Govin dit :@Uphir: regarde la mini-série espagnole: Antidisturbios, si le MO te parle.
Ah je l'ai beaucoup aimée celle là ! Même si la fin est un peu WTF, sans vouloir spoiler.
Govin dit :@Uphir: regarde la mini-série espagnole: Antidisturbios, si le MO te parle.
Je prends note. J'ai zieuté la bande annonce, cela a l'air pas mal. Cela fait deux oeuvres espagnoles sur ma to watch liste (avec celle sur la cellule anti-terroriste).
Govin dit :@Uphir: regarde la mini-série espagnole: Antidisturbios, si le MO te parle.
J'ai super envie de la voir, celle-là. J'ai vraiment adoré As Bestas du même réalisateur, c'est même probablement mon film de l'année. Du coup j'ai bien envie de découvrir le reste de son oeuvre.
Les premiers épisodes, les deux premiers en fait, sont prenants. la suite déçoit.
Un film allemand que je vous conseille histoire de mettre de l’humour et de l’originalité au menu de vos soirées TV.
Sur Netflix, je vous invite à éviter The girl with all the gifts, un film mort-vivant de zombis, et à vous reporter sur The Wonder, un film plein de subtilités, très humain et qui a quelque chose à dire.
XavO dit :Sur Netflix, je vous invite à éviter The girl with all the gifts, un film mort-vivant de zombis, et à vous reporter sur The Wonder, un film plein de subtilités, très humain et qui a quelque chose à dire.
Ha ha, tout le contraire pour moi.
J'avais découvert The Girl With All The Gift il y a un an ou deux, je n'en attendais pas grand chose (un film lambda de zombie), et j'ai été vraiment soufflé, à la fois par la réal et le propos. C'est un film qui a une vraie ampleur et qui prend un thème vu et revu pour en faire quelque chose d'assez original. Je recommande à fond.
C'est un film qui m'est bien resté en mémoire, contrairement à The Wonder, que j'ai apprécié mais que je suis déjà en train d'oublier. C'est un bon film, âpre et tout en retenue, avec suffisamment d'étrangeté pour sortir du tout-venant Netflix mais pas assez pour vraiment être mémorable. Il y a un joli propos sous-jacent sur l'importance des histoires, mais finalement ce n'est qu'effleuré.
Chakado dit :XavO dit :Sur Netflix, je vous invite à éviter The girl with all the gifts, un film mort-vivant de zombis, et à vous reporter sur The Wonder, un film plein de subtilités, très humain et qui a quelque chose à dire.
Ha ha, tout le contraire pour moi.
Amusant ! 
XavO dit :Chakado dit :XavO dit :Sur Netflix, je vous invite à éviter The girl with all the gifts, un film mort-vivant de zombis, et à vous reporter sur The Wonder, un film plein de subtilités, très humain et qui a quelque chose à dire.
Ha ha, tout le contraire pour moi.
Amusant !
J'ai rajouté le film de zombies de psychologie de zombie sur ma liste à voir très bientôt !
Je trouve que sur Netflix on peine toujours à sortir de la production de téléfilms à la chaîne. Aucun de leurs films produits ne m’ont convaincu.
Par contre j’ai adoré la série le monde de demain, même si les évènements réels sont adaptés. J’en aurais bien voulu un peu plus, du coup je projette de regarder Suprêmes.
Hier j’ai regardé Troll (Netflix) : rien d’original, un film grand public d’aventure bien fait qui se regarde sans problème et fait passer un bon moment.
Quelqu’un a vu À l’Ouest Rien De Nouveau sur Netflix (la Première Guerre Mondiale avec un point de vue allemand) ?
J’ai lancé les 15 premières minutes hier soir mais il était trop tard pour continuer (le film dure 2h30 quand même). Mais niveau mise en scène, ça a l’air complètement fou, j’ai hâte de me poser pour le regarder en entier.
Y a-t-il des retours parmi vous ?
Pas vu, mais je n’ai lu que des bons retours. Ce n’est pas forcément très fidèle au roman (que j’ai lu il y a très longtemps), mais apparemment la représentation de la première guerre mondiale qui y est faite est assez fidèle aux témoignages de l’époque. Ames sensibles s’abstenir.
Il est sur ma to watch list.
Vu. C’est un film de guerre qui veut montrer la réalité des combats de 14-18. Il est efficace.
Il me semble que le roman parle plus de l’après : le retour à la vie civile avec les stigmates de la guerre. Là ça s’arrête le 11 novembre.
