La frite de Belgique !

sanyo.pachinko dit:[...] et O2 qui m'invite à jouer à son club de Namur demain...
Moi je dis : Vive la Belgique ! :pouicok:

On a passé une très bonne soirée en votre compagnie !
C'est sympa d'avoir fait la route pour venir nous voir... :-)

Voici le lien vers la vidéo qui a été tournée au club l'an dernier.

Et pour les autres qui seraient dans les parages ce week-end,
je rapelle que ce sont les 33 heures du club (voir ma signature).
Fred. dit:Pourquoi faut il que les hommes s'excluent les uns les autres, pourquoi l'individualisme prend le pas sur la solidarité, pourquoi ?


Pourquoi le mal? Pourquoi n'y at-il jamais de rab de frites? Pourquoi l'acnée? pourquoi montcuq n'est pas sur un plateau?
bertrand dit:Pourquoi le mal? Pourquoi n'y at-il jamais de rab de frites? Pourquoi l'acnée? pourquoi montcuq n'est pas sur un plateau?


Parcequ'il y a trop d'injustice dans le monde.

Cela dit la presse de ce matin développe une thèse intéressante: le vote en commission serait en fait un moyen de mettre les problèmes communautaires sur une voie de garage (le projet de loi va faire l'objet de toute une série de recours et de procédures dilatoires) afin de laisser les mains libre au formateur du gouvernement à qui le Roi a renouvellé sa confiance.

J’étais en belgique ce week end, quel beau pays. :)

Krka dit:J'étais en belgique ce week end, quel beau pays. :)


Dans quel coin as tu été ?

Coin Coin!!

Fred. dit:Pourquoi faut il que les hommes s'excluent les uns les autres, pourquoi l'individualisme prend le pas sur la solidarité, pourquoi ?

Parce que!

Stavlot et Malmedy

Emlyn dit:
Dans quel coin as tu été ?

LoloClav dit:
Flapy dit:Je confirme. Record battu pour la formation d'un gouvernement en Belgique.

Quels joueurs ces belges...
Pardon. :kingboulet:


Bon, on a l'occasion de se faire du fric !
Alors, on se les place ces paris ? :wink:

Don Lopertuis

Je parie que d’ici Noël pas de gouvernement :D
Mouarf vu comment c’est parti c’est sur de durer… mais que c’est long…
Et pourtant tout va bien en apparence, on ne manque de rien. L’impression que c’est une gue-guerre un peu loin de moi tout ca.

Flapy dit:- Une proposition qui passe grâce au Vlaams Belang, équivalent flamand de votre Front Nationnal, dont un des slogans favoris est "Que la Belgique crève!". Lorsqu'une loi est proposée ou/et suivie par l'extrême droite, ça doit faire jaser dans les chaumières chez vous aussi.


Peu de chances, il doit y avoir un seul député FN sur 577, si je ne m'abuse. Enfin, j'espère que tout finira bien pour la Belgique et que la crise amènera les Belges à repenser à ce qui les unit... il y a bien quelque chose, non ?

Entendu ce matin dans le revue de presse de “Zone 80” suite aux affronts des flamands contre les francophones vivant à la périphérie bruxelloise :

“Ami wallon fait comme moi, prend tes prochaines vacances en Antartique avec ton sèche-cheveux et fait fondre tout ce que tu peux. Les flamands feront moins les malins quand leur pays sera englouti.”

Pour ceux qui ont envie d’entendre d’autres sons de cloches:


