Question aux spécialistes,
voilà, je veux scanner des illustrations sur des règles, pour illustrer des aides de jeu, en combien de dpi conseillez vous le scan pour que ce ne soit ni trop moche, ni trop lourd ? Y a t’il des normes pour cela ?
Est ce que vous démoirez systématiquement et comment ? on m’avait dit de scanner en 2 fois plus précis, et ensuite de réduire la taille de l’image de 50%…
Concernant, une photo qu’on veut mettre ensuite sur internet, on scanne en combien ? en 72 dpi ?
quelques autres conseils concernant l’art et la manière de scanner ?
Merci d’avance aux spécialistes !
tien ca me fait penser que cet aprem je dois scanner !
moi je règle toujours le scanner au max de résolution
ensuite je retouche l’image, la dépoussière effets etc…
et je la réduis en dernier a la taille voulue
attention si tu dois mettre du texte par dessus tes images mets le après redimmensionnement
paske du texte redimmensionné c’est dégueulasse
bon ben moi je m’y mets !
Jesus est de retour parmi nous, rebienvenue 
Je vois avec plaisir que tu reviens de temps en temps voir ce qu’il se passe…
Pour ceux souhaitant témoigner leur joie du retour de jesuska, merci de ne pas polluer mon post, mais d’en ouvrir un autre 
boul dit:Jesus est de retour parmi nous, rebienvenue
Pour ceux souhaitant témoigner leur joie du retour de jesuska, merci de ne pas polluer mon post, mais d'en ouvrir un autre
ou leur mécontentement ...
boul dit:Pour ceux souhaitant témoigner leur joie du retour de jesuska, merci de ne pas polluer mon post, mais d'en ouvrir un autre
Tu rèves, on est trop content de revoir Jesuska ici
Blue, cotent
Il faut utiliser le détramage quand ton document a une trame
Quasiment tous les documents couleur sont imprimés en quadrichromie et ont donc une trame.
Si tu scannes un tirage photo ou un croquis que tu as dessiné sur papier, pas besoin de détramage.
Sinon inutile de scanner avec une résolution super élevée. Personnellement je scanne environ au double de la taille finale, puis je réduis de moitié quand j’ai fini de retoucher le document, mais ça n’est pas indispensable.
Sur le web la résolution n’a pas d’importance. Si ton image a des dimensions de 300 pixels sur 300 elle s’affichera de la même manière qu’elle soit à 72dpi ou à 400dpi
boul dit:je veux scanner des illustrations sur des règles, pour illustrer des aides de jeu, en combien de dpi conseillez vous le scan pour que ce ne soit ni trop moche, ni trop lourd ? Y a t'il des normes pour cela ?
Si ton document final est un PDF, l'idéal est de paramètrer ton générateur de PDF (par exemple PDFCreator qui est gratuit) pour qu'il ré-échantillonne les images en 300 dpi et qu'il les stocke en "Jpeg High". Tu auras ainsi un document qui s'imprime avec une qualité parfaite. Si c'est vraiment trop gros, tu peux descendre à 250 dpi sans grande différence. La limite de l'acceptable se situe à 150 dpi (qualité photocopie, on voit un peu les pixels).
La résolution de sortie sera ainsi calculée au plus juste par le générateur de PDF, en fonction des dimensions de chaque image à l'intérieur de ton document. En imaginant que tu conserves l'échelle 100% pour toutes les images, il te faut donc scanner au moins à 300 dpi. En pratique, 600 dpi te laisse une bonne marge de manoeuvre pour recadrer ou agrandir un peu. Pour éviter les compressions Jpeg successives et destructrices, il vaut mieux enregistrer les scans au format TIF. Les images ne seront converties en Jpeg qu'à la fin, par le générateur de PDF.
boul dit:Est ce que vous démoirez systématiquement et comment ? on m'avait dit de scanner en 2 fois plus précis, et ensuite de réduire la taille de l'image de 50%...
Le détramage (descreening en anglais) est une étape délicate. Parfois, il suffit de cocher une case dans le pilote du scanner pour que le détramage soit automatique, et avec un résultat convaincant. Sinon, une méthode courante consiste effectivement à scanner à 1200 dpi, appliquer un peu de flou, puis réduire à 50%, faisant ainsi passer l'image de 1200 à 600 dpi. Ensuite, on applique un filtre de renforcement de netteté pour redonner à l'image le mordant qu'elle a perdu à cause du flou. Bien doser la force et le rayon d'action des filtres "flou" et "netteté" n'est pas évident. Cela dépend pas mal de la qualité optique du scanner et de la linéature (finesse de trame) du document original ; il faudra donc tâtonner un peu pour trouver le bon paramétrage.
Même lorsque le détramage est parfaitement réussi (on ne voit plus l'éffet de grille de la trame, les aplats paraissent lisses) l'image finale imprimée est forcément un peu plus molle (contours moins nets) que le document original. En fait, il y a un compromis à trouver entre une bonne netteté et une absence de trame, mais disons que l'impression jet d'encre ayant déjà tendance à flouter un peu les contours, il vaut mieux se contenter d'atténuer un peu la trame, et ne pas chercher à la supprimer totalement. La trame se voit moins une fois imprimée qu'à l'écran, et ce n'est pas grave si elle se voit un peu (elle se voit de toutes façons dans le document original) du moment qu'elle reste discrète...
Perso, je bosse 300 dpi (au dessus ne sert pas à grand chose). Si il y’a tramage alors on enclenche le détramage seulement un truc efficace est de poser le document à 45° d’orientation sur la dalle. Cela évite le moirage.
Comme une illustration est le plus souvent issue de la quadrichromie et que l’analyse est traduite en RGB il est souvent de bon ton de régler les contrastes et la saturation du document.
Dans Photoshop il faudra inévitablement régler les “niveaux” (image>réglage>niveaux) et pousser les noirs et les blancs qui peuvent le plus souvent paraître laiteux. Je conseille l’usage du niveau plutôt que celle des contrastes/luminosité qui sont souvent déstructeurs…
Pour le reste, c’est du feeling…
Les niveaux c’est ça :
Le triangle noir à gauche entouré de rouge est le niveau des noirs. A l’autre extrémité le triangle blanc est celui des blancs (forcément).
Dans cette exemple on voit que le document à une haute courbe des sombres et que le triangle noir n’est pas “en dessous” du plus haut sommet. Il suffit de faire glisser l’icône et d’aprécier la pureté des contrastes.