Votre bébé vous fait galérer ? Vengez-vous sur ceux des autres !
Avec Parent K’Ouille, plongez dans les joies (et les galères !) de la parentalité. Votre mission : rendre votre bébé heureux, en étant prêt à tout pour saboter les autres. Stratégie, fous rires et coups bas garantis !
Durée d’une partie : 20 à 45 minutes.
Nombre de joueurs : 2 à 4 - plus il y a de couches, plus on rit !
Déroulé d’une partie :
Chaque joueur commence par piocher une carte Bébé avec une personnalité unique… saboteur en herbe, collectionneur de ressources, sprinteur en turbulette : à vous d’adapter votre stratégie de jeu en conséquence !
Chaque phase de jeu est divisé en deux tours :
le Jour : changez, nourrissez ou amusez Bébé pour augmenter son bonheur. Et bien sûr, sabotez vos amis pour ralentir leur progression.
la Nuit : faites dormir Bébé pour récupérer votre énergie en prévision du lendemain.
Alors, prêt à vous lancer dans la grande course à la crèche ?
Nous sommes deux créateurs indépendants, Pauline et Maxime, jeunes parents inspirés par les joies et les défis de notre quotidien. Avec Parent K’Ouille, nous avons voulu créer un jeu qui animera vos soirées entre amis et constituera le parfait cadeau de naissance !
Nous finançons le jeu sur nos fonds propres. La charte graphique du jeu - incluant le logo, les couleurs, les typographies et les textures -, la cohérence visuelle des cartes, du plateau de jeu et de la boîte, ainsi que le livret de règles, ont été conçus par une illustratrice talentueuse, qui est aussi une amie d’enfance. Nous aurions aimé lui confier l’intégralité des images figurant sur les cartes et dans les cases du plateau de jeu, mais avec près de 100 images à produire, le coût était trop élevé et nous avons donc utilisé DALL-E pour générer ces images.
On espère fort que le concept du jeu vous plaira, et que nous atteindrons notre objectif sur Ulule pour pouvoir lancer la production et concrétiser cette année et demi de travail !
Le jeu de mots du titre est osé et bien trouvé ! Ça devrait trouver son public
Serait-il possible d’avoir un petit extrait vidéo d’une partie (ou une explication de quelques tours de jeu) pour comprendre la mécanique (et voir si ça correspond à notre style de jeu) ?
Pour la direction artistique, malheureusement pour moi, IA=refus. Peut-être qu’en proposant des royalties à votre illustratrice…
Pour la production, ça sera où ? Chine ? Pologne ? La production en France aurait pu être un SG. Parfois en travaillant en local (et en mettant la main à la pâte, enfin au massicot et à l’arrondisseur d’angles ), on arrive à faire quelque chose d’économiquement viable à un prix correct pour le marché.
Pareil que @zblarg , au delà de l’humour du jeu qui peut plus ou moins me plaire (mais ça c’est très subjectif), l’utilisation de L’IA pour l’illustration (même partiellement) est synonyme de refus pour moi.
J’entends bien le caractère économique de ce choix, mais c’est une solution de facilité qui apporte énormément de problèmes éthiques à terme et qui retire toute responsabilisation de la part des créateurs de jeux (comment on faisait alors, avant l’émergence de Dall-E et consorts si on voulait créer un jeu…?).
Aucune animosité là-dedans, juste un positionnement personnel en tant que consommateur/joueur (que j’espère évidemment voir se répandre dans une communauté qui pense parfois uniquement à son plaisir ludique au détriment du reste, mais ça c’est à chacun de se positionner).
L’IA générative c’est la version 2025 de « j’ai pas de budget pour mon jeu, est-ce qu’il y aurait pas un graphiste qui voudrait me faire des images à l’œil, promis ça lui fera de la publicité ? ».
Je comprends que quand on n’a pas un rond on se débrouille comme on peut mais l’IA générative reste un copié/collé d’images existantes, ce qui pose des problèmes moraux et légaux sympathiques et fera les beaux jours de cabinets d’avocats spécialisés en PI dans les années qui viennent. Car d’une part, il n’est pas évident de savoir si un artiste dont l’œuvre a été utilisée pour donner à manger à l’IA pourrait se retourner contre l’auteur du logiciel, mais il est quasiment sûr qu’on ne puisse pas revendiquer la paternité d’une œuvre générée par IA … contrairement à l’auteur du logiciel qui y a forcément pensé dans ses conditions d’usage. Bref, si j’étais un professionnel, j’éviterais l’IA comme la peste dans la production de mes visuels ! Lisez bien les petits caractères en bas des CGU de Dall·E.
Sur le jeu en lui même rien à dire en particulier car si je ne m’abuse, les règles ne sont pas disponibles et c’est dommage pour savoir si le jeu est fait pour soi ou pas. Dans tous les cas, bonne chance aux heureux parents dans leur aventure !
Et en plus c’est moche Si j’avais le jeu entre les mains, j’aurais à chaque carte l’impression d’être face aux images putàclics qui saturent les réseaux sociaux depuis maintenant un certain temps (ah oui tiens faudrait que je fasse une désintox’).
J’attends aussi une réponse des auteurs sur la mécanique (et éventuellement les autres points). C’est une sorte de jeu de l’oie avec gestion de ressources ?
Bonjour à tous, et merci pour vos retours.
On est bien conscients du blocage lié a l’utilisation de l’IA, mais c’était ça ou abandonner le projet (devis à 5000 euros environ pour les illustrations des cartes seules, inenvisageable financièrement pour nous).
Pour les mécaniques de jeu, la petite vidéo qu’on a postée sur notre page Ulule donne les bases, et on prévoit de publier très bientôt sur Youtube une vidéo d’une partie, pour que ça soit encore plus clair ! On vous tiendra au jus.
Bonne soirée à tous,
Pauline et Maxime
!!
(et voir si ça correspond à notre style de jeu) ?
), on arrive à faire quelque chose d’économiquement viable à un prix correct pour le marché.
Si j’avais le jeu entre les mains, j’aurais à chaque carte l’impression d’être face aux images putàclics qui saturent les réseaux sociaux depuis maintenant un certain temps (ah oui tiens faudrait que je fasse une désintox’).