L’autonomie au nom de la solidarité
Les revendications flamandes ne sont pas l’apanage des partis nationalistes. La preuve avec ce texte de militants de gauche publié par De Standaard.
P our le maintien de l’unité de la Belgique, la Liégeoise Marie-Claire Houard réunit des milliers de signatures. Il s’agit d’une pétition http://www.lapetition.be/petition.php?petid%20=408 qui ne se limite pas aux frontières des partis. Pour l’instant, le compteur est à 130 000 signatures.
Ce n’est pas mal du tout, madame Houard. En revanche, les préoccupations qui motivent le maintien de ce royaume sont exprimées très simplement. “Notre pays est trop petit, à l’heure de l’Europe, pour être divisé. Nous, Belges […], demandons aux hommes politiques de s’occuper des vrais problèmes tels qu’emploi, sécurité, santé, bien-être, environnement… sans gaspiller leur temps et NOTRE argent à des querelles qui ne concernent qu’une minorité.” Cette initiative aboutira le dimanche 18 novembre à une manifestation pour le maintien de ce pays. Du point de vue de la politique émotionnelle, celle-ci peut avoir du poids, mais le contenu de cette pétition est à notre avis moins convaincant.
Madame Houard, vous devez savoir que la nécessité d’une réforme en profondeur de ­l’Etat est dictée par la nécessité pressante de tailler sur mesure une politique concernant les compétences les plus essentielles – santé, fiscalité, emploi… – pour les Communautés et les Régions. Dans la structure actuelle de la Belgique, une telle mission est impossible. La Wallonie et Bruxelles, où le chômage est plus de deux fois supérieur à celui de la Flandre, en sont tout particulièrement conscientes.
Voir les flamands comme des égoïstes est caricatural
Madame Houard, partons du principe que la campagne a pour origine la préoccupation justifiée de préserver le plus de solidarité sociale possible à l’intérieur des frontières de ce qu’est aujourd’hui la Belgique. Dans le meilleur des cas, on peut considérer cette initiative comme une campagne contre l’“égoïsme” des riches Flamands “séparatistes”.
Avec beaucoup de bonne volonté, on peut trouver dans cette conception un certain fond de vérité. Mais l’idée que tous les Flamands qui se battent pour leur indépendance seraient animés par un tel égoïsme est caricaturale. Notre hypothèse est au contraire que cette solidarité est menacée par les structures mêmes de la Belgique, au sein desquelles les problèmes communautaires attisent les oppositions depuis des générations. Selon nous, la solidarité n’est pas toujours endiguée par les frontières. L’absence de frontières claires et nécessaires est la meilleure garantie d’une remise en cause de la solidarité.
Coupés de la réalité comme des personnages de swift
Les frontières servent bel et bien à délimiter et font en sorte qu’un peuple soit ­responsable de ses propres compétences. Cela n’a rien à voir avec le chauvinisme, le patriotisme, ­l’agitation de drapeaux, les feux de camp autour desquels on chante des hymnes nationalistes et les pages noires du passé. C’est tout simplement une question de droit très démocratique à l’autodétermination. Ce qui est extrêmement étonnant, c’est que certains intellectuels et représentants du monde culturel aient honte de s’exprimer en tant que Flamands. Pourquoi le fait de reconnaître que l’on appartient à un certain peuple serait-il un problème ?
Une autodétermination définie dans le cadre de bons accords intercommunautaires permet d’en finir avec des problèmes qui se sont développés à partir de structures empêchant la croissance des différentes Régions, à savoir les structures belges qui génèrent ces problèmes communautaires. On peut nier les problèmes, comme l’a fait le mouvement ouvrier traditionnel pendant des générations, mais ils n’en disparaissent pas pour autant.
Où est donc le temps où les Flamands progressistes étaient les fervents partisans d’une fédéralisation la plus importante possible pour – c’est ainsi qu’on l’exprimait à l’époque, madame Houard – donner à la Wallonie ­progressiste une chance de constituer un îlot anticapitaliste en Europe de l’Ouest ? Le ­fédéralisme et une réforme structurelle anticapitaliste étaient les grands slogans des années 1960. Cette approche découlait d’une puissante aspiration à l’autodétermination : personne ne voyait là une attaque contre la solidarité. Pourquoi une demande croissante pour l’autodétermination et des frontières claires qui y sont ­associées constituerait-elle une attaque aujourd’hui ?
Pour finir, Madame Houard, cette réflexion : dans Les Voyages de Gulliver, de Jonathan Swift, le voyageur débarque sur l’île volante de Laputa, un paradis de sciences superflues et inutiles. Les savants cherchent l’ultime preuve de l’existence de Dieu et les architectes conçoivent des maisons en commençant par le toit. Cela ne peut pas bien se terminer. Les insulaires ont perdu tout contact avec la réalité et vivent dans une réserve qu’ils ont eux-mêmes créée de pseudo-problèmes et d’élucubrations totales. Le lien avec la Belgique actuelle est évident.
* Militants flamands progressistes de gauche.
Julien Borremans, Freddy De Pauw et Jan Van Ormelingen*
De Standaard

