Ha oui c'est vrai, j'ai oublié de poser une question...
Quand est-ce qu'on y joue....???
J'ai vraiment envie d'y jouer.. Si jamais tu faus des parties test et que tu cherches des joueurs, hésites pas à me contacter.
Et non machicoolie je ne suis pas du 35 mais plutot du 06... C'est Astur qui m'a trouve la belle image de l'asile de Beauregard.
Pour Tester le Jeu je compte faire un module Vassal bientot (enfin d'ici un mois) des que tout sera bien en place. (il reste quelques details a finaliser).
Pour astur : En fait pour les maladie mentale c'est gerer de cette maniere : chaque joueur recoit pour son fou furieux une carte Folie
qui octroit a ce joueur un pouvoir (fort) et une capacite.
Cette folie est la pour aider le fou voici un exemple pour 2 personnages l un sera capable s'il depense un point de capacite de voir la puissance que va utiliser l'adversaire, l'autre par contre pourra augmenter sa force... etc:
et si vraiment vous etes presses d'y jouer je vais essayer de preparer une version telechargeable.
Mon soucis c'est que je n'ai pas encore formalise les regles... Enfin maintenant elle sont claires dans mon esprit (reste plus qu'a les ecrire) 
Par contre il faut noter que pour y jouer il faut pas mal de des... 9 par joueurs...
Engel dit:Pour astur : En fait pour les maladie mentale c'est gerer de cette maniere : chaque joueur recoit pour son fou furieux une carte Folie
qui octroit a ce joueur un pouvoir (fort) et une capacite.
Donc si je comprends bien, tes points de SAN te servent à lancer plus de dés et aussi à activer le pouvoir et la capacité de ta carte Folie ?
Du coup si tu dépenses d'un côté et de l'autre, il ne t'en reste plus ...
On doit certainement pouvoir en récupérer, médocs ou autre ?
En fait les points de SAN te servent a lancer plus de des mais pas a activer ta capacite (ta capacite est active en deplacant (en payant) un token Jaune, tu en as 4 pour toute la partie. (Tu ne peux utiliser ton pouvoir qu'une seule fois) mais tu as la possibilite de le reactiver en ne faisant rien pendant un tour.
Et tu as raison parmis les objets il y a des armes et des medocs qui peuvent rendre de la Sante mentale ou(et) de la vie :
Et quand tu tape avec une arme (tu rajoutes le de de l'arme).
Mais tu n ai pas oblige de l'utiliser par exemple tu peux tirer 3 fois avec le revolver... Tu prends le de de l'arme dans ta main mais au final tu ne le jette pas avec le de rouge (tu bluffe). Ce qui veut dire que tu te bas a main nu (tu economises une balle) tout en faisant peur car potentiellement tu pouvais utiliser ton arme.
Ok, sinon pour tes illustrations, tu les as faites avec un logiciel ou dessin et scan.
D'après ce que je vois je dirais les deux...non?
En fait les illustrations sont faites a partir des dessins d'un illustrateur que je connais. Je les ai ensuite retravaillees avec Photoshop pour les recadrer et ajouter le necessaire pour le jeu.
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Sinon voici la description d'un des pensionnaires... de l'Asile :
Sans un mot, lentement, il se redressa, prenant appui sur ses bras entravés, et se mit en équilibre sur les genoux. Sa posture inconfortable était étrange, car son dos demeurait en retrait alors que sa tête était tendue vers l’avant. Ainsi positionné, il paraissait attendre la sortie de la jeune femme qui lui faisait face et le surplombait. Mais celle-ci ne semblait pas décidée à partir. Émilie, incapable de décrocher son regard de Frank, commença à prendre des notes dans son dossier. L’infirmière griffonna ces quelques mots : « Pour clore l’entretien, le sujet a pris la posture d’un rappeur qui ferait une sorte de prière, son regard est fier et menaçant, voir envoûtant. » Comme pour lui répondre, il se mit à lui tirer la langue. Elle continua à écrire : « Son attitude est puérile, il me tire la langue et fait des gestes obscènes : type cunnilingus ! »
Ressortie au maximum, sa langue effectuait maintenant des va-et-vient et s’agitait de gauche à droite de plus en plus rapidement. Le reste de son corps parfaitement immobile, Frank commença alors à émettre un son continu, une sorte de sifflement.
