Disons que Toulouse quand l’hiver se termine et qu’ils ont des condition pour envoyer du jeu, c’est quand même autre chose.
Pour Perpignan, rien à faire. Quand vous êtes dominés en touche comme ils l’ont été, tu ne peux pas sortir la balle, alors qu’en face, le 15 a pass son temps à arroser, et il n’avait même pas besoin de chercher des longues touches, de toute façon ils reprennaient le ballon…