Contribution faite depuis le jour-J du KS pour ma part
cylindre 3D avec -1 et +1 je trouve çà super.
Mistral Torent dit :Contribution faite depuis le jour-J du KS pour ma part
cylindre 3D avec -1 et +1 je trouve çà super.
Merci :P
Et quand j'y pense je mettrai aussi deux couleurs/trames différentes sur les deux boites en bas pour se souvenir que gauche c'est combat et droite c'est récupération. histoire de ne jamais avoir le doute.
Tout à fait ça !
En mieux fait bien sûr
Plus sérieusement c’est exactement ce que j’avais à l’esprit dans ma critique au début !
RaFaL dit :Tout à fait ça !
En mieux fait bien sûr bah j'espère sinon on est mal et eux avec huhu
Plus sérieusement c'est exactement ce que j'avais à l'esprit dans ma critique au début ! ;)
Ouais je trouve aussi qu'il y a besoin de moderniser le truc
Et quand j'y pense je mettrai aussi deux couleurs/trames différentes sur les deux boites en bas pour se souvenir que gauche c'est combat et droite c'est récupération. histoire de ne jamais avoir le doute.
Ca c'est prévu de mieux distinguer les deux cases.
Plutôt que couleur on pensait mettre un symbole dans un médaillon genre, 2 sabres entrecroisés pour le combat (là on a un sabre au milieu, mais c'est moyen), et un chariot pour le côté ravitaillement.
Donc encore pas mal de choses à fignoler, sachant que ce n'est pas un travail isolé car il faut que tout suive à tous les niveaux de la charte graphique du jeu.
Nous avons plusieurs nouvelles a partager avec vous aujourd’hui.
Premièrement, Napoléon 1806 est maintenant visible sur le site Board Game Geek, site de référence en anglais sur les jeux de plateau.
https://boardgamegeek.com/boardgame/217934/napoleon-1806
Deuxièmement, nous avons franchi la barre des 60%, et comme l’indique Kickstarter :
“98 % des projets qui atteignent 60 % de leur objectif sont intégralement financés”
Espérons donc ne pas être dans les 2% !!!
Enfin, nous accueillons un nouvel Hussard qui a permis d’augmenter significativement le montant financé. Cela signifie que nous avons maintenant 4 magasins de jeux qui nous soutiennent :
Philibert : http://www.philibertnet.com/fr/
Merci à tous pour votre confiance !
Après avoir tenté d’analyser le plateau de jeu… Je vois que les français on vraiment était toucher pars la fatigue du au déplacement.
il y a que la forêt qui sépare les deux clans…
questions:
- a quoi serve les carré verts dans la forêt? J’ai lu deux fois les règles mais pas trouver (où c’est passé a travers les mails du filet a mes yeux).
Édite:
j’ai trouver ma réponse pages 4 dans les règles
Il reste un peu plus de 24 heures pour bénéficier de l’offre limité Grenadier.
Vous pouvez voir dans la table ci-dessous l’intérêt de cette offre pour nos contributeurs. Par exemple pour la France, le prix est seulement de 43.33€ par jeu, port inclus !
Aussi, si vous faîtes partie d’une association de joueurs, ou si vous avez des amis que le jeu peut intéresser, n’hésitez pas à grouper vos contributions pour bénéficier de cette offre.
Un petit rappel si vous souhaitez ajouter des jeux, ou des plateaux exclusifs :
- Ajoutez 40€ par jeu au dessus de 3.
- Ajoutez 50€ par plateau exclusif.
- Envoyez nous un message pour connaître les frais de port exact suivant votre choix.
Nous n’avons pas oublié les échanges sur les cartes, on est en ce moment, avec Nicolas (l’illustrateur), sur celles-ci…On réfléchit à toutes vos propositions et on fait des essais. Mais en même temps, il y a le KS à accompagner…
Pour répondre à une question précédente, l’artiste qui a fait les dessins des cartes est Benjamin Zix, contemporain de l’époque impériale (1772-1811).
Il est temps de faire un petit point après deux semaines de campagne éreintantes !
- 70% financés
- 202 contributeurs
- 5 boutiques qui nous soutiennent (merci à Hexasim qui nous a rejoint aujourd’hui)
Nous avons donc encore besoin de vos soutiens pour atteindre notre objectif et pouvoir vous proposer par la suite d’autres jeux originaux !
N’hésitez pas par ailleurs à nous dire ce qui vous fait encore hésiter (pour ceux qui hésitent) ou à poser des questions sur le jeu et son développement.
https://www.kickstarter.com/projects/190732911/napoleon-1806
Allez courage, on est à quasi 75% !
