragraphe…

C’est pas la trilogie Azzie de Zelazny, ça ?.. le concours du millénaire ?

c’est bien du zelazny, et l’histoire d’Azzie pour le concours du millénaire…

Le tire est “apportez moi la tete du prince charmant”.

A toi Deckard !

Deckard ! Deckard !

Tu habites un petit village alsacien niché dans les montagnes. Les guides n’en mentionnent que le nom; ils no’ont rien d’autre à en dire. L’été, les ombres des nuages dérapent sur les vignes et des bruissements tièdes sillonent la forêt. De temps à autre, la cloche de l’église se réveille : quelques tintements dorés résonnent, puis la torpeur retombe. Un calme bonheur s’étend alors. On pourrait croire que personne n’habite ici.

Bon, ok, c’est sans doute un peu dur. C’est un bouquin que m’a offert mon fils cet hiver. C’est un auteur français récent.

Alala un indice stp ???

L’auteur vit en Alsace, et c’est son premier roman.

Difficile d’en dire plus… je ne vais pas non plus vous raconter des fables.

Je pars pour 4 jours… je vous donne la réponse dimanche soir (ou lundi)

Si d’ici là vous voulez relancer…

Gabriel Schoettel ?

Ca fait alsacien en tout cas comme nom de famille !

J’irai feuilleter ça en librairie si j’ai le temps. Je verrai alors si j’ai confirmation

Excellente idée pasteur ludique !

Ben c’était une bonne idée mais j’ai pas eu le temps de pousser jusqu’à la médiathèque et chez mon libraire j’ai pas pu vérifier.


Deckard, encore un indice ? ou au moins est-ce que j’ai bon pour l’auteur ?

Non, c’est pas ça, l’auteur…

Un indice :

Lily, sur son site, dit:Le narrateur de ce roman est un jeune écrivain, aucun livre publié encore à ce jour, divers travaux « littéraires » ici et là en chantier. Il se cherche, tente de trouver son chemin, le livre pour lequel il est destiné. Et puis sa femme le quitte, enfin, elle disparait plutôt du jour au lendemain, sans laisser de mots, ni d’adresse. Disparue, morte, avec un autre ?
Non, pour lui :
« Elle n’était pas partie. Le monde l’avait avalée voilà tout. ».
Commence pour lui une longue errance, à la recherche d’un sens, de ce livre, de sa femme peut-être… Il ne sait pas, et n’en sait pas plus quand il part rejoindre un vieux copain à Los Angeles, Clayton, un photographe en plein succès. Là il plonge sans limite dans un univers onirique extrêmement troublant et envoûtant fait de rencontres et de métamorphoses, tantôt lui-même, tantôt lion, tantôt cheval. Le rêve et la réalité s’entrelacent, se confondent dans un récit surréaliste brillant et entraînant.
On y croise Socrate, l’accoucheur des esprits et des âmes, le chat d’Alice, Max et les Maximonstres, les lions de Daumesnil, disparus, un soir, et soudain doués de vie, hantant le bois de Vincennes, où ils chassent, prédateurs redoutables.
La réalité se démultiplie sous le prisme du rêve, des paradis artificiels, des rencontres réelles fortuites, jamais programmées comme tombées du ciel.

J’ai absolument pas lu ce bouquin c’est sur!..

Mais j’ai lu cette prez, c’est tout aussi sur!

C’est pas que ça m’aide pour trouver, note bien :?

:lol: :lol: :lol:

Bon. La bonne réponse était Infabula, d’Emmanuel Werner…

Je pase la main à celui qui veut !

yop yop yop

DANS les premiers jours de juillet, par une chaleur torride, un jeune homme sortit, vers la fin de l’après-midi, de la petite chambre qu’il occupait, ruelle S…, et, lentement, l’air indécis, se dirigea vers le pont K…
Il avait, par bonheur, réussi, en descendant l’escalier, à éviter sa logeuse. La chambre du jeune homme était située sous les combles d’une haute maison de quatre étages, et ressemblait davantage à un réduit qu’à un logement. La propriétaire, qui lui louait cette chambre avec pension et service, habitait elle-même l’étage inférieur, et, chaque fois qu’il sortait, il devait obligatoirement passer devant la cuisine, dont la porte restait presque toujours ouverte sur l’escalier. Et, chaque fois, le jeune homme, en passant, éprouvait une sensation de gêne et de malaise dont il avait honte, et qui le rendait sombre. Il s’était fortement endetté vis-à-vis de sa logeuse, et redoutait de se trouver face à face avec elle.
Non qu’il fût si poltron et si terrorisé - bien au contraire - mais depuis quelque temps il se trouvait dans un état de tension et d’énervement qui confinait à l’hypocondrie.

Crime et Châtiment de Dostoïevski

L’éternel retour est une idée mystérieuse et, avec elle, Nietzsche a mis bien de philosophes dans l’embarras : penser qu’un jour tout se répètera comme nous l’avons déjà vécu et que même cette répétition se répètera encore indéfiniment ! Que veut dire ce mythe loufoque ?