— tssssssssssssssssssssssssssssssssssss…
Son visage était de marbre, et son regard fixe et obscène ne cillait plus du tout, laissant imaginer le vice qui s’était immiscé dans son esprit. Il la savourait du regard, Émilie en était certaine, et c’en était gênant et indécent. Elle reboutonna à la va-vite le dernier bouton de sa blouse.
Lui était captivé par cette créature qui lui faisait face. Il avait peur de ses réactions, sa meilleure défense restait l’attaque. Il savait déjà où il allait frapper, et comment il allait s’y prendre : il attendait juste le bon moment, l’erreur que commettrait cet étrange prédateur qui émettait des bruits incroyables avec sa gueule.
— Bon ça suffit, Frank, vous avez passé l’age de ses enfantillages…
Ses mots, il ne les comprenait plus. Ils n’avaient aucun sens, et même ils le terrorisaient. Il devait être prudent, essayer d’en finir le plus rapidement possible. Pour mieux ressentir les odeurs de la pièce, il agita de plus belle sa langue qui se mit à vibrer.
— tssssssssssssssssssssssssssssss…
— OK, vous avez gagné ! Inutile de continuer, je vous laisse !
Elle avait espéré une réaction plus intelligente, mais voyant qu’elle ne pouvait plus rien en tirer, elle tourna les talons et se dirigea vers la sortie. Aussitôt, Frank tendu comme un arc se projeta sur elle, sa gueule exagérément ouverte. En une fraction de seconde, il l’attrapa et planta ses dents dans le mollet de sa proie qui s’écroula, hurlant de douleur, tandis que le volumineux dossier volait en éclat, répandant une centaine de feuilles noircies dans la chambre capitonnée.
L’homme aux réactions animales maintenait fermement la doctoresse dans sa mâchoire. Tous deux étaient au sol, à la lutte. Même entravé, l’agilité que Frank déployait était extraordinaire. D’un mouvement circulaire, une sorte de déplacement par ondulation latérale, il parvint ainsi à enrouler ses puissantes jambes autour de son innocente victime. Sa détermination ne laissait aucune chance à la jeune femme qui hurlait de plus en plus faiblement. Lui n’avait qu’un but : la tuer par constriction. Il savait que la mort viendrait lentement, Émilie suffoquait déjà. Désormais, sa cage thoracique ne pouvant plus se gonfler d’air, elle ne criait plus. Le silence était revenu dans la petite pièce, mais Frank ne lâchait toujours pas prise et goûtait le sang de sa proie dans sa mâchoire d’acier. Il avait vaincu son ennemi. Toute crainte avait disparu, il contrôlait la situation. Maintenant c’était Émilie qui tirait la langue. Épuisée et terrorisée à l’extrême devant la fatalité qui s’annonçait, la jeune femme se résigna à accepter l’inéluctable : sa mort prochaine. C’est ainsi qu’elle sombra peu à peu dans l’inconscience. Un voile noir obscurcit ses derniers espoirs, et elle eut cette étrange impression de tomber, de traverser le sol… Son cœur avait cessé de battre.
, la classe!
Je dois dire que c'est bien écrit.
A chaque ligne, on a envie de lire la suite même si on s'attend à cette fin. Les descriptions sont claires et bien tournées par le vocabulaire et les métaphores utilisés.
Mise à part quelques petites fautes d'ortographe et parfois syntaxique
(bah oui, fallait bien une petite critique):wink:
Merci !
En fait c'est un passage d'un bouquin que j'avais ecrit il y a quelques annees, c'est ce bouquin qui m'a fait pense a faire le jeu.
Si tu as aime tu peux telecharger le livre complet si tu veux:
http://www.lulu.com/product/file-download/r%c3%a9incarnations/5473274
Merci c'est sympa.
En tous les cas, je viens de lire une partie (toute petite) du prologue et sincèrement ça donne envie de lire la suite. Je pense que je lirais. Je te donnerais mon opinion, si ça t'intéresse.
Si tu as besoin de testeurs pour ton jeu et qui plus est si tu viens en bretagne n'hésite surtout pas à me contacter.
Bravo en tout cas (enfin je te dirais ça après la lecture de ton chef d'oeuvre... )
Pour la Bretagne c'est pas avant Aout pour les vacances.
Sinon tu verras le livre une fois que l'action a démarrée, ca s'enchaine jusqu'au dénouement final... Et toute critique sur le bouquin est bien sur la bienvenue!
Sinon bien sur j'aurai besoin de testeurs.
