putains c'est beau
voilà juste pour ça
je me rappelais plus que c'était aussi beau
(et venez pas m'emmerder avec des clichés sur la vision de sindiens par ford, parce que là on s'en fout....bon ok le balafré il a les yeux bleus)
Sauf qu'en couleur c'est pas beau.
J'ai commencé à le regarder et me suis rendu compte qu'il était en VO. J'aime pas lire les sous-titres. Dommage, je le verrai une autre fois.
dmgt dit:Sauf qu'en couleur c'est pas beau.La prisonnière du désert est un film en couleur, il me semble. C'est le technicolor qui te pose problème ?
Eric dit:dmgt dit:Sauf qu'en couleur c'est pas beau.La prisonnière du désert est un film en couleur, il me semble. C'est le technicolor qui te pose problème ?
exac j'ai toujours le souvenir d'avoir vu ce film en couleur,
Rah! ça fait du bien de croiser des gens qui ont vu et aimé ce film! Ca me change des habituels Pff encore un western avec John Wayne toujours super balaise qui sauvent la dame des méchants indiens!
Sinon, je confirme que le film a bien été réalisé en technicolor : la pellicule a vieilli, mais ce n'est pas de la recolorisation que vous avez vu.
J'ai cru que vous parliez de "la captive du desert"... un film entièrement en plan fixe (ou presque...)
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... =5655.html
Il me semblait pourtant qu'il etait en noir et blanc à la base.
xavo dit:J'ai cru que vous parliez de "la captive du desert"... un film entièrement en plan fixe (ou presque...)
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... =5655.html
on parle de ça
John Ford 1956
Ethan Edwards, qui a fait la guerre de Sécession et du Mexique, revient au ranch familial où vivent son frère Aaron, sa belle-soeur Martha, ses deux nièces, Lucy, dix-huit ans, Debbie, neuf ans, son neveu et Martin Pawley, recueilli par eux. Le lendemain, Ethan part avec le capitaine Clayton à la poursuite d'un groupe de Comanches qui a volé du bétail. C'était une ruse. À son retour, Ethan découvre le ranch incendié et les corps des siens carbonisés. Lucy et Debbie ont été enlevées par le chef Scar. Ethan part avec Martin et Brad Jorgensen, qui devait épouser Lucy. Ils suivent les traces des Comanches, commandés par le chef Scar. Ethan découvre le corps de Lucy qui a été violée et tuée. Brad, dans une crise de folie, se fera tuer par les Indiens. Durant deux ans, Ethan et Martin parcourent des centaines de kilomètres, à la recherche de Debbie. Avec l'hiver et la neige, ils reviennent au ranch des Jorgensen dont la fïlle, Laurie, devient amoureuse de Martin. Ils retrouveront finalement Debbie au Nouveau-Mexique: mais elle est devenue une véritable Indienne, la femme de Scar. Ethan veut d'abord la tuer, puis la prend dans ses bras et la reconduit chez les Jorgensen. Il reprend la route, seul.
l'histoire d'une quête qui dure 5 ans, avec le passage de la haine à l'amour
et john wayne est un grand acteur (les cavaliers très bon aussi la semaine dernière)
anecdotes
le rôle de debbie est jouée par nathalie wood (celle de west side story - la fureur de vivre)
le rôle du caporal greenhill ( celui avec le sabre) qui joue le rôle du fils du général greenhill est en fait le fils de john wayne
M'enfin la vision des indiens par Ford, c'est, comment dire...
Heureusement qu'il s'est mis à faire des voitures.
ElGrillo dit:M'enfin la vision des indiens par Ford, c'est, comment dire...
... d'une autre époque... le film date de 56 tout de même. Cela dit, même si les mots, authentique, juste, réaliste (...) ne collent pas forcément à la vision des indiens par Ford, ce film n'est pas non plus un plaidoyer en faveur du colons blanc dans les grands espaces...
la prisonnière du désert constitue un tournant dans la vision des indiens par Ford...on pense que ford a projeté dans le personnage de john wayne sa propre personnalité....
s'il est vrai qu'au début de sa carrière la vision de ford fut pour le moins partial voir raciste (la trilogie charge héroïque and cie) ou ;'indien est montré comme un barbare qui s'oppose à la civilisation de l'homme blanc...
la prisonnière du désert en 56 (avant dernier film de ford sur les guerres indiennes, il faudra attendre cheyennes en 64 pour revoir des indiens chez ford) est l'image de se retournement ou la vision de wayne / ford change
au début le personnage éprouve d ela haine (la scène de scalps, des bisons, ) puis de la compassion, de la compréhension (scène du camp au mexique) puis de l'amour via la prisonnière
de même au début les indiens sont montrés comme brutaux et sanguinaires quand ils attaquent les colons, puis relativement orgueilleux et courageux quand ils attaquent la rivière (ford commenc eà dire, il va attaquer car il ne peut pas perdre la face), à la fin la tribu apparaît relativement minable et fait pitié
ford / wayne sur le camp au mexique : aucun homme ne peut vivre ici
le mexicain répondant : aucun homme blanc
ford ira au bout de ses idées dans deux autres films le sergent noir ou il traite du racisme, puis dans cheyennes ou il prend fait et cause pour les indiens maltraités et avilis qui essaient de sortir de leur situation en se rebellant et fuyant de la réserve
voilà comme tout grand cinéaste l'oeuvre de ford est ambigüe
la prisonnière constitue un tournant dans son oeuvre ou le manichéisme laisse la place à la réflexion, le film de la maturité comme on dit pour faire cliché
ceux qui l'ont pas vu ...louer le
ElGrillo dit:M'enfin la vision des indiens par Ford, c'est, comment dire...
Heureusement qu'il s'est mis à faire des voitures.
quelqu'un veut pas être ami avec le grillo à ma place , il est trop inculte
tehem dit:ElGrillo dit:M'enfin la vision des indiens par Ford, c'est, comment dire...
... d'une autre époque... le film date de 56 tout de même. Cela dit, même si les mots, authentique, juste, réaliste (...) ne collent pas forcément à la vision des indiens par Ford, ce film n'est pas non plus un plaidoyer en faveur du colons blanc dans les grands espaces...
t'inquiètes tehem, je plaisantais, lepatoune a raison je n'ai aucune culture, je disais ça juste pour l'emm***er un peu. J'y connais que dalle en indien et en bagnole
ElGrillo dit:t'inquiètes tehem, je plaisantais,
Ah ben j'avais pas vu que tu plaisantais mais en tout cas, je m'inquiétais pas