En essayant de répondre à une question sur la durée de vie d’un jeu je me suis rendu compte qu’en fait il y avait des critères très différents pour une longue durée de vie.
Bien sûr la réponse la plus évidente c’est un jeu facile d’accès, aux mécanismes passionants et aux parties toujours renouvelées (certains ajouteront et au thème en béton)
Mais si le jeu ne conjugue pas toute ces qualités, qu’est ce qui a la meilleure durée de vie ?
Un petit jeu facile à expliquer et sympa à présenter, qu’on sortira souvent mêle si ce n’est pas notre jeu préféré (exemples 6 Nimt, le jeu des cochons, jungle speed…)
Un gros jeux aux mécanismes assez lourds qu’on ne pourra sortir qu’avec des joueurs passionnés pour étudier toutes les stratégies et contre stratégies possibles (exemples Euphrat, Amun Ré, Age of steam…)
Un jeu pas forcément inusable dont on évitera de faire 3 parties d’affilées mais qu’on aura plaissir à sortir de temps à autre et ce pendant tès longtemps (exemple (perso) : Traumfabrik, Serengeti, Citadelle)
Voilà une question que je trouve particulièrement difficile.
Si je me penche sur mes propres habitudes (en sachant qu’elles ne représentent pas un modèle), mes critères sont très liés à l’émotion.
Les jeux qui ressortent régumièrement ne semblent pas partager d’autres points communs que les bons souvenirs de parties qu’ils ont laissé dans mon souvenir. Je cherche alors à renouer en rejouant avec ce plaisir, soit en le partageant à nouveau avec les mêmes joueurs, soit en essayant de le partager avec d’autres personnes.
euh…
Les 3, on peut ?
Blue dit:euh...
Les 3, on peut ?
Ben non, parce que par essentiel je voulais dire le plus important et que si on répond les trois on retombe sur le jeu idéal
Le fait qu’il faille plusieurs parties pour maitriser le jeu.
Par exemple, avec les échecs, tu peux y passer ta vie.
Même pour quelqu’un qui ne joue que depuis 3 mois comme moi cette question est difficile. Dans mon petit groupe de joueurs (ma conjointe, mon beau-père et ma belle-soeur de 12 ans), on n’arrête pas de jouer à Carcassonne et Puerto Rico. Mais pour des raisons très différentes. Carcassonne nous plaît par la simplicité des règles et Puerto Rico pour sa richesse au niveau stratégique.
Alors que répondre au sondage… Là je ne sais pas.
J’ai voté milieu!
Mais le principal argument pour moi est le suivi de ce jeu au fur et à mesure des années. Notament la valeur du jeu et les compétitions qui y sont liées.
Exemple: Magic
J’ai démarré en 93, j’ai suivi 3 années puis revendu mon P9, j’ai repris il y a 5 ans, arrete apres 1 an, j’ai repris l’an dernier parce que le theme Japonais plaisait bien.
Voilà… J’aurais bien rajouté ce 4émé point.
Rudolf
C’est terrible ca! On a beau se connecter , le temps d’ecrire le message et on devient invité!!!
Mister Phal, tu pourrais pas obliger à se logger pour ecrire un message?
Rudolf…
Eric dit:Blue dit:euh...
Les 3, on peut ?
Ben non, parce que par essentiel je voulais dire le plus important et que si on répond les trois on retombe sur le jeu idéal
En fait, ce que je voulais dire, c'est qu'il suffit qu'un jeu ne réponde qu'à un seul critère pour avoir une durée de vie ennorme...
Ben…
c’est pas le premier, parceque si je prend chikcen je sais plus quoi, que je ressort souvent, c’est pas si riche que ça,
c’est pas le second, parce que … E&T et autre…
C’est donc le 3, parceque la definiion de la durée de vie c’est qu’on ressort le jeu avec plaisir.
Je suis par ailleurs assez d’accord avec le Docteur Mops… Le souvenir du plaisir accroit le desir.
en d’autres mots :
“et le desir s’accroit quand l’effet se recule”
Corneille…
Par expérience, c’est malheureusement l’accessibilité. J’aimerais dire que la richesse stratégique et le mécanisme prime, mais hélas, ce n’est pas le cas.
Non pas que je n’aime pas les jeux légers, mais il n’y a vraiment que ceux là qui sortent et les autres restent sur mes étagères, fautes de joueurs… En fait ça me rend un peu triste.
Un matériel simple, rapidement mis en oeuvre + des règles simples + penser que l’on peut s’y perfectionner, ou pour ceux ou le hasard est mêlé au raisonnement que l’on va prouver que si l’on a perdu c’est la faute au hasard