Ce n’est pas parce que les sections n’ont pas le même nombre de pages, c’est parce que le jeu est composé de 9 modules chacun utilisable une fois, ce qui laisse le choix de 9 modules pour le niveau I(Fin de partie et conditions de victoire), qu’il n’en reste plus que 8 pour le niveau II(perception des revenus) et enfin 7 pour le niveau III(pour ajouter de la diversité).
Chaque liste de 3 chiffres différents créer un “monde”, ainsi en utilisant les modules 1, 2 et 3 on peut explorer 6 mondes différents selon la place des 3 modules : 123,132,213,231,312 et 321…
L’idée principale n’est pas vraiment que la boite contient 504 jeux différents mais plutôt 1 jeu avec 504 “mondes” à explorer, le vainqueur est celui qui s’adaptera au mieux à chaque nouvelle partie.
Il(504) est dans ma pile de la honte, je peux le prendre vendredi prochain si tu veux voir la bête.
Curieux également de découvrir le concept de Stonehenge…
Une fois que l’on sait comment le prononcer, ça va, mais pour l’anecdote, un Tahuantinsuyu (avec un H à la place du W) était déjà sorti dans une édition un peu confidentielle à la fin des années 2000. C’était un jeu de Alan D. Ernstein, qui a été réédité ensuite dans une édition plutôt réussie (illustrations d’ Alexandre Roche, cela dit il faut aimer le bleu là …) chez White Goblin Games, mais sous un autre nom : Inca Empire, un jeu pas mal du tout soit dit en passant.
Ah pardon, je n’avais pas vu. Je sais bien que ça ne veux pas dire la même chose, mais quand même, à la sortie personne ne me croyais quand je parlais du jeu… lol
Il y a quelque part sur le forum un post ou l’editeur explique que ce jeu a obtenu un prix alors qu’il était en pleine localisation et pour bénéficier de l’attrait dû au prix l’éditeur avait choisi de garder le nom.
Une contrainte oulipienne je veux bien, mais avec Yinsh et Tzaar, ce n’est pas 1 voyelle 4 consonnes.
5 lettres, c’est sur, mais à part ça… ?
C’est mystérieux.
En fait sa contrainte oulipienne, c’était : trouver un truc sans règle qui donne tellement l’impression qu’il y en a une qu’on s’arrache les cheveux à la chercher.