J’espère que ce projet va se financer, le jeu semble bien réfléchi et l’équipe sympathique et la tête sur les épaules.
Petite question, pour les combats, vous aviez prévu des dés au départ, pourquoi avoir changé d’avis ? (c’est pas une critique, j’aime bien les dés donc je me pose la question c’est tout).
Alors pour l’option carte plutôt que dé, c’est une évolution subie plutôt que choisie. Il fallait graver les dés, et cela revenait trop cher à la production en faisant grimper dangereusement le prix final du jeu…Impossible pour un premier jeu…C’est néanmoins l’un des paliers de SGoals. Ensuite, lors des tests, certains ont bien aimé le côté “cérébral” de comptage des cartes défaussées pour optimiser les combats…J’ai essayé, je n’y suis jamais parvenu!
Sinon, c’est un peu le creux de la vague de la campagne et les encouragements sont les bienvenus. C’est compliqué de passer cette barre des 15.000 €. Bref il va falloir que tout le monde s’y remette sérieusement pour aboutir car rien n’est gagné. Nicolas travaille sur la mise en forme des règles actuellement et devrait les présenter bientôt…Je sens que cette seconde partie de campagne va être encore plus éprouvante que la première, néanmoins c’est très sympa tous ces soutiens…
Ok, merci de la réponse, et oui effectivement d’après d’autres éditeurs, les dés ça coûtent cher !
Et c’était quoi la répartition des dés, selon le camp ? rien n’empêche de se faire ses propres dés. Et il en faudrait combien du coup idéalement, et par camp ?
Mais du coup, avec la façon actuel de gérer les combats, avec les cartes, ça fait que le deck de cartes tournent bcp + vite qu’avec des dés pour les combats. Ca ne pose pas de problème ?
Bon, c’est vrai qu’avec les cartes ça permet, si on est trèèès attentif aux cartes défaussées, d’avoir un peu près une idée de notre force de frappe encore disponible (ou pas).
J’ai fait un petit topic sur le fansite de Conan, où on parle aussi un peu d’autres jeux. Bon c’est pas le public cible, mais comme tout soutien est bon à prendre, si jamais tu veux réagir là bas aussi : http://the-overlord.com/index.php?/topic/350-ks-en-cours-napol%C3%A9on-1806/
Merci Foussa pour le topic sur notre jeu et le lien
Comme l’a dit Julien, effectivement, après avoir fait les illustrations de tous les éléments vue plus haut ces derniers mois, je suis en train de réaliser la mise en page du livre de règles. Etape importante car conciliant immersion graphique et lisibilité.
Bien, quelques jours sans actus, on avait besoin de recharger un peu les batteries !
Entre temps, la tendance s’est bien aplatie, mais on espère qu’elle va repartir de plus belle à la hausse, et peut-être que cette news va y contribuer ! Nicolas continue de travailler sur les éléments du jeu. Vous pouvez découvrir ci-dessous la première maquette du livre de règles. Nous espérons que çà vous plaira !
N’hésitez pas en tout cas à commenter et à dire ce que vous en pensez.
https://www.kickstarter.com/projects/190732911/napoleon-1806
Et un petit article dans dimicatio après une première partie de découverte:
http://dimicatio.blogspot.fr/2017/01/napoleon-1806-partie-et-avis.html
bonne lecture
Découvrez l’interview réalisé pour le site GrogHeads. Nous vous proposons ci-dessous la version française. La version originale de l’interview se trouve ici : http://grogheads.com/?p=13736
https://www.kickstarter.com/projects/190732911/napoleon-1806
Pour ceux qui ne vous connaissent pas, pouvez-vous vous présenter ? Quel est votre parcours ludique ?
Nous allons répondre à deux en fait car Shakos c’est avant tout deux personnes, Julien (BUSSON) JB, développeur du jeu, et Denis (Sauvage) DS, qui est le concepteur de Napoléon 1806.
DS : Je joue depuis mon adolescence et j’ai commencé avec l’incontournable « Quatre dernières batailles de Napoléon » de SPI de Monsieur Kevin Zucker. Le projet de Napoléon 1806 est né de ce désir de retrouver les frissons de mon enfance lorsque j’ai ouvert cette boite de jeu. Je souhaiterais que des jeunes puissent comme moi se passionner pour les jeux d’histoire et s’émerveiller devant le matériel étalé sur la table. Ma période de prédilection est le premier empire. Je suis l’auteur d’une série “Les Maréchaux” éditée par Vae Victis et Ludifolie qui relate les victoires, les défaites des maréchaux et généraux français sous le consulat puis l’empire.