En fait je pense avoir fini mon prototype, maintenant il faut que je rédige des règles et ensuite je pense faire un module Vassal pour que tu puisses tester. La création du module sera rapide car j'ai déjà toutes les images qui sont prêtes. En tous les cas merci de l’intérêt que tu portes a ce jeu naissant 
pour la description de ton fou.
Il va te falloir un dictionnaire pour ta règle si tu décris tous tes personnages de cette façon.
Moi je trouve dommage que les fous puissent ne s'armer qu'avec des armes classiques.
J'aurais vu plus de pouvoirs psychiques, inquiètants un peu comme des relations avec satan (ou autre). Quelque chose de plus démoniaque !
Sort ton livre est ensuite "le jeu tiré du livre". Tu as beaucoup de talent.
Bien à vous:
Prof.
Hello Prof,
Je ne ferai pas plus de description sur les fou de l'asile... Il me semble par contre qu'il y en a un qui est bien decrit (Hannibal...)
Pour les pouvoirs comme tu l'entends en fait chaque fou aura une carte folie et sur cette carte il y a un pouvoir et des capacites. C'est ainsi que je compte faire pour destabiliser et rendre encore plus inquietant le jeu
Je suis un peu gêné par le thème, en effet certaines personnes souffrent de démences, c'est une réalité et une difficulté pour ces personnes et leurs familles, en faire un thème de jeu paraît donc délicat.
Cela dit c'est vrai que c'est intéressant.
Ne serait-il pas possible de développer un synopsis écartant clairement le jeu de la réalité?
(désolé de faire le rabat joie)
C'est clair qu'il ne faut pas voir ce theme comme du reel mais plutot comme ce qui se fait au cinema. Les malades mentaux internes dans l'Asile sont tous des Hannibals en puissance qui n'ont qu'un reve s'echapper de l'Asile par tous les moyens.
Donc oui, je me dois de clarifier et développer une sorte de synopsis écartant le jeu de la réalité, c'est ce que j'ai essaye de faire en presentant l'un des personnages qui a la capacite de reincarner des ames d'animaux en lui. C'est decorele du reel mais le resultat peut etre ludique.
Yzar dit:Je suis un peu gêné par le thème, en effet certaines personnes souffrent de démences, c'est une réalité et une difficulté pour ces personnes et leurs familles, en faire un thème de jeu paraît donc délicat.
A ce moment là il ne faut pas non plus faire des jeux de guerre !
Même le monopoly, il y en a qui se font ruiner... Dans la réalité ce n'est pas marrant !
Et puis les jeux de poursuite en voitures, les accidents hou la la!!!
Euh....non c'est très différent, là on entre dans un thème assez tabou dans notre société, les maladies psychologiques sont encore "honteuses" malheureusement.
Je n'ai jamais dis qu'il ne fallait pas faire ce jeu mais qu'il serait judicieux de faire le synopsis en conséquent, ce qu 'angel approuve
Pas de malaise
Pour ma part je suis infirmier en psy, et j'ai d'ailleurs un vieux proto qui se passait dans une unité de psy que je souhaitait ressortir du placard un de ces jour. Rassure toi Engel, c'est pas dans le même concept, là on jouerait des infirmiers en coop qui devrait tenter d'éviter que la folie gagne tous les patients. Mais enfin bref, musique d'avenir très lointaine...
Quoi qu'il en soit, il me semble que le projet d'Engel ressemble plus à une espèce d'épopée glauque lovecraftienne qu'à une parodie de la réalité.
En fait dans L'asile d'Aliene au debut du Jeu chaque joueur (Joue un fou et un(e) infirmier(e)).
Le 1er but a atteindre est de delivrer un second Fou beaucoup plus dangereux (un serial killer) qui lui pourra faire des victime et de l'aider a s'echapper.
(Pour delivrer son serial-Killer le Fou doit soit prendre le Pass qui se trouve au milieu du plateau (mais il ne sera pas tout seul a vouloir cette clef) soit prendre une clef sur un infirmier que l'on a au prealable assome (sauf qu'on ne sait pas quelle porte ouvre la clef de l'infirmier)...
Pendant ce temps l'infirmier(e) que chaque joueur dirige aide a stopper les autres Fou, ou peut aussi aider a soigner et soutenir son propre fou...
Donc c'est pas vraiment comme avec HP Lovecraft ou il y a des Monstres a combattre (la c'est plutot huis clos entre infirmiers et psychopathe plus ou moins dangereux).
okay, j'entendais par "lovecraftien" le coté ambiance glauque, pas forcément la référence au montres. J'aurais pu dire l'Asile d'Arkham (Celui de batman du coup).