Courrier international


L’argent au cœur du problème
Chaque année, la Flandre verse 10 milliards d’euros à la Wallonie. Les francophones doivent donc accepter la réforme des institutions.
Sans doute est-ce un regard trop néerlandais sur la situation en Belgique, mais le problème dans la formation du gouvernement belge ne semble pas vraiment résider dans la scission de Bruxelles-Hal-Vilvorde (d’ailleurs justifiée). C’est plutôt une question d’argent. Car le partage de cet argent est très déséquilibré. La Flandre verse chaque année plus de 10 milliards d’euros à la communauté francophone, sans pour autant bénéficier d’une influence supplémentaire ni même recevoir de remerciements. Dix milliards, une somme gigantesque. Aux Pays-Bas, une querelle est survenue il y a deux ans, car notre contribution nette annuelle à l’Union européenne ­s’élevait à 2 ou 3 milliards d’euros.
La Flandre, qui est plus petite, paie quatre fois plus que la Wallonie. En pourcentage du produit intérieur brut (PIB), cela représente même davantage. Deux à trois milliards correspondent à environ 0,5 % du PIB des Pays-Bas, tandis que les 10 milliards flamands sont équivalents à 5 ou 6 % du PIB de la Flandre, qui, selon les données du gouvernement flamand, s’établissait en 2006 à 180 milliards d’euros. Vous allez dire : à quoi sert de jongler ainsi avec les chiffres ? Mais 5 % du PIB est ridiculement élevé – aux Pays-Bas, cela représente par exemple l’ensemble du budget de l’éducation. De plus, on ne peut pas fonctionner longtemps au sein d’une fédération sur la base de relations financières déséquilibrées.
Je séjourne actuellement en Slovénie, un pays qui, en déclarant son indépendance en 1991, a fait sauter la Yougoslavie. Pourquoi les ­Slovènes ont-ils agi ainsi ? Par habitant, ils gagnaient plus de quatre fois ce que percevaient les Serbes, qui, en revanche, décidaient de l’attribution des fonds. Pour les Slovènes, le problème se posait en ces termes : payer sans décider. Ils ont exigé davantage de compétences au sein d’une fédération plus souple et les Serbes ont voulu conserver coûte que coûte la vache à lait. Là-dessus, les Slovènes ont déclaré unilatéralement leur indépendance, de même que la Croatie, qui, ayant un secteur touristique florissant, transférait des sommes disproportionnées vers Belgrade.
Les francophones prennent le risque de faire sauter le pays
Le démantèlement de la Yougoslavie nous évoque surtout une guerre sanglante. Mais les raisons de cette séparation sont bien plus pertinentes. Un Etat versait des montants disproportionnés à la fédération sans obtenir d’influence supplémentaire en échange. Dans pareille situation, il n’y a que deux solutions : soit on essaie de garder l’argent pour soi, soit on exige plus d’influence. Yves Leterme [le chrétien-démocrate flamand chargé de former un gouvernement] a opté pour la première solution : exiger plus de compétences pour la Flandre et le renforcement des régions au sein d’une fédération belge plus faible, ce qui permettrait de conserver plus d’argent en Flandre. Si les francophones n’acceptent pas cette exigence – et c’est bien entendu ce qui va se passer car ils ne veulent perdre ni l’argent ni le pouvoir –, il n’y a plus qu’à se contenir (et laisser pourrir des relations déséquilibrées) ou à déclarer l’indépendance unilatéralement.
La deuxième solution est moins souvent évoquée. Peu importe de payer plus qu’une autre région du moment que l’on obtient plus d’influence. Aux Pays-Bas, les provinces de Hollande-Septentrionale et de Hollande-Méridionale versent des milliards au reste du pays. Cela étant, c’est bien la Hollande qui détermine l’ordre du jour et décide de ce que le reste des Pays-Bas doit faire. Parfait. Comme la Hollande, la Flandre est le moteur du pays. Mais la Belgique ne se “flandrise” pas comme les Pays-Bas se sont “hollandisés” depuis des années, voire des siècles.
Les Wallons sont avantagés depuis des années. Vont-ils renoncer à leur position privilégiée ? Probablement pas. Peut-être serait-il utile de souligner que les Flamands ont le sens de l’organisation (il suffit de regarder leur économie) et que les Wallons ont eu la possibilité de s’organiser depuis des décennies, mais qu’ils ne sont pas allés plus loin que placer de coûteuses publicités dans The Economist (où la Macédoine fait aussi de la publicité) ? Peut-être serait-il utile de dire que vous voulez seulement les aider à mettre de l’ordre dans les affaires ? Peut-être serait-il utile de dire que l’afflux de milliards ne peut se poursuivre que si la Flandre a le droit d’intervenir ? Pas d’opération, pas de perfusion.
Les exigences flamandes ne sont pas déraisonnables. Reste à savoir si les francophones vont oser admettre que la situation actuelle ne peut en fait plus durer. Dans le cas contraire, ils feront sauter la Belgique.
* Psychologue et écrivain néerlandais, il prépare un livre sur la Flandre.
Victor Irving Spoormaker*
De Standaard