JB : J’ai quasiment le même parcours ludique que Denis excepté que le Premier Empire est loin d’être ma période favorite. Je préfère personnellement la 1ère GM, avec des jeux tels que la série 1914 de Michaël Reich, ou Der Weltkrieg de Dave Shroeder. Nous nous sommes rencontrés avec Denis il y a 10 ans. Comme nous étions perdus au fin fond de l’Ardèche et que nous étions les seuls « wargamers » du coin, nous n’avions pas d’autres choix que de jouer ensemble ! Nous avons commencé à penser à éditer notre propre jeu en voyant les gens s’arrêter au Festival des Jeux de Cannes, devant nos parties de wargames et s’y intéresser. Nous avons alors réfléchi à comment offrir au plus grand nombre des jeux reposant sur une base historique solide, mais utilisant des mécaniques simples, empruntées aux « Eurogames » (jeux de plateau).
Je suis un fan, un énorme fan même, de la Campagne de Iéna-Auerstaedt, mais ce n’est pas la plus célèbre quand on la compare à Borodino, Leipzig ou, bien entendu, Waterloo. Qu’est-ce qui vous a poussé à faire un jeu sur cette campagne ?
DS : J’ai toujours eu un faible pour cette campagne et la manière dont Napoléon a mené ses troupes à la victoire. Je suis également fasciné par l’exploit de Davout et de ses hommes à Auerstaedt. L’armée prussienne de 1806 est toujours présentée comme une proie facile pour Napoléon 1e mais elle s’est battue avec ardeur, ce qui accentue d’autant la prouesse du 3e corps français.
En lien avec la question du dessus, il y une idée selon laquelle les Anglo-Saxons (incluant étrangement les américains) préfèrent étudier et jouer à des jeux sur des campagnes durant lesquelles les Britanniques furent impliqués. Avez-vous envisagé que choisir une campagne se déroulant plus à l’Est pourrait limiter les ventes ?
DS : Napoléon 1806, c’est d’abord l’aboutissement d’un projet avec des amis plus qu’une aventure commerciale. J’ai toujours souhaité simuler cette campagne en Saxe et le choix s’est donc porté tout naturellement sur ces journées d’octobre 1806 sans penser effectivement à nos amis anglophones. J’avais d’ailleurs de nombreuses sources historiques pour m’aider dans cette entreprise.
Même pour ceux qui connaissent un peu cette campagne, quel est la chose la plus frappante que vous ayez appris sur cette campagne que la plupart des gens ne savent pas ?
DS : Je crois qu’il ne faut surtout pas sous-estimer la valeur des troupes prussiennes. Elles furent mal commandées ce qui a abouti à ce désastre. Mieux dirigées, les pertes françaises auraient pu être nettement plus lourdes, même si le succès de Napoléon, au final, ne faisait aucun doute. Il ne faut pas oublier ou négliger les soldats tombés à Saalfeld, Iéna ou Auerstaedt. L’armée prussienne s’est disloquée mais la Grande Armée a souffert également. Napoléon 1806 a la volonté de réhabiliter ces combattants prussiens ou saxons.
Cette campagne, sans rentrer dans le détail, fut une victoire écrasante pour les Français. Qu’avez-vous fait pour la rendre plus « fun » pour les Prussiens sans trop vous écarter de l’histoire ?
DS : Comme précisé auparavant, le jeu souhaite redorer l’image de l’armée prussienne. Difficile de faire aussi bien que Napoléon 1e , en aussi peu de temps, tout en prenant en compte l’impossibilité de voir la victoire lui échapper tant la supériorité numérique et tactique de la Grande Armée était écrasante. Cette problématique fut au cœur de tous les tests. Comment rendre attrayant les rôles des deux joueurs ? Le postulat fut de pousser le Français à la faute, en croisant objectifs stratégiques et temporels. Le joueur français doit l’emporter rapidement car il doit empêcher la jonction de l’armée russe à celle des Prussiens. Les points de victoire sont en faveur du joueur prussien qui en gagne en plus à chaque tour où la partie n’est pas menée à son terme. Le rôle du français est donc de prendre des risques pour atteindre ses buts de guerre tout en faisant des pertes à son ennemi. Des opportunités se présenteront pour le joueur prussien afin de surprendre un corps adverse isolé dans son avance tout en reculant avec parcimonie. Les deux camps sont donc asymétriques mais comme le jeu se veut rapide, il est possible de jouer les deux rôles sur une soirée. Les test ont donné 55 % de victoires prussiennes, le plus souvent obtenues au dernier tour, ce qui renforce la tension des parties.
