Loups-Garous, une imposture ??

grissom dit:Et moi qui pensait que le monde des joueurs c'était le pays des bisounours....


Bisounours un jour, Bisounours toujours :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:

très belle image…c’est une kalashnikoff ?

grissom dit:très belle image......c'est une kalashnikoff ?


Plus vulgairement connue sous le nom de AK47

Les Bisounours n’auraient pas dû buter les Teletubbies.
Maintenant ils connaissent le goût du sang… et ils ont faim !



Le 1er message de ce fil est juste là pour foutre la merde, comme ça a déjà été dit. C’est fatigant.

… Et si le forum avait une sous-rubrique entièrement consacrée à Mr Marly ?
:mrgreen:

Attention les bisounours peuvent être dangereux !



Par contre, faut arrêter de s’attaquer à Mr Marly, je ne sais pas ce qu’il a a fait pour mériter tant d’attaques personnelles ! (je n’aime pas son jeu S&R mais c’est pas pour autant que je pourris gratuitement son auteur >_<)

En fait, ce n’est pas le monde du jeu qui a changé, ce sont les Bisounours !!!
Cette vidéo en est la preuve…

Hahaha :lol:
Et dire je pensais pas voir un truc intéressant dans un sujet intitulé “Loups-Garous, une imposture ??”. Merci pour la vidéo.

Tem dit:
Monsieur Phal dit:Cher Monsieur Tem,
La trace des auteurs est sur un certains nombres de cartes qui d'ailleurs ont un copyright comme "la petite fille", "le chasseurs", etc.. Tout ceci est d'ailleurs dans le livret de règle. Elle est aussi dans "Le Village"...

Que vous êtes coquin M. Phal, ces traces là n'ont aucun intérêt, elles ne sont bonnes que pour les juristes.
C'est ce qui reste quand on les enlève qui est intéressant pour définir un auteur.
Que moi j'ai du mal à voir en quoi MM Marly et des Pallières le sont n'a pas d'impact sur le plaisir que j'ai à joueur à leur jeu. C'est pas grave pour moi.
Mais si personne ne peut ni répondre à cette question (qu'est-ce qu'un auteur ?) ni à cette autre (quelle est la génèse de ce jeu ?), chacun aura sa vérité et pourra la proclamer en toute bonne foi.


Cher Monsieur,

les juristes en question ont défini clairement depuis longtemps la notion d'auteur, il vous suffit d'ouvrir un manuel de Propriété Intellectuelle. Le dépôt de copyright sur certaines cartes des LGdT suffit à qualifier les sieurs en question d'auteurs.

Je pense qu’il n’y a pas de débat. La personne interviewée n’a pas l’aire
vindicative, elle ne dit pas qu’elle va faire un procès, je ne vois pas de
mauvaise intention à part chez la personne qui relance le débat qui n’avait
en effet aucun intérêt. Le prétendu auteur semble être un universitaire
russe bien loin de toute considération procéduriale. En remontant le file
sur BGG on retrouve une page de cette personne archivée par archive.org le 02 03 1999 à 08h21min18s où il parle de la paternité du jeu, avant, si je ne me trompe, le succès commercial de Loup-Garou de Thiercelieux.

http://web.archive.org/web/199903020821 … fia_rules/

Apparemment, en cherchant un peu sur le web, je comprends qu’il aurait développé Mafia dans un but d’étudier les réactions des personnes.

Par ailleurs, personne ne conteste la paternité à Philippe des Pallières des personnage secondaires de Thiercelieux.

D’une part il y a un universitaire qui prétend être le père du jeu mais
n’intente aucune action pour récupérer des sous ou de la notoriété, sans rien réclamer. D’autre part, il n’y a aucune raison de penser de Philippe des Pallières ait pu entendre parler de cette personne ou de toute autre édition de Mafia ou de Loup-Garou au moment où il a publié son jeu.

Il n’y a pas de conflit, à ma connaissance, entre l’éditeur Lui-Même et le
dit “DD”. N’inventons pas des problème où n’y en a pas.

Ca m’arrive de jouer aux loup-garous avec un jeu de 54 cartes mais c’est
tellement mieux avec le vrai jeu, je ne sais pas pourquoi, et c’est là qu’on
voit le travail d’édition.

akhela dit:
Tem dit:
Monsieur Phal dit:Cher Monsieur Tem,
La trace des auteurs est sur un certains nombres de cartes qui d'ailleurs ont un copyright comme "la petite fille", "le chasseurs", etc.. Tout ceci est d'ailleurs dans le livret de règle. Elle est aussi dans "Le Village"...

Que vous êtes coquin M. Phal...

Cher Monsieur,
les juristes en question ont défini clairement depuis longtemps la notion d'auteur, il vous suffit d'ouvrir un manuel de Propriété Intellectuelle. Le dépôt de copyright sur certaines cartes des LGdT suffit à qualifier les sieurs en question d'auteurs.

ça revient à dire je suis l'auteur parce que je le dis, ça n'a donc pas beaucoup d'intérêt. Qui est l'auteur n'a d'intérêt encore une fois que pour les juristes. Moi je m'en moque. Ce que je trouvais intéressant ici c'est de se poser la question "qu'est-ce qui fait un auteur ?" (et pas "qui est l'auteur ?").
Le Capitaine dit:
Ca m'arrive de jouer aux loup-garous avec un jeu de 54 cartes mais c'est
tellement mieux avec le vrai jeu, je ne sais pas pourquoi, et c'est là qu'on
voit le travail d'édition.


C'est ma conclusion à cette histoire (pas que je joue avec un jeu de 54 cartes mais la fin de la phrase).

Cher monsieur Tem,

La notion d’auteur est une notion assez moderne en fait. Et il n’est pas idiot de se référer à la législation puisque celle-ci nous vient droit du XVIIIe siècle où justement la question commençait à se poser. Ensuite nous pourrions rebondir sur les différences de vues entre l’Europe et ses droits d’auteur qui centre la création sur celui-ci et les USA avec le copyright qui place le public et l’oeuvre en amont.

Un sujet qui mérite mieux que d’être traité dans un post à polémique non ? Je vous laisse démarrer si cela vous tente.

En droit français, un auteur est une personne qui crée ou participe à la création d’une œuvre qui porte l’empreinte de sa personnalité. Cette empreinte est relative à l’originalité de la mise en forme de l’œuvre, et non pas à l’originalité de l’idée centrale de l’œuvre. (En clair, à l’originalité de la manière dont l’idée est exploitée dans l’œuvre.)


Docteur Mops dit:Ensuite nous pourrions rebondir sur les différences de vues entre l’Europe et ses droits d’auteur qui centre la création sur celui-ci et les USA avec le copyright qui place le public et l’oeuvre en amont.


Les USA (et les pays anglo-saxons et quelques nordiques) et le copyright qui placent celui qui assume le risque économique (éditeur, producteur) en amont, surtout. Cette distinction est un peu moins vraie aujourd’hui cependant : la France a par exemple crée les droits voisins, certains états des USA ont progressivement reconnu le droit d’auteur, notamment moral.