courreir international

Ressuscitons Charles Quint !
Comme à l’époque des ducs de Bourgogne, un retour aux principautés autonomes permettrait de préserver le fédéralisme et la monarchie.
I l ne fait aucun doute que (le destin de la monarchie de ce pays est lié à l’évolution constitutionnelle du royaume. Et il est important de souligner qu’en tant qu’institution la monarchie constitutionnelle n’est nullement contraire aux principes fondamentaux du fédéralisme classique. De plus, dans tous les Etats fédéraux qui fonctionnent bien – la république fédérale d’Allemagne, la Suisse, le Canada et les Etats-Unis d’Amérique –, les entités fédérées jouissent d’une large autonomie et constituent l’élément fondamental de l’Etat fédéral.
Bien entendu, il existe dans tous les Etats fédéraux un pouvoir fédéral coordinateur qui fait en sorte que les Etats fédérés forment ensemble une seule instance politique. En Belgique, ce rôle est rempli par un Parlement et un gouvernement fédéraux, avec comme chef de l’Etat un roi héréditaire. Le fédéralisme dans ce pays est récent et particulièrement fragile. Avec la fixation de la frontière linguistique, en 1963, il était écrit dans les étoiles que seul le système fédéral classique garantirait la survie de l’Etat belge. Dans Le Soir du 13 août, Jules Gheude – auteur d’un remarquable livre sur le politicien [et constitutionnaliste] wallon François Perin [L’Incurable Mal belge sous le scalpel de François Perin, éd. Mols, Wavre, 2007] – explique très clairement le point de vue wallon sur les réformes institutionnelles, à savoir que la réforme de l’Etat a permis la formation d’une nation pour la Flandre, alors qu’elle a complètement échoué pour la Wallonie. Il s’agit d’une donnée fondamentale pour comprendre ­l’avenir de la relation entre les Flamands et les Wallons liés dans un même Etat.
Une Belgique républicaine ne survivrait pas plus de six mois
La question est de savoir comment la monarchie constitutionnelle pourrait contribuer au bon fonctionnement des institutions fédérales. Nous devons en effet partir du fait que la Belgique en tant que république ne survivrait pas plus de six mois. Pour répondre à l’interrogation, il faut replonger dans notre glorieux passé. L’époque bourguignonne [XIVe-XVe siècles], en particulier, est un bon exemple pour la Belgique fédérale. En effet, les géniaux ducs de Bourgogne, dont l’empereur Charles [Quint, né à Gand en 1500] a été le dernier véritable héritier politique, avaient réussi à regrouper de nombreuses principautés des Pays-Bas en un ensemble politique, tout en maintenant leurs institutions et leur identité culturelle.
Les Bourguignons – et, plus tard, les ­Habsbourgs espagnols et autrichiens – ont introduit des titres pour nos principautés, comme comte de Flandre, duc de Brabant, comte de Hainaut, etc. Si la Belgique fédérale devait finalement être scindée en Etats fédérés dotés d’une large autonomie et d’une identité culturelle propre, nous retournerions alors mutatis mutandis à la répartition territoriale de nos arrière-grands-parents. Les Etats fédérés de Flandre, de Wallonie, la région autonome de Bruxelles-Capitale et la Belgique germanophone peuvent être considérés comme les successeurs des anciennes principautés.
Les titres allemands des souverains belges – duc de Saxe et prince de Saxe-Cobourg – sont tombés en désuétude depuis de la Seconde Guerre mondiale et n’ont d’ailleurs plus aucune signification. Pourquoi le roi des Belges ne porterait-il pas les titres de nos anciennes principautés afin de montrer plus clairement le lien que la dynastie établit entre les composantes territoriales d’un même ensemble politique ?
* Constitutionnaliste et professeur émérite à l’université de Gand.
Robert Senelle*
Knack

