...où l'on répond au topic où l'on répond à un autre topic.

Elles sont pourtant fort imposantes. :D

Un de perdu...

petezahh dit:Ah non!! Ca, jamais!!

C'est rare mais pour une fois je sais à quoi une personne à répondu en répondant sur un autre topic !

Ah, tu es devenu intelligent?

Je m'insurge, la mienne était infiniment plus poétique.

tes pratiques avec les hamsters viennent de radicalement changé :shock:

:mrgreen: :pouicboulet:

C'est pas plutôt un vieil hareng saur?

vient donc 'prendre' un verre chez Marcel :pouicboulet: çà passera

J'vais m'intéresser de prés à tes jeux Reiner, parce que j'aime bien les jeux de putes :mrgreen:

Seulement s'ils sont gais. Les trolls tristes ça va.

Parce que tu comptes en épouser un? Si c'est oui, je veux bien que vous m'adoptiez :kingboulet:

répondre à soi-même que des conneries passe pas, c'est un peu oser évoquer des énormités et dire que l'on doit pas en parlez, non? :pouicboulet:

Non, non, mais tu n'as pas tort ...
D'ailleurs il serait intéressant de connaître la proportion de coincés du cul qui sont révulsés par l'homosexualité ... en même temps, du coup, ça a une certaine cohérence :mrgreen:

:lol:
Du coup, c'est peut-être plus confortable d'avoir le cul entre deux chaises :)

À mon sens, il y a surtout une erreur à la base de certains arguments, c'est de penser que le Droit change la société. Alors que c'est exactement l'inverse qui s'est toujours produit : le droit s'est adapté aux changements socioculturels.
Il y a une vraie myopie à refuser de voir que les situations de fait existent vraiment.
Pour tout un tas de raison.
Ce qui effraie ceux qui n'acceptent pas la modification du Droit, c'est que la loi nouvelle ouvre les yeux sur une réalité que certains refusent pour des raisons personnelles, morales, religieuses etc.
nommer une chose, c'est lui donner une existence.
Et la loi en nommant donne obligatoirement une existence à ce que l'on refusait d'admettre par déni et pour des raisons très variées.

En grande partie d'accord avec toi Kouyneman, mais par exemple pour l'abolition de la peine de mort, la population de l'epoque était en majorité contre.

Et puis la loi a permis d'instaurer aussi une autre façon de voir.


Bien que je suis pas sur qu'avec un referendum la loi resterait.

Dès que tu parles de pédophilie, les gens ont un discours très différent sur la peine de mort par exemple.

Euh parce que t'as un cerveau malade quand t'es polygame?????


oulah absolument pas, par contre si tu fais le raccourci entre le mariage pour tous et la polygamie via Mayotte orchestrée par les chinois du FBI, je me demande si c'est pas un parano.
C'est tout.
Et puis bon, tu devrais peut-être pas trop réagir à tout ce que tu lis dans la cage aux trolls, je pense. C'est pas l'endroit le plus sain pour un débat.

ok ok... :wink:

Euh d'ailleurs pourquoi tu me parles? Tu es qui d'abord?


Ou sommes nous? Je suis sur que nous sommes filmés!!!!??????? :shock: :kingboulet:



:mrgreen: :wink:

manouch' dit:En grande partie d'accord avec toi Kouyneman, mais par exemple pour l'abolition de la peine de mort, la population de l'epoque était en majorité contre.
Et puis la loi a permis d'instaurer aussi une autre façon de voir..


Non non.
Cela a été possible parce qu'un candidat à la présidentielle s'y est engagé et que cela correspondait à une évolution de la société et à une autre façon de penser le droit pénal.
Je parle bien d'évolutions et de changements socioculturels, pas de l'opinion publique, ni même d'une opinion majoritaire, mais de courants de pensée.
L'abolition n'est pas arrivée par hasard, ni tombee du ciel. mais après des décennies d'argumentation, de décision de cour d'assise et de grâces présidentielles.

Kouynemum dit:
manouch' dit:En grande partie d'accord avec toi Kouyneman, mais par exemple pour l'abolition de la peine de mort, la population de l'epoque était en majorité contre.
Et puis la loi a permis d'instaurer aussi une autre façon de voir..

Non non.
Cela a été possible parce qu'un candidat à la présidentielle s'y est engagé et que cela correspondait à une évolution de la société et à une autre façon de penser le droit pénal.
Je parle bien d'évolutions et de changements socioculturels, pas de l'opinion publique, ni même d'une opinion majoritaire, mais de courants de pensée.
L'abolition n'est pas arrivée par hasard, ni tombee du ciel. mais après des décennies d'argumentation, de décision de cour d'assise et de grâces présidentielles.


Ok ok j'avais mal compris :)

Mais on pourrait se poser la question,

Est ce que des courants de pensées "ont le droit" d'aller contre l'opinion publique?

Je ne dis pas oui ou non mais c'est une question qui peut se poser...