Room 25 quand on est gardien et qu’on arrive à pourrir le jeu en prouvant par a+b qu’on fait tout ce qu’on peut pour atteindre la sortie et que les autres soupçonnent un autre joueur qui lui est blanc comme neige
Il ne reste plus qu’à regarder le dernier tour arriver et l’espoir d’une sortie s’effacer… mouhahahaha !
Suis-je hors sujet en proposant Mémoire 44 ?
Parce que ça se pose là question suspens sur certaines parties…
J’ai fait un scénario break trough avec mon fils où il y a quatre hexagones d’un village central à occuper avec option majoritaire et nous avons fait quatre tours acharnés jusqu’à ce qu’il le gagne et la partie dans la foulée. Il était aux anges !
Je n’ai rien laché jusquau bout mais je suis content de l’avoir perdue celle-là…
Je crois pas l’avoir déjà vu dans le post mais je garde des souvenirs mémorables de derniers tours de Twilight Imperium sur des parties très tendues.
Le défaut et la qualité de Cyclades: des fins de partie absolument monstrueuses de tension, ou tu espère que les joueurs n’aient pas vu ta stratégie tordu.
+1 pour Mousquetaire du Roy où c’est vraiment l’euphorie dans le camp des mousquetaires quand ils gagnent, toujours après en avoir bien chié.
+1 aussi pour Skull & Roses : le moment où on tente de réaliser un défi est toujours tendu, alors quand c’est le défi décisif …
Et dernièrement Rome & Carthage
sans hesitation blood bowl team manager grace aux pions triches qui donne du hasard.On retiens tous notre souffle lors de la revelations des pions.
PERUDO à chaque levée de tasse,non?
Cyclades → avec parfois des fins de parties tendues comme une ficelle de string… Ahhhhh… Vais-je ou non faire touner la bonne créature avec Zeus qui va me permettre de prendre cette si belle 2ème métropole
Horreur a Arkham → extraits de la partie d’hier
>Trop facile ce jeux, hein les gars !
>Bon, et bien amis investigateurs, je crois finalement que cette fois la terre est foutue, trop de portails d’ouverts, ont va se faire bouffer les fesses par le grand Ancien…
>Ah ben non, put…, là on a trop bien géré, on va l’avoir facile…
>Paasssssssssssss ça… Mais quelle rencontre de mer… Me voilà perdue quelque part entre l’espace et le temps…
>Bon allez, plus qu’un portail à sceller et c’est la win, easy j’ai mes 5 pts indices et je suis déjà dans la zone 2 de l’autre monde…
>Quoi… Quoi… ce n’est pas possible…Tu viens de faire une rencontre qui vient de faire une nouvelle vague de monstre, on était à 9 sur l’échelle de la terreur, avec déjà full monstres en périphérie, et là on passe à 10 en terreur. Non, pitié grand ancien reste endormi… Bon ben puisque que c’est ça, va falloir taper le GA…
[Après 50 lancers épiques de brouettes de dés]
Il ne nous reste plus à chacun qu’un point de santé mentale et 1 point de résistance, tout va se jouer sur ce jet de dé
…
Suspens
…
Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiii on là eu, tu l’as dans le c… mon petit Chtulhu…
Qu’est ce que j’aime ce jeu
La Manille !
Nos sommes deuxièmes et rencontrons le premier lors de la dernière ronde.
Faire une voiture sur le dernier tour sans regarder son jeu car on a 24 points de retard : marquer 28 points, gagner le match et le tournoi.
+1 pour les Mousquetaires! Dans un camp comme dans l’autre d’ailleurs… Ça se joue souvent à un fil…
Dans le genre plus récent, qu’on aime ou pas, Escape fait bien monter la pression, quant au troisième décompte on se retrouve coincé dans une pièce et que tous les autres ont presque rejoint la sortie… Et qu’il faut en convaincre un de faire demi-tour! Après, c’est la mécanique toute entière qui est basée sur ce principe de stress ambiant… Qui peut déplaire, j’en conviens.
Dans un autre registre, deux jeux en solo qui m’ont bien tenus en haleine, jusqu’à la dernière carte… Et qui, eux aussi, se jouent souvent à pas grand chose : Onirim et Vendredi. Ajoutez à ça le challenge d’améliorer son score à Vendredi, et vous obtenez des victoires exaltantes avec du “yessss” dedans…
Déjà mentionnée : La Guerre de l’Anneau. Parce que le nombre de parties où tout se joue à un dé ou à une tuile après entre trois et NEUF heures de jeu intensif, c’est hallucinant !!!
-J’ai 2 forteresses de l’Ombre, t’as plus qu’un dé d’attaque pour reprendre la Moria à mon dernier elfe ou je l’emporte !
-Paf, réussi ! J’ai 9 PV, il me manque plus que Minas Tirith et t’as plus qu’un Gondorien que j’attaque avec mes trolls !
-Raté ! Je vais détruire l’Anneau avec mon dernier dé, je suis à 2 points de Corruption de la défaite, je tire une tuile…
-1 point ! Tu l’emportes, aaarrrghhhh !!!
Faut dire, le coup de l’Anneau à jeter à bout de souffle dans le volcan, ça marche bien. La fin d’une partie du “Seigneur des Anneaux – coopératif” c’est pas mal non plus dans le genre, quand presque toute la compagnie a sauté et qu’il ne reste plus qu’une dernière action à réussir pour sauver la partie !