Mes films sur Netflix, Disney, Amazon....etc

Les nageuses, sujet dramatique, l’exode et l’accueil des migrants, mais film bien culcul.

Zom:100 sur Netflix
Film japonais de zombi. Bon j’avoue que j’ai abandonné avant la fin. Si vous cherchez les placements de produits et les monstres les plus grotesques du cinéma, ça vaut le détour !

Au Nom de la Terre sur Netflix.

Un univers dont tout le monde a entendu parler de près ou de loin : les petits paysans pressés par le système, les grosses multinationales qui les pourvoient en produits chimiques et toute l’économie autour avec le rendement pour seule direction sans soucis d’écraser les êtres vivants au milieux, animaux et surtout les humains.

Mais ce film permet une plongée directe au plus près, avec un paysan incarné par un Guillaume Canet des plus investi, un agriculteur qui essaie de s’en sortir entre le château de carte des investissements et des emprunts…

Lui et le jeune qui joue sont fils m’ont soufflé.
Et quand tu voies à la fin que le réalisateur a plus ou moins adapté son histoire, ça ancre le récit dans le réel de manière violente.



J’ai vu ça peu après Goliath (pas dispo sur Netflix, juste sur AppleTV) qui fut aussi un coup de point dans la tronche. Un peu plus thriller avec Gilles Lellouche qui campe un petit avocat essayant de faire face aux grands géants, et un Pierre Niney absolument magistral dans son rôle de petit lobbyiste doué qu’on a envie de trucider au bout d’un quart d’heure.
Puissant.

Chakado dit :
jmguiche dit :

Très bien, déprimant.

J’ai de plus en plus de mal à regarder des fictions qui racontent les horreurs de l’histoire. Je les connais, presqu’aussi bien qu’on le peut sans être historien, je suis intéressé par tout ce qui est documentaires ou livres, mais le spectacle de la fiction, qui m’a fasciné, ne passe plus chez moi.
 

Bref, À l'Ouest Rien De Nouveau sera sûrement à mon programme ce week-end, surtout s'il y a un focus particulier sur l'embrigadement, qui est un des aspects les plus glaçants de la Première Guerre Mondiale pour moi (comment toute une génération a pu partir avec enthousiasme trucider ses voisins, pour une cause somme toute assez floue).

Je rebondis, avec des mois de retard, après l'avoir vu récemment : si ce qui t'intéresse, c'est l'embrigadement, ce n'est pas la peine. Le sujet est vaguement effleuré au début.

J'ai trouvé le film dans la droite lignée de son titre : rien de nouveau. C'est "trash", ça "montre bien les horreurs de la guerre", mais justement, ça manque d'une proposition cinématographique ou au moins d'un propos un peu plus construit. Rien n'est original, on sait à peu près comment tout va se passer. Ce n'est pas mal fait, attention, mais un peu creux pour moi.
La bascule psychologique de la naïveté héroïque (cf. citation de ZWEIG par Uphir) vers la réalité du front et de la guerre, ça aurait été cool.

Là, pour qui a déjà vu ou lu des oeuvres avec pour cadre la 1 GM, ben ... rien de neuf. Peut-être que le film a un intérêt pour une nouvelle génération de spectateur, plus jeunes, qui n'a pas grandit avec le cinéma et les téléfilms des années 90/2000 et pour qui l'imagerie de la 1 GM s'estompe.

J'avais été beaucoup plus séduit par 1917, avec sa première moitié où le No man's Land est le véritable ennemi immonde, et [SPOIL] la bascule (avec ce plan absolument génial de la ville en flamme) et cette course contre la montre. Ou par des films comme Un long dimanche de fiançailles, ou Au revoir là-haut, qui ajout une couche de poésie sans désamorcer l'horreur.

znokiss dit :Au Nom de la Terre sur Netflix. 

Un univers dont tout le monde a entendu parler de près ou de loin : les petits paysans pressés par le système, les grosses multinationales qui les pourvoient en produits chimiques et toute l'économie autour avec le rendement pour seule direction sans soucis d'écraser les êtres vivants au milieux, animaux et surtout les humains. 

Mais ce film permet une plongée directe au plus près, avec un paysan incarné par un Guillaume Canet des plus investi, un agriculteur qui essaie de s'en sortir entre le château de carte des investissements et des emprunts...

Lui et le jeune qui joue sont fils m'ont soufflé. 
Et quand tu voies à la fin que le réalisateur a plus ou moins adapté son histoire, ça ancre le récit dans le réel. 

 

Du coup, je l'ai regardé. Comme je ne dirai pas mieux que toi, je vais me contenter de plussoyer et de rajouter que cela complète bien le film sur les algues bretonnes, les algues vertes, en montrant le versant paysan

Tiens, il est sur ma liste, les Algues Vertes. Après, j’ai déjà lu la BD sur la même base, parue avant le film.

About Kim Sohee

Tric Trac

Deuxième film de July Jung, après son remarqué A Girl at my Door.

L’histoire, basée sur un fait divers qui avait défrayé la chronique et bousculé la société coréenne il y a quelques années, suit le parcours d’une étudiante, Kim Sohee, qui trouve un stage de fin d’études dans une société d’appels téléphoniques de seconde zone, où elle sera broyée par le système.

La deuxième partie du film, de durée égale, suit l’enquête qu’une inspectrice aussi pugnace que mutique décide de mener pour comprendre comment l’Etat sacrifie la jeunesse coréenne à l’autel du capitalisme.

La réalisation ciselée est d’une froideur clinique, et dénuée d’artifices tapageurs.

Je recommande ce film, actuellement en replay sur Canal+.

Après des années de résistances, je viens de m’abonner à canal +, Disney…

J’ai donc en cours :
ovni(s), que je trouve excellent, avec tout les travers des années 70 bien rendus, c’est drôle, bien joué, avec une histoire originale loufoque bien traitée. De vrais personnages.

Thé mandalorian, dont j’ai entendu tant de bien… c’était pour rire ? Alors c’est un western,  ça se passe dans l’univers star war, c’est un genre de solo invincible qui sauve un genre de Jedi bébé Hoda et il y a un grand méchant qui… tout ça en plein d’épisodes qui ne font pas avancer l’intrigue. Ça a été conçu pendant une grève des scénaristes ? C’est pitoyable, des personnages sans épaisseur, des épisodes qui tiennent sur un ticket de métro et qui auraient paru légers pour « au nom de la loi » (série tournée en 1958…). L’acteur principal doit être tellement mauvais qu’on ne voit jamais sa tête. D’ailleurs, l’acteur le plus crédible c’est la marionette de mini yoda. Je ne comprend pas l’engouement. 

Le bureau des légendes : à peine commencé, ça a l’air de tenir ses promesses.

Haha oui effectivement the Mandalorian c’est bien poussif !

Je me les suis toutes tapées les series Star Wars ( pas les animées, j’ai plus 5 ans , quoique…Quand je regarde ça, je me le demande )

Le livre de Boba Fett ( c’est dingue…c’est dans mon correcteur d’orthographe, ils sont forts ces ricains) ne vaut pas mieux que the Mandalorian.Je me demande même si je suis allé jusqu’au bout.

Obi-Wan kanobi, ça vaut pas mieux.

Ça s’arrange un peu avec Andor, même si y a beaucoup de temps morts inutiles ( bon c’est le principe de la série en général: «tirer sur l’élastique!»)

Ashoka me semble la plus dynamique jusqu’ici…

J’ai regardé tout ça surtout pour les décors, les robots ou extra-terrestres…Distinguer ces petites inventions… y’a de nouveaux robots sympathiques et quelques nouvelles créatures 
marrantes parfois.

Tient, Ashoka m’a semblé être le moins intéressant du lot …

Comme quoi…Les coups et les douleurs…

J’ai eu l’occasion il y a quelques jours de revoir “clue/cluedo” -oui, le film est tiré du jeu de société- dont j’avais gardé un souvenir très ému de ma première vision à la fin des années 80 (en VHS avec @petitpique, si jamais il passe par là ).

La peur de ruiner ce beau souvenir était présente et… bon. Ca a vieilli. Mais le casting reste top (et m’était complétement passé au dessus de la tête à l’époque), il y a de bons moments et le twist final est toujours désopilant. 

Bref : une bonne soirée. Je ne sais pas si ça vaut le coup sans l’aspect madeleine de proust ceci dit.

Il y a peu, sur Arte, j’ai vu total control, une série politique australienne que je conseille à ceux qui ont aimé borgen.

J’ai bien aimé aussi Alphonse, avec jean Dujardin et pierre Ardith.

Je savoure d’avance la nouvelle saison de for all mankind qui doit débarquer sous peu et que je trouve excellente.

Alphonse, je ne suis pas allé plus loin que le premier épisode …

Je viens de voir System Crasher sur Netflix : film allemand narrant l’histoire d’une gamine qui passe de foyer en foyer. J’ai trouvé ce film vraiment fort. Je recommande.

XavO dit :Je viens de voir System Crasher sur Netflix : film allemand narrant l'histoire d'une gamine qui passe de foyer en foyer. J'ai trouvé ce film vraiment fort. Je recommande.

C’est pas trop déprimant ?

Après avoir osé de vrais nanars bien nuls( le dernier Asterix, Barbie, le dernier Spiderman en DA, pourtant considéré bon), je viens d’enchainer sur deux très bons films : The Creator, à la critique pourtant mitigée, et The Whale, vraiment excellent, qui me faisait de l’oeil depuis un bail.

Les avis de personnes qui regardent Astérix, Barbie et Cie… 

Govin dit :Les avis de personnes qui regardent Astérix, Barbie et Cie... 

J'aime pas avoir des préjugés... et je suis déjà tombé sur des films que j'ai beaucoup apprécié (et ceux les ayant vu avec moi aussi) alors que la critique était très mauvaise.
Par exemple, je ne saurai que conseiller "L'avion" (4,9 sur Sens Critique) ...

Ca fait un long moment que je ne suis pas allé en salles pour voir un film. Je compense avec les dvd que j’emprunte dans les médiathèques de chez moi.

On ne trouve pas toujours forcément tout ce qu’on voudrait (pas de “Gouffre aux chimères” de Wilder par exemple), mais il y a largement de quoi satisfaire sa cinéphilie.
Après une exploration de Lumet, qui a été suscitée par la lecture de son livre “Faire un film” et que je recommande très fortement à tout amateur de cinéma, je suis à la recherche des films de Aldrich.

Hier soir j’ai regardé “En quatrième vitesse” (Kiss Me Deadly), l’adaptation d’un polar de Mickey Spillane, avec le privé Mike Hammer en personnage principale.
C’est du polar assez classique : Hammer est mêlé à un incident, il cherche à en savoir plus, parce qu’il n’aime pas qu’on se foute de lui, et les emmerdes et les cadavres s’accumulant, il s’entête.
En revanche, la mise en scène, le ton sinistre, la violence et surtout la fin stupéfiante distinguent ce film des productions similaires de la même époque. Aldrich n’est pas du genre à y aller avec des pincettes, j’avais déjà remarqué ça dans “Les 12 Salopards” et dans “Le Grand Couteau”, un tableau critique du show-business.