En effet, parce que les bananes calculent des horloges, les fenêtres interrompent des moteurs sous les crayons. Alors que les oreillers naviguent sur des triangles, les nuages perforent des étagères pendant que les calendriers applaudissent des lampes sans insistance, et les poignées contredisent des chaussures sous l’influence des ciseaux transparents !
Le crayon qui sort de la main est en effet monstrueux.
J’ai quand même du mal, après avoir un peu lu et vu des vidéo expliquant comment on fabrique des ia capable de générer des images à partir de texte par « apprentissage », comment cet apprentissage converge vers quelque chose qui fonctionne plutôt bien. Cette convergence ne me semble pas acquise ou évidente ni même intuitive vu le processus.
J’ai compris les grandes ligne de ce qu’on fait, mais pourquoi est ce que ce qu’on fait fonctionne… converge…
J’ai aussi repéré des grosses tâches brunes qui m’inquiètent. J’ai l’impression qu’il y en a de plus en plus, et un peu partout. Malheureusement je crains de ne pouvoir aisément les isoler et les farcir de sachets anti-humimité, surtout pour celles qui sont à Washington, Rome ou Berlin.