JB : Déterminer les conditions de victoire fut un des challenges les plus importants que nous ayons eu à relever. Le plaisir de jeu est aussi basé sur le fait que les parties doivent être tendues, et chaque joueur doit avoir la possibilité de gagner, sinon quel est l’intérêt ? C’est pour cela que nous avons porté une attention particulière aux conditions de victoire, et changé plusieurs fois d’idée avant de trouve le bon équilibre.
Comment décririez-vous en un seul paragraphe votre jeu, et qu’est ce qui fait son originalité ?
DS : Napoléon 1806 est un jeu de manœuvre simple, rapide et fluide. La gestion de la fatigue de ses troupes est la clef du succès. Parvenir à faire converger ses forces tout en maintenant un niveau de cohésion élevé pour la bataille décisive sont les moteurs du jeu. J’ai centré mon travail sur le plaisir ludique, les parties se devant être interactives et rythmées.
JB : Et comme Denis l’a précisé plus haut, nous voulons aussi que les joueurs disent « Whaoooo » en ouvrant la boîte et en déployant les différentes composants du jeu. Nous nous sommes donc aussi concentrés sur le rendu final du jeu.
En étudiant les règles et les composants du jeu, il semble que vous ayez subi plusieurs influences : éléments de jeu des « Eurogames », placement caché, mouvement zone à zone… Quels jeux – wargames ou autres – vous ont inspirés ?
DS : La gamme de jeux Columbia avec la thématique du brouillard de guerre a inspiré ma démarche. Pourtant, l’originalité du système repose sur les règles de fatigue que je souhaitais voir modéliser et, sauf erreur de ma part, elles sont très rarement simulées. Ensuite s’inspirer de la démarche des jeux de plateau est volontaire pour attirer ce public et faire découvrir les plaisirs ludiques de la stratégie à de nouveaux venus.
Une question pour les acharnés : vous avez choisi Frederick III comme commandant en chef pour les Prussiens. Pourquoi lui et pas Brunswick ?
DS : Bonne question, le commandement prussien était très confus, les récits historiques décrivent des conseils de guerre houleux où au final l’indécision prime. Aucun commandant en chef ne se distingue particulièrement. J’ai donc choisi Frédéric III pour représenter le centre des opérations prussien plutôt que l’organisateur de l’armée. Son bonus, qui permet à ses troupes de diminuer la fatigue, simule la logistique prussienne.
Une de plus pour les Grognards : Puis je mettre mes bataillons en carré dans le jeu ? Cela me conférera t-il un avantage ?
DS : L’échelle du jeu n’est absolument pas tactique. Les quelques pions qui représentent la grande armée regroupent 15.000 à 25. 000 hommes chacun. Impossible de décrire en détail les formations déployées sur le champ de bataille : colonne, ligne, tirailleurs ou carré. Pourtant, l’une des cartes du jeu qui peut être employée pendant un combat se nomme « Carré », elle permet au joueur français, de diminuer ses pertes. Elle est inspirée de l’échec des grandes charges de Blücher à Auerstaedt sur les carrés des divisions françaises.
Le plateau de jeu est superbe. Est-ce un original, en clair, l’avez-vous dessiné en prenant pour base une carte historique ? Ou est-ce une carte de l’époque retravaillée et adaptée ?
DS : J’ai utilisé l’original de l’atlas de l’histoire du Consulat et de l’Empire de Monsieur Thiers. Ensuite c’est le talent de Nicolas Treil, l’illustrateur qui a fait le reste. L’idée étant de croiser infographie moderne et dessin à la l’encre de Chine afin de conserver l’esprit des travaux de l’époque. On retrouve ces choix graphiques dans tous les éléments du jeu.
JB : Pour parler un peu plus de Nicolas, il a rejoint l’aventure plus tard, mais il a amené avec lui son enthousiasme et son talent. Il a donné à Napoléon 1806 une touche unique, et nous sommes vraiment très heureux de travailler avec lui su ce projet.
Je suis un fan de la règle qui impose de marquer le chemin d’entrée dans une zone occupée, notamment pour la retraite. Qu’est-ce qui vous a inspiré ? Est-ce quelque chose qui vous semble manquer dans d’autres règles à la même échelle ?
