Parce que on ne choisis pas toujours sa life, mais c’est pas grave parceque vous avez la fibrus ludica.
(Liste collaborative en élaboration)
1 l’hôpital pour se reposer d’un accident cardiaque, d’une transplantation hépatique, d’un ulcère ou d’une dissection artérielle.
Inconvénients: la tablette pour jouer est petite, le va et vient incessant des infirmières qui n’ont de cesse de vous perturber, un possible voisin de chambre préférant regarder la télé (fort).
2 la salle des profs, parce que il y a mieux à faire que fumer des gitanes et corriger des copies.
3 la garde à vue: inconvénient, impossible de faire un jeu en campagne, à moins qu’elle ne soit prolongée
4 le train, l’avion, mais ça c’est trop facile, on l’a tous fait.
5 la salle de repas avant de remonter au taff. Attention à ne pas faire de télé travail.
6 la salle t’attente de ton médecin préféré qui ne prend jamais à l’heure.
La réunion de l’équipe d’ingernieurie pédagogique lors de l’assemblée générale annuelle de ton établissement (remplacer en fonction de votre activité pro). Inconvénient, si l’amphi n’est pas doté de tablette seules les adaptations sur mobile sont envisageables (ou palm island). Pire, si l’établissement est petit, la réunion peut avoir lieu autour d’une table, mais délicat d’y installer un final girl…
Sur la plage arrière de la voiture en attendant la dépanneuse lorsque vous êtes partis en vacances sans avoir fait la révision (boarf on verra en septembre). Avantage : vous avez potentiellement d’autres otages passagers pour jouer avec vous. Désavantage : évidemment les jeux sont tout au fond du coffre.
Sur la table de pique nique pendant que les enfants jouent dans le parc et que la Tesla voiture électrique de fabrication européenne se recharge à la borne. Avantage : il y a le temps de jouer à un gros truc. Défaut : la pluie ou le vent peuvent compliquer les choses, dans ce cas se rabattre sur les micro tables hautes à côté des distributeurs de café.
Aux toilettes pendant les fêtes pour éviter les discussions interminables de fin de repas. Privilégier les jeux tenant dans la main (ou sur la cuvette fermée).
Non, sur tik tok ou Instagram, c’est « ou tu te retrouve enfermer », « c’est le moment de jouez », « le troisième va t’étonné ».
Je ne suis pas un dieu en orthographe, je suis très fort pour mal gérer les pluriels, mais « comme même ».
La réunion de copro, entre la résolution 6.4 portant sur le financement de la modernisation de l’antenne TV (vu que les petits vieux du 3è trouvent qu’un box TV pour regarder la 28 c’est plus cher que de faire rénover l’antenne par la copro) et la résolution 7.1 portant sur le métrage des parties communes spécifiques. C’est le bon moment pour faire une petite partie de For Sale.
Attention aux articles très “orientés”, ça peut induire en erreur sur la véracité des faits. Je ne veux pas instaurer de polémique, je ne veux pas initier un débat de x pages. Mais histoire de nuancer un peu le “le petit vilain empêche de pauvres détenus de se changer les idées en leur retirant toute possibilité de loisir, tout ceci pour flirter avec l’électorat d’extrême-droite”, voici un article complémentaire, volontairement issu de Libération (je ne peux pas faire “mieux”) :
L’article de Ludovox est peut-être orienté mais il se fait essentiellement l’écho d’un communiqué signé par de nombreuses associations du monde du JDS. Et il relaye aussi l’information suivante :
La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Dominique Simonnot, a également souligné que ces activités étaient inscrites dans la loi et essentielles pour préparer les détenus à leur réinsertion.
Bref : cette histoire c’est du bruit, pas du signal.