Alors de mémoire, le roman s’achève :
Sur la mort du narrateur, un jour où à l’ouest, il ne se passa rien de nouveau selon les rapports du front. D’où le titre du roman.
Mais je me trompe peut-être.
Le roman insiste aussi énormément sur l’embrigadement et l’idée “romantique” de la guerre auprès de ces jeunes allemands, image qui va se confronter à la dure réalité du front. Il faudrait que je le relise tiens. Je me souviens avoir adoré ce livre.
Faudrait que je le lise moi ! 
Chakado dit :Quelqu'un a vu À l'Ouest Rien De Nouveau sur Netflix (la Première Guerre Mondiale avec un point de vue allemand) ?
J'ai lancé les 15 premières minutes hier soir mais il était trop tard pour continuer (le film dure 2h30 quand même). Mais niveau mise en scène, ça a l'air complètement fou, j'ai hâte de me poser pour le regarder en entier.
Y a-t-il des retours parmi vous ?
Très bien, déprimant.
J’ai de plus en plus de mal à regarder des fictions qui racontent les horreurs de l’histoire. Je les connais, presqu’aussi bien qu’on le peut sans être historien, je suis intéressé par tout ce qui est documentaires ou livres, mais le spectacle de la fiction, qui m’a fasciné, ne passe plus chez moi.
J’ai quand même regardé ce film, parfois en avance rapide parce que le rôle de spectateur de ces horreurs me déplaît (pour moi, ce n’est pas un jugement sur les autres). Et je pense que ce film, sur la désillusion et la violence, est très bien.
jmguiche dit :Chakado dit :Quelqu'un a vu À l'Ouest Rien De Nouveau sur Netflix (la Première Guerre Mondiale avec un point de vue allemand) ?
J'ai lancé les 15 premières minutes hier soir mais il était trop tard pour continuer (le film dure 2h30 quand même). Mais niveau mise en scène, ça a l'air complètement fou, j'ai hâte de me poser pour le regarder en entier.
Y a-t-il des retours parmi vous ?Très bien, déprimant.
J’ai de plus en plus de mal à regarder des fictions qui racontent les horreurs de l’histoire. Je les connais, presqu’aussi bien qu’on le peut sans être historien, je suis intéressé par tout ce qui est documentaires ou livres, mais le spectacle de la fiction, qui m’a fasciné, ne passe plus chez moi.
J’ai quand même regardé ce film, parfois en avance rapide parce que le rôle de spectateur de ces horreurs me déplaît (pour moi, ce n’est pas un jugement sur les autres). Et je pense que ce film, sur la désillusion et la violence, est très bien.
Je me retrouve complétement dans ce que tu dis. Comme toi, j'ai de plus en plus de mal à regarder l'horreur de la réalité, issu de l'histoire ou de l'actualité. Et plus je vieillis, plus cela s'accentue.
jmguiche dit :Très bien, déprimant.
J’ai de plus en plus de mal à regarder des fictions qui racontent les horreurs de l’histoire. Je les connais, presqu’aussi bien qu’on le peut sans être historien, je suis intéressé par tout ce qui est documentaires ou livres, mais le spectacle de la fiction, qui m’a fasciné, ne passe plus chez moi.
Merci beaucoup pour le retour.
C'est très intéressant ce que tu dis, je me rends compte que j'ai un peu le problème inverse. J'ai du mal à entrer dans un sujet par le biais du documentaire (trop détaché ? trop factuel ?) alors que la fiction me fascine, j'aime réfléchir aux choix qui sont faits par les auteurs / metteurs en scène etc. pour raconter une histoire que l'on connaît a priori déjà.
Bref, À l'Ouest Rien De Nouveau sera sûrement à mon programme ce week-end, surtout s'il y a un focus particulier sur l'embrigadement, qui est un des aspects les plus glaçants de la Première Guerre Mondiale pour moi (comment toute une génération a pu partir avec enthousiasme trucider ses voisins, pour une cause somme toute assez floue).
Pour répondre à ta question et comme l’a si bien écrit Stefan Zweig
“En 1914, après un demi siècle de paix, que savaient-ils de la guerre ? Ils ne la connaissaient pas ! Elle était une légende héroïque et romantique. On la voyait comme dans les livres d’école et les grands tableaux des musées. D’éblouissantes attaques de cavaliers en uniforme resplendissant, une foudroyante marche à la victoire sans beaucoup de victimes, une aventure sauvage et virile, une expérience aussi merveilleuse et excitante. Et c’est pourquoi ils chantaient et poussaient des cris de joie dans les trains qui les menaient à l’abattoir.”