DS : La règle est apparue de manière plus aboutie dans la série « Les Maréchaux ». Celle de Napoléon 1806 est plus épurée. L’idée est de ne pas permettre à des forces adverses de se rencontrer sans combattre ou du moins, d’éviter qu’elles ne se croisent pour aller chercher les points de victoire liés aux objectifs stratégiques.
Je sais que vous souhaitez pour le jeu publié, mais, quand il le sera, pensez-vous proposer d’autres campagnes ? Aucune idée desquelles ?
DS : Si Napoléon 1806 est un succès, l’idée est de poursuivre la série par la campagne de 1807 en Pologne qui peut simuler trois campagnes différentes sur un même théâtre d’opérations : Pultusk, Eylau et Friedland. Ce pourra être également Bonaparte en 1796 avec les affrontements pour la possession de Mantoue en Italie. Là aussi de nombreux scénarios sont possibles : Bassano, Rivoli, Arcole… Néanmoins, Shakos ne compte pas se limiter à l’empire. Julien Busson, le développeur de Napoléon 1806 a son propre projet, une simulation des premiers mois de la première guerre mondiale sur le front ouest avec la même ligne directive que pour Napoléon 1806 : accessibilité et historicité.
JB : Oui le Premier Empire n’est pas la seule période historique que nous voulons explorer. Cependant nous voulons rester fidèle à nos idées de base, et le jeu sur la 1ère GM sera aussi basé sur l’usure des troupes et le brouillard de la guerre.
Autre chose que vous souhaiteriez partager à propos de votre société ou de cette campagne ?
DS : Plus que sur la campagne c’est sur la finalité du projet que je souhaiterais revenir. Notre volonté à Julien et moi c’est de s’amuser, je pense que Napoléon 1806 retranscrit cela : simulation historique mais aussi plaisir ludique.
JB : Oui nous voulons prendre du plaisir, mais nous voulons aussi que cette campagne KS soit un succès ! Aussi il vous reste encore quelques jours pour nous soutenir et faire de ce projet une réalité !
Merci à Jim et à GrogHeads de nous avoir offert l’opportunité de cette interview !
Palier des 15 000 passé ! Plus que 5 000 ça devrait le faire…
Allez on se bouge !
Foussa67 dit :Ok, merci de la réponse, et oui effectivement d'après d'autres éditeurs, les dés ça coûtent cher !
Et c'était quoi la répartition des dés, selon le camp ? rien n'empêche de se faire ses propres dés. Et il en faudrait combien du coup idéalement, et par camp ?
Mais du coup, avec la façon actuel de gérer les combats, avec les cartes, ça fait que le deck de cartes tournent bcp + vite qu'avec des dés pour les combats. Ca ne pose pas de problème ?
Bon, c'est vrai qu'avec les cartes ça permet, si on est trèèès attentif aux cartes défaussées, d'avoir un peu près une idée de notre force de frappe encore disponible (ou pas).
J'ai fait un petit topic sur le fansite de Conan, où on parle aussi un peu d'autres jeux. Bon c'est pas le public cible, mais comme tout soutien est bon à prendre, si jamais tu veux réagir là bas aussi : http://the-overlord.com/index.php?/topic/350-ks-en-cours-napol%C3%A9on-1806/
Je réitère mes questions ci-dessus !
Sinon, très bien l'article sur le blog, l'interview et hop, palier des 15 000 euros franchis, que des bonnes choses !
Foussa67 dit :Foussa67 dit :Ok, merci de la réponse, et oui effectivement d'après d'autres éditeurs, les dés ça coûtent cher !
Et c'était quoi la répartition des dés, selon le camp ? rien n'empêche de se faire ses propres dés. Et il en faudrait combien du coup idéalement, et par camp ?
Mais du coup, avec la façon actuel de gérer les combats, avec les cartes, ça fait que le deck de cartes tournent bcp + vite qu'avec des dés pour les combats. Ca ne pose pas de problème ?
Bon, c'est vrai qu'avec les cartes ça permet, si on est trèèès attentif aux cartes défaussées, d'avoir un peu près une idée de notre force de frappe encore disponible (ou pas).
Denis répondra mieux que moi. Mais on a fait en sorte que la répartition des résultats sur les cartes soit équivalente à ce qu'on obtenait avec des dés.
Il est tout à fait possible de réaliser des dés maison, c'est ce qu'on a fait d'ailleurs pour les prototypes. Il y en avait 5 par camp.
Concernant la vitesse de rotation du jeu de cartes, je suis pas un pro en stat. donc j'ai aucune idée de l'impact !:)