[point de victoire] objectif à la mode ?

Xbug-pirate dit:Peut-être les tenants de l'Ameritrash parlent BEAUCOUP plus haut, compensant de ce fait leur petit nombre... Pas taper... Pas taper pôv'ti troll

J'ai pas l'impression de parler haut, y a une vraie discussion, pas de rentre-dedans, les arguments avancés par tout le monde sont censés, mais bon, peu être pas les miens alors... :|
Le Zeptien dit:cela favorise aussi le fameux "king-making"


Les jeux à ligne d'arrivée seraient plus sujet au king making que les jeux sans limite ? Tu peux argumenter ou c'est juste une impression ? Parce que, là comme ça, je n'en suis pas convaincu. En fait, je ne suis pas sûr qu'il y ait un rapport. Antiquity par exemple ne souffre absolument pas de king making.
MOz dit:
Le Zeptien dit:cela favorise aussi le fameux "king-making"

Les jeux à ligne d'arrivée seraient plus sujet au king making que les jeux sans limite ? Tu peux argumenter ou c'est juste une impression ? Parce que, là comme ça, je n'en suis pas convaincu. En fait, je ne suis pas sûr qu'il y ait un rapport. Antiquity par exemple ne souffre absolument pas de king making.


Oui, je le crois vraiment. Bon, pour Antiquity, c'est en effet peut-être différent (pas assez de partie à mon actif pour être plus précis en ce qui le concerne), mais c'est vrai, il n'est peut-être pas le meilleur exemple pour illustrer mon idée.

Je vais reprendre les exemples dont je te parle plus haut :

Les Colons de Catane : Tu le sais comme moi, dés qu'un joueur commence à avoir un peu trop de points apparents, les échanges cessent avec lui, et on lui balance le voleur à la moindre occasion...or, des situations de fin de partie, en particulier à 4 font que souvent, 2 joueurs sont à deux doigts de finir...il suffit qu'un joueur se hasarde à un petit échange avec l'un des deux, ou qu'il mette le voleur sur un terrain de l'un et non sur le terrain de l'autres et patatrac !

Vinci : Qui, parmi les habitués de Vinci, n'a jamais subit la douleur d'être en tête, pas trop loin de la ligne d'arrivée fatidique ? en participant à taper sur ce joueur, on favorise souvent le second, voir le troisième...ayant fait essentiellement des parties à 5 où 6, j'en sais quelque chose. D'ailleurs ma seule partie gagnée de Vinci le fut parce que les premier, à 7 ou 8 points de la victoire, se fit laminer à ce qui allait être le dernier tour...

Utopia : Aïe ! un peu comme à Vinci, c'est la cata si tu es pas loin de la barre fatidique des 50 points, car tes temples vont surement ne plus rapporter grand chose à la fin du tour (d'où l'astuce d'en avoir un dans chacune des nations possibles, histoire de s'assurer au minimum les 15 points incompressibles...mais bon, c'est pas toujours possibles);

Antike : Même limonade, et c'est encore pire quand, ce qui arrive souvent, 2 joueurs sont au coude à coude à 1 point de la victoire. La moindre action contre l'un donne la victoire à l'autre.

ça n'en fait pas de mauvais jeux, loin de là, mais, globalement donc, ce coté course avec une limite d'arrivée précise...c'est pas mon truc.

Quand il est question de "points-victoire", les points-victoire "no limit" en tours limités, c'est incontestablement ce que je préfère......avec même dans certains cas un petit faible pour les points cachés, ou du moins des points pas faciles à évaluer avec précision, sans doute pour le coté retors de la chose, et parce que cela oblige les joueur à faire preuve de lucidité sur la situation respective de chacun de leurs adversaires.
Le Zeptien dit:Oui, je le crois vraiment. Bon, pour Antiquity, c'est en effet peut-être différent (pas assez de partie à mon actif pour être plus précis en ce qui le concerne), mais c'est vrai, il n'est peut-être pas le meilleur exemple pour illustrer mon idée.
Je vais reprendre les exemples dont je te parle plus haut :
Les Colons de Catane : Tu le sais comme moi, dés qu'un joueur commence à avoir un peu trop de points apparents, les échanges cessent avec lui, et on lui balance le voleur à la moindre occasion...or, des situations de fin de partie, en particulier à 4 font que souvent, 2 joueurs sont à deux doigts de finir...il suffit qu'un joueur se hasarde à un petit échange avec l'un des deux, ou qu'il mette le voleur sur un terrain de l'un et non sur le terrain de l'autres et patatrac !
Vinci : Qui, parmi les habitués de Vinci, n'a jamais subit la douleur d'être en tête, pas trop loin de la ligne d'arrivée fatidique ? en participant à taper sur ce joueur, on favorise souvent le second, voir le troisième...ayant fait essentiellement des parties à 5 où 6, j'en sais quelque chose. D'ailleurs ma seule partie gagnée de Vinci le fut parce que les premier, à 7 ou 8 points de la victoire, se fit laminer à ce qui allait être le dernier tour...
Utopia : Aïe ! un peu comme à Vinci, c'est la cata si tu es pas loin de la barre fatidique des 50 points, car tes temples vont surement ne plus rapporter grand chose à la fin du tour (d'où l'astuce d'en avoir un dans chacune des nations possibles, histoire de s'assurer au minimum les 15 points incompressibles...mais bon, c'est pas toujours possibles);
Antike : Même limonade, et c'est encore pire quand, ce qui arrive souvent, 2 joueurs sont au coude à coude à 1 point de la victoire. La moindre action contre l'un donne la victoire à l'autre.


Je ne consteste pas qu'il y a des jeux qui souffrent de kingmaking parmi les jeux à ligne d'arrivée, mais il y en a également parmi les jeux sans limite. Je ne suis pas sûr que le principe de la ligne d'arrivée génère intrinsèquement du kingmaking. Le kingmaking est quand même une situation bien particulière, qui implique qu'un joueur ne pouvant plus améliorer sa position est contraint de jouer un coup qui va favoriser l'un des joueurs en tête. Je ne vois pas le lien avec les conditions de victoire. Je pense que le kingmaking découle plus de l'intéraction et de la possibilité de créer des écarts.