J’ai presque envie de dire le contraire. Je préfère un mcTiernan bien foutu, bien efficace, qui pète pas plus haut que son cul qu’une merdasse prétentieuse, qui a pas ce qu’il faut dans le calbute.
Et on est tous libres d’aimer ce qu’on veut en tant que spectateur.
viking dit:J'ai presque envie de dire le contraire. Je préfère un mcTiernan bien foutu, bien efficace, qui pète pas plus haut que son cul qu'une merdasse prétentieuse, qui a pas ce qu'il faut dans le calbute.
Et on est tous libres d'aimer ce qu'on veut en tant que spectateur.
Bien sur qu'on est tous libre d'aimer ce qu'on veut!
Attention :
Essayer de faire un "chef d'oeuvre", cela ne veut pas dire que tu es prétentieux...c'est respecter le cinéma c'est tout.
Kubrick est rentré dans l'histoire du cinéma car il essayait de faire autre chose qu'un simple film...
Tarkovsky ,Griffith et Leone pareil...
J’avoue que je suis impatient d’avoir l’avis d’un pur fan de Refn comme Mirmo!
viking dit:J'avoue que je suis impatient d'avoir l'avis d'un pur fan de Refn comme Mirmo!
impatient ?
Il aime la polémique le Viking.
Dans la série trop de mise en scène (et d'effet) tue la mise en scène, j'ai vu Gatsby, qui se pose là dans le côté choc et toc.
Mais contrairement à Only god forgive, il n'est même pas beau à regarder.
Compliqué de trouver un film juste artistiquement en ce moment. Les réals ont accès à beaucoup plus de possibilités artistiques avec le numérique et la 3D, et pour le moment ils sont clairement en train de tatonner. Un peu comme à l'époque de l'apparition du parlant ou de la couleurs, les nouvelles techniques sont très loins d'être maîtrisées.
Je me souvient en court de montage mon prof m'expliquait qu'à l'époque du film argentique, les monteuses (oui c'était presque que des femmes) ne pouvaient pas couper/coller à l'infini car la pélicule s'usait, et donc il fallait beaucoup penser son montage avant de toucher le film.
Avec le numérique il n'y a plus se problème et pourtant il faut encore plus penser son montage et sa mise en scène pour éviter de se noyer dans le trop vaste choix que propose le recommencement infini d'un rush numérique.
Maîtriser un outils infini, qui se renouvelle à vitesse grand V. Un vrai challenge artistique.