Je me souviens d’une espèce de Monopoly en logiciel freeware qui n’était pas mal fait du tout. Quand on tombait sur une case, on pouvait l’acheter, et après si un autre joueur tombait “chez nous”, on avait une “épreuve” à faire avec lui. Le jeu demandait au début de la partie le sexe et les orientations (hétéro/homo/bi) de chaque joueur pour définir l’épreuve. Il demandait aussi à quel niveau vous vouliez jouer (on reste gentiment coquin ou bien on y va à fond ?)
Au début les épreuves sont assez soft, à base de baisers, de caresses encore relativement sages et de déshabillage, mais dès qu’un joueur se retrouve nu, le jeu demande aux autres de finir également de se dévêtir, et il passe à une autre série, disons, d’exercices (si on a demandé le niveau de jeu qui correspond)…
Les joueurs disposent de rares jokers qui leur donnent parfois le droit de refuser d’effectuer une épreuve, jokers pouvant être dépensés aussi bien par le propriétaire de la case que par celui qui tombe dessus.
Et enfin, les épreuves étaient rassemblées dans un fichier texte à part qui pouvait donc être complété par vos propres idées…
Le sexe n’est-il pas un jeu en soi?
viking dit:Le sexe n'est-il pas un jeu en soi?
Si, tout-à-fait d'accord.
Encore que l'investissement personnel va autrement plus loin qu'une partie de Puerto Rico... et les conséquences peuvent être bien plus sérieuses.
Mais c'est parfois amusant d'avoir un prétexte extérieur pour certaines choses, comme si on ne les contrôlait pas réellement soi-même. Après tout, en poussant cette sensation encore plus loin, n'est-ce pas la base du SM ?
Par contre si on en vient à un état de fait où la relation a besoin de ces éléments extérieurs pour subsister, c'est en effet qu'il doit y avoir de l'eau dans le gaz...