Depuis quelques semaines, Sarkozy rame dans les sondages. On ne peut pas lui en vouloir, il avait une jeune femme à aimer…
Depuis quelques jours il se réveille :
le mal : Sarkozy a dit qu’il allait s’engager à fond dans les municipales mais il chute dans les sondages
la cure : il dit que finalement il ne s’engagera pas.
le mal : chute des opinions favorables chez la droite conservatrice
la cure : Nico et Carla se marient et ne vivent plus dansle pêché.
le mal : les petites gens n’ont pas vu l’argent rentrer, les cadeaux fiscaux ont plutôt été pour les classes moyennes et riches :
la cure : Nicolas va dans une usine pour y dire que l’Etat va faire de l’interventionnisme et tout faire pour sauver leurs emplois
le mal : les personnes âgées n’ont pas vu la revalorisation de leur retraite
la cure : augmenter le minimum vieillesse de 25% dans les 4 ans à venir, 5% dès 2008, avec en cado-bonus une prime d’anticipation de 200€
le mal : les taxis n’aiment pas le rapport Attali et ils font grève
la cure : puisque tout le monde s’en fout en définitive des taxis, on les laisse dans la situation actuelle et on n’en parle plus.
Revoici la politique des sondages, 10 mois après l’élection… Rapide !
pour les taxis ils ont eu gain de cause non ?
http://www.lefigaro.fr/actualites/2008/02/07/01001-20080207ARTFIG00013-taxis-fillon-enterre-le-rapport-attali.php
On l’a pas déjà vu ce topic ???
Nico a dit au conseil des ministres qu’il y aura des têtes à tomber après les municipales dans le gouvernement car il n’a pas apprécié les critiques, en particulier celles de son bureau à l’Elysée.
Tous les ministres étaient visés, ils ont tous été surpris par le rappel à l’ordre du président.
C’est vrai que les critiques de l’UMP se font plus présentes encore avec sa chute dans les sondages.
On se souvient du visionnaire Patrick Devedjian 
qui, dès la nomination du gouvernement d’ouverture, avait déjà commencé les critiques !
L’UMP se raccroche semble-t-il à la relative popularité de Fillon, le petit gars de Sablé sur Sarthe qui paie pas de mine mais qui est bien parti pour faire la star…
Pour les sondages, la politique, et les médias, je ne peux que conseiller l’excellent roman de Norman Spinrad intitulé “En Direct”. Non seulement c’est bien écrit, mais c’est souvent drôle, parfois émouvant, fort de bout en bout.
greuh.
Et Jack Barron, alors (bon d’accord, je 
)! 
ca manque de sondage barron
Noro dit:Et Jack Barron, alors (bon d'accord, je
Il est dans ma pile d'attente.
greuh.
Nicolas Sarkozy n’est pas le premier des politiques a user des sondages politiques. Mais ce qui différencie Nicolas Sarkozy des autres politiques c’est qu’il en est extrêmement friand et … il en abuse.
Rappelons nous de sa campagne électorale présidentielle durant laquelle il avait “saucissonné” la société française en catégories et avait établit des promesses " sensées répondre aux aspirations " de chacune d’entrelles. Cette démarche analytique s’était faite avec un usage poussé à l’extrême d’un nombre considérable de sondages.
Nicolas Sarkozy est donc un “ultrasensible du sondage”. Et lorsque ces derniers ne sont pas bons, cela le met dans un état " pas possible ". Il en découle ce que l’on voit: la panique.
greuh dit:Il est dans ma pile d'attente.
Quoi ? Tu n'as pas encore lu ce chef-d'oeuvre sur les médias ?
Je suis déçu, déçu, déçu !
Don Lopertuis
MrGirafe dit:Nico a dit au conseil des ministres qu'il y aura des têtes à tomber après les municipales dans le gouvernement car il n'a pas apprécié les critiques, en particulier celles de son bureau à l'Elysée.
Juste en passant, car je n'ai pas encore entendu parler de cela : de quelles critiques s'agit-il ? Qui les a émises ?
Don Lopertuis
Don Lopertuis dit:greuh dit:Il est dans ma pile d'attente.
Quoi ? Tu n'as pas encore lu ce chef-d'oeuvre sur les médias ?
Je suis déçu, déçu, déçu !
Don Lopertuis
Hélas. Mais, d'un autre coté, moi, je peux encore (et je vais prochainement) le découvrir, alors que toi, tu ne pourras plus jamais connaître cet instant de béatitude lié à la découverte d'un chef d'oeuvre.
greuh.
Don Lopertuis dit:Juste en passant, car je n'ai pas encore entendu parler de cela : de quelles critiques s'agit-il ? Qui les a émises ?
Henri Guaino, la plume du chef de l'Etat, et Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée irritent particulièrement les ministres (Jean-Pierre Jouyet,)
Articles
Cela s'ajoute aux remarques de Debré sur le rôle discret d'un conseiller de l'Elysée et sur le risque de désacralisation des hauts fonctionnaires de l'Etat comme le président.