Deckard dit:Si vous voulez, je vous en refais une avec un roman... mais sinon, c'est à Elfyr !
c'étail légal avec une pièce...
C'est donc à Elfyr.
c'étail légal avec une pièce...
C'est donc à Elfyr.
Deckard dit:Si vous voulez, je vous en refais une avec un roman... mais sinon, c'est à Elfyr !
Ben oui c'est à Elfyr. Ta présentation était dans les règles
C'est juste que nous avons été abusé par le fait que depuis 18 pages il n'y a eu que des romans 
D'ailleurs faudrait ptet préciser le type de texte(roman,nouvelle,pièce de théâtre), non? Ou alors en tant que premier indice.
Ok je me lance :
“Humphrey essuya la sueur de son front et cessa un instant d’actionner le soufflet. Il jeta un coup d’oeil inquiet vers Newton, qui contemplait la gueule rouge du four avec toute l’ardeur d’un amant, ou d’un fou.”
Vieux chat dit: Ta présentation était dans les règles
en fait j'ai apporté qq modifications au post d'origine depuis le début du jeu.
Elfyr dit:
"Humphrey essuya la sueur de son front et cessa un instant d'actionner le soufflet. Il jeta un coup d'oeil inquiet vers Newton, qui contemplait la gueule rouge du four avec toute l'ardeur d'un amant, ou d'un fou."
Je remet la citation sur la nouvelle page...
L’herbe rouge ?
Non.
L’âge de déraison, le tome 1 : Les démons du Roi-Soleil…
(héhé… un petit bijou de décalage)
Deckard dit:L'âge de déraison, le tome 1 : Les démons du Roi-Soleil...
(héhé... un petit bijou de décalage)
Ouâlôt'eh! T'as pas le droit de répondre c'est toi qui a proposé le précédent!
Bon... j'aurais pas trouvé faut dire.
oups, je savais pas… désolé ! 
Deckard dit:oups, je savais pas... désolé !
Si tu es sur de toi, paose un incipit facile pour relancer, . Efyr,ne pourra pas intervenir avant ce cette nuit.
Ou passe la main à qui veut la prendre.
Bravo Deckard ! Moi aussi j’ai beaucoup apprécié cette uchronie.
Pour relancer
En Afrique traditionnelle, l’individu est inséparable de sa lignée, qui continue de vivre à travers lui et dont il n’est que le prolongement. C’est pourquoi, lorsqu’on veut honorer quelqu’un, on le salue en lançant plusieurs fois non pas son nom personnel (ce que l’on appelerait en Europe le prénom) mais le nom de son clan : “Bâ ! Bâ !” ou “Diallo ! Diallo !” ou “Cissé ! Cissé” car ce n’est pas un individu isolé que l’on salue, mais, à travers lui, toute la lignée de ses ancêtres.
Tristes Tropiques ?
Non
Eric dit:Pour relancerEn Afrique traditionnelle, l'individu est inséparable de sa lignée, qui continue de vivre à travers lui et dont il n'est que le prolongement. C'est pourquoi, lorsqu'on veut honorer quelqu'un, on le salue en lançant plusieurs fois non pas son nom personnel (ce que l'on appelerait en Europe le prénom) mais le nom de son clan : "Bâ ! Bâ !" ou "Diallo ! Diallo !" ou "Cissé ! Cissé" car ce n'est pas un individu isolé que l'on salue, mais, à travers lui, toute la lignée de ses ancêtres.
Amkouullel, l'enfant peul d'Amadou Hampâté Bâ, dans ma bibliothéque depuis près d'un an et pas encore lu
C’est ça et si tu commences ben tu auras bien moins à rougir que moi, je viens de le commencer alors qu’il est dans ma bibliothèque depuis mes études…
A ma décharge, c’était avant que je prenne la résolution de ne plus acheter de roman tant que je n’avais pas fini les achats précédents…
Maintenant, j’ai plus qu’à essayer de la tenir cette résolution…
Eric dit:
A ma décharge, c'était avant que je prenne la résolution de ne plus acheter de roman tant que je n'avais pas fini les achats précédents...
Maintenant, j'ai plus qu'à essayer de la tenir cette résolution..
j'ai une résolution moins contraignante pour ma part: je m'autorise un bouquin pour deux lus...Mais même comme ça....
Balthazar Chacun naquit dans une huitre
bertrand dit:
Amkouullel, l'enfant peul d'Amadou Hampâté Bâ, dans ma bibliothéque depuis près d'un an et pas encore lu
Eh bien je l'ai lu avaec le plus grand bonheur et je ne l'ai pas reconnu.
Je me suis même dit "ça fait penser à amadou Hampaté Bâ, mais c'est pas ça."
Honte!... Honte!... Honte!... Honte sur moi!
Je pars sur le champ me flageller, à genoux sur une règle en fer...
Non Keyan, le titre du roman n’est pas une incitation à proposer ta queue de cheval à gouter 