Il y aurait beaucoup de chose à dire concernant ces trois articles mais il y a en tout cas une erreur flagrante qu’il est important de rectifier :

“La Flandre verse chaque année plus de 10 milliards d’euros à la communauté francophone, sans pour autant bénéficier d’une influence supplémentaire ni même recevoir de remerciements.”

Pas d’influence supplémentaire ???

Alors que le poste de Premier Ministre est occupé depuis près de trente ans par des hommes politique flamands sans ce cela fasse l’objet d’aucune contestation coté francophone.

Alors que les députés flamands ont une majorité de 88 sièges sur 150 à la Chambre et les sénateurs flamands élus directs occupent 25 sièges sur 40 au Sénat (soit une majorité abosule dans les deux assemblée législatives)

Alors que les flamands bénéficient d’une représentation minimum à Bruxelles qui déroge en leur faveur avec la règle du scrutin proportionnel.

Alors que les principaux postes de direction des services publiques, des administration et des grandes entreprises sont détenus par des flamands.

Non, vraiment, s’il fallait donner plus d’influence aux flamands ils faudrait priver tous les francophones de leurs droits civils et politiques, les empêcher de participer à la vie publique et de posséder des entreprises.

Dans le Monde, Hervé Le Tellier dit:
Ubi bene, ubi patria. Là où tu es bien, là est la patrie. Les pages roses de la Belgique semblent tournées. Désormais, les Belges défilent, et la Belgique s'effrite.
bertrand dit: une Xième coupure de presse


Ce serait intéressant que tu t'exprime un jour autrement que par des copier/coller.
Emlyn dit:
bertrand dit: une Xième coupure de presse

Ce serait intéressant que tu t'exprime un jour autrement que par des copier/coller.


Il travaille au Reader Digest !! :lol:
Fred. dit:
Emlyn dit:
bertrand dit: une Xième coupure de presse

Ce serait intéressant que tu t'exprime un jour autrement que par des copier/coller.

Il travaille au Reader Digest !! :lol:


:lol: A l'Internet Digest. :1900pouic:

Je choisis le contenu éditorial, privilégie les "papiers" aux vidéos, ais l'outrecuidance de croire apporter d'autres éclairages, du grain à moudre ..
...Ou simplement une note d'humour en clin d'oeil au titre du topic... :P

Quant à exprimer ce que je pense, je le fais quand je le juge opportun et que mon opinion est tranchée...Mais qui s'en souciera?

Et puis cela m'évite de proférer des énormités :mrgreen: