fabericus dit:I've just been owned !
Grave.
Ça m'étonnait aussi que tu ne l'aies pas encore fait.
fabericus dit:I've just been owned !
Grave.
grolapinos dit:Lors d'une de mes parties au club, à 4, je joue troisième.
Le premier joueur (A) entame direct d'un 9, qui lui permet de prendre directement l'avenue de la République, le second (B), pas en reste, tire double 3 puis double 4, et enfin 5, raflant Vaugirard, Paradis et Mozart en un tour.
...
Moi j’aurais pas fait comme ça.
hier j’ai fait un monopoly city, j’ai joué le 2eme et j’ai EXPLOSE mon adversaire
au monop le hasard ca compte mais ca compte aussi de savoir lancer les encheres au bon moment et de faire de bon deal (entuber l’autre quoi )
En fait suffit que je joue au monop pour que les autres perdent avec une proba de 75%
De toutes façons, c’est celui qui met la main qui a le plus de chance de gagner au Monopoly… Il faut dire que c’est plus facile pour lancer les dés…
fabericus dit:Plus que l'ordre du tour, il me semble que la principale source de déséquilibre provienne des deux piles de cartes "évènement" : la caisse de communauté et l'autre, là, dont le nom m'échappe. Je me demande si un moyen simple de remédier à ce (léger) défaut du jeu ne serait pas de proposer un système de draft de ces deux piles, en plusieurs phases successives et courtes (horaire, puis antihoraire et enfin en polonaise inversée), un peu dans l'esprit de la variante d'Agricola ou que celle(s) en cours d'élaboration pour kill-bique.Soyns honnête, on frise là la mauvaise foi. L'ordre de tirage des cartes, au même titre que la distribution probabiliste des dés, se gère, c'est même à cela qu'on reconnait les grands. Par contre, et là il semble que monsieur fabericus soit resté à la surface des choses, il faut bien être conscient que, compte tenu de l'utilisation des cartes et du fait qu'il n'y a pas de mélange entre deux parties, il est possible, à partir de la troisième manche, de prévoir avec une exactitude de 74,657 % (environ, tout dépend de la constante de Planck) la prochaine carte à sortir, en fonction des deux précédentes. Un mouvement stratégique fort du monopoly consiste donc à laisser les deux premières cartes de chaque paquet à ses adversaires afin qu'ils se sacrifie à la phase d'incertitude.
Le second point qui me parait également crucial est celui du nombre de joueurs. En effet, le monoply -comme beaucoup d'autres jeux tout à fait sympathiques par ailleurs : T'sT, LTtW, etc.- me semble optimisé pour la configuration maximale. Aussi à moins de joueurs, l'espace des possibles augmente et cela peut conduire à des situations d'AP assez pénibles (je parle d'expérience étant moi-même sujet à ce type de blocages regrettable). Je pense que pour restaurer la fluidité originale dans les configurations "basses" (disons de deux à quatre joueurs), le mieux serait de créer un ou plusieurs joueurs neutres, ou "morts". Il doit être relativement simple de mettre en place un mécanisme permettant de simuler de manière efficace et ludiquement pertinente leurs positionnements dans l'espace tactique du jeu (i.e. : le plateau). Par contre, les phases d'interaction (échanges, enchères) nécessitent une approche plus subtile. Peut-être faudrait-il creuser du côté des mécanismes innovants utilisés dans les jeux coopératifs pour parvenir à un résultat acceptable.
Qu'en pensez-vous ?
Il faut rajouter une variante enchères lorsque quelqu’un s’arrête sur un terrain et désire l’acheter. Ca enlèverait l’avantage du premier joueur.