rech dit :Yep, acheté hier...je découvre...il me semble complexe mais est excessivement plaisant à découvrir. Superbe bouquin! Prix un peu trop haut (60 euro) mais le plaisir de tourner les pages est clairement là...Il n'y a plus qu'à espérer que le jeu soit excellent (j'espère grave ^^)
Il n'est complexe que si tu veux jouer avec toutes les règles optionnelles d'emblée. La base par contre est très simple et à mon avis, il faut s'en contenter pour la première partie. >>> Jet au-dessus d'un seuil de difficulté après modification par les différentes réserves du joueur. Pof. Tout est là. Le reste permet de gérer de façon plus élégante certaines situation du jeu que ce que ferait le MJ par lui-même. Mais il est peut probable que les joueurs se lancent dans la conception de Numeneras dès la première partie, par exemple.
Bonne première partie à toi et tes joueurs en tous les cas !
Effectivement, après quelques heures de lecture ce n’est pas si complexe (mais faut être dedans tout le temps)… je n’en suis pas encore à la moitié du bouquin mais je me pose une question: niveau scénario c’est comment ? Simple à inventer, long, laborieux, rapide, etc… Est- ce à concevoir soi- même ou alors avec 3 morceaux d’intrigues ça coule de source. Parce que je me souviens qu’Oltrée était vendu comme tel alors qu’en réalité …si on ne se souvient plus de tout ce que l’on imaginé il faut être un bon MJ (et oui, il y a de bons et des mauvais MJ…n’en déplaisent à certains) et avoir une excellente mémoire. Donc voilà, j’espère que le jeu se joue plus facilement pour le MJ tout en restant quand même assez “classique”.
Niveau conception de scénarios, c’est plutôt simple, ne serait-ce que parce que la gestion des PNJ est simplifié au possible : il suffit de leur filer un niveau de difficultés et en voiture Simone. Rien que ça, ça simplifie grandement le boulot. Pour le reste, le but, c’est la découverte, la surprise. Avec les Intrusions du MJ, tu peux te lâcher.
Les scénarios du livre de base sont finalement assez classiques, des sortes de modules de Dungeon Crawling à la sauce weird science. Certains les trouvent décevants dans le sens où, justement, ils n’exploitent pas assez le concept de découverte et d’hypertechnologie redécouverte de manière mystico-magique. Mais ils ont l’avantage de décomplexer : pas nécessairement besoin de tirer dans les coins. Et ils ont l’avantage d’avoir fait naitre pas mal de scénarios beaucoup plus étranges comme celui paru dans le dernier Casus Belli.
Comme pour les règles, si tu veux tout mettre d’un coup, c’est l’échec assuré. Il faut vraiment voir le 9è Monde comme un univers où piocher ce qui te fait envie, et où tout est possible. Donc tu peux te lâcher. ^^
rech dit :De mon côté, depuis que "Torment (le nouveau)" est sorti en jeu vidéo...je n'arrive pas à comprendre si ce jeu appartient à l'univers de Monte Cook.
Car peu de site en parle...
Désolé mais je ne comprend pas du tout le sens de ton message. Serait-il possible d'avoir plus d'éléments ?
Un jeu vidéo du nom de “Torment” est sorti… et mon petit doigt me dit qu’il provient de l’univers de Monte Cook mais je ne trouve aucune référence online en VF.
Si parmi les personnes qui me lisent certaine ont pu faire évoluer un personnage de Numenéra, je suis vivement intéressé car je découvre que la progression se fait par 4 investissements dans des aspects différents du personnages (p112) : - Augmentation de ses réserves (4pts / rangs) à répartir entre Puissance, Célérité et Intelligence. - L’amélioration d’un avantage (1pts d’avantage en plus, au choix) - Amélioration de l’Effort (+1 pts en effort) - Passer “entraîné” dans un compétence de son choix
Bon alors c’est simple, les personnages risque de devenir monstrueux ne trouvez vous pas ? Sachant qu’il existe 7 rang dans le bouquin de base (ce qui permet de voir venir mais bon), on risque rapidement d’avoir des personnages avec des réserves de 20 dans un caractéristique, qui peuvent faire 3 effort sur une action (entendez diminué de 3 niv de difficulté soit 45% de difficulté en moins !!!) sans rien payer de leur réserve (puisque l’avantage diminue le coût de l’effort d’autant). Et puis là je m’arrête sur un perso rang 3, mais un personnage de rang 5 ou 6 devient carrément divin.
Ma question est simple : Avez vous aménagez les règles et comment ? Ou je me suis planté dans l’interprétation des règles ?
Merci !
PS : “Torment : Tides of Numenéra” est effectivement un jeu vidéo basé intégralement sur l’univers de Monte Cook. Les avis sont assez mitigés sur ce jeu concernant le scénario qui serait baclé ; à mi-parcours l’intrigue devient quasi linéaire… (les mauvaises langues disent que ce serait issu du Kickstarter qui n’aurait pas rencontré le succès escompté et donc pas permis de finir proprement le jeu). Par contre l’ambiance et l’étrangeté de l’univers sont bien présent, on y retrouve tout l’univers, les caractéristiques des persos etc…
Cela va sembler bizarre mais je vais me répondre à moi même, afin de préciser ma question. Après avoir lu et relu les passages des règles concernant ces aspects j’en suis venu au constat suivant : l’amélioration n’est pas une diminution qui s’applique à chaque effort mais bien une fois pour toute pour une action.
Je m’explique, avec un effort de 3 je peux (et c’est le maximum autoriser) diminuer de 3 niveau une difficulté. Grâce une amélioration de 3 je peux diminuer le coût de 3 pts. Sachant qu’un effort de 3 coûte 3+2+2 (amputant de 7 la réserve de la caractéristique afférente), l’amélioration diminuera ce coût de 3. Je pourrai donc, une seule fois par action, diminuer de 3 niv. la difficulté de cette action en retranchant 4 au lieu de 7 à la réserve du personnage.
Cela devient plus honnête. Cela permet aussi de constater qu’un perso de niv.7 pourra, une seule fois par action diminuer de 3 niv. gratuitement la difficulté de cette même action. (7 étant le coût maximum que l’on puisse atteindre). Bon je sais pas si je suis clair, mais pour moi ce l’est beaucoup plus.
Vivement ma partie de vendredi !
PS : Si vous avez des compléments d’infos sur le Cypher système ce serait chouette de les partager ici, je me demandais d’ailleurs si cela valait la peine d’acheter ce bouquin quand on a Numenéra.