Je viens d’apprendre que mon ancienne boite fait courir une rumeur comme quoi je serais en procedure de licenciement avec ma nouvelle boîte… Ce qui est complètement faux… mais qui pourrait bien plomber ma nouvelle boîte qui tente de s’implanter sur la région… Je cherche un mode de représaille, des idées ?
rassure-moi : c’est toi le produit-phare ?
Ben en fait, tu sais sur la place Orléannaise, le monde de l’informatique est petit. Je suis plus que connue (et appréciée je crois) chez le client chez qui il a dit ça… Et comme beaucoup de recrutement et de missions s’obtiennent par le bouche à oreille, ce genre de rumeurs peut faire mal à la boite…
Tu penserais quoi toi d’une boite qui monte une agence en province depuis moins d’un an et qui commence déjà à licencier. Tu postulerais ? Perso ça me refroidirait… L’attaque de ma petite personne n’est pas forcement grave, c’est l’attaque vis à vis de ma boite qui me gène…
Cookie dit:Ben en fait, tu sais sur la place Orléannaise, le monde de l'informatique est petit.
A part la statue de de Phal, qu'est-ce qui est grand à Orléans ?
Cookie dit:Tu penserais quoi toi
Tu sais, moi, les rumeurs, je n'y accorde qu'une attention très très distante. Donc je vérifierais, si ça me semblait crédible.
El comandante dit:Cookie dit:Tu penserais quoi toi
Tu sais, moi, les rumeurs, je n'y accorde qu'une attention très très distante. Donc je vérifierais, si ça me semblait crédible.
Ca pourrait paraître crédible: je suis en mission sur Paris donc plus personne ne me voit sur Orléans... Et puis tout le monde ne me connait pas non plus... Les gens retiendront uniquement qu'il y a des licenciements...
Je ne vous ai jamais raconté comment j’ai été renvoyé de l’école pour avoir fait passé deux élèves par la fenêtre ?..
Ils avaient lancé une rumeur comme quoi l’éducation nationale était entrain de te virer et tu as fait en sorte que ce soit vrai ?
C’était il y a une vingtaine d’années ('tain, déjà ! )
Je surveillais trois classes à la fois (le dirlo et l’autre instit étaient à un enterrement)
Il pleuvait, les mômes étaient énervés, et deux se bagarraient.
J’ai voulu les séparer, l’un s’est reculé et a heurté la vitre avec son bonnet.
Heureusement, pas de blessure, mais j’ai eu le calme après…
Le lendemain, pour une toute autre raison, j’étais malade, et je ne suis pas venu à l’école… et l’aprem, un instit vient prendre de mes nouvelles, et me raconte la rumeur dans le village : renvoyé pour avoir fait passé deux élèves par la fenêtre
Deckard dit:Je surveillais trois classes à la fois (le dirlo et l'autre instit étaient à un enterrement)
Il pleuvait, les mômes étaient énervés, et deux se bagarraient.
J'ai voulu les séparer, l'un s'est reculé et a heurté la vitre avec son bonnet.
Pourquoi avait il son bonnet dans la classe (à supposer qu'il ne passe pas par la fenetre de la cour)...?

Pour se protéger de la vitre bien sur...

Ah ok...

C’était l’hiver, on rentrait de récré, et le bonnet était très tendance, déjà, à l’époque, même (et surtout) en classe…
La meilleure façon de réagir est d’éclater de rire en face de la personne qui te rapporte la rumeur. Ca marche bien.
Personnellement, ça n’a pas été trop dur. Il a colporté la rumeur auprès d’une de mes copines… qui forcément a eu une certaine tendance à ne pas le croire… Donc vis à vis d’elle, ça a été vite démenti. Mais à mon avis, il l’a dit à d’autres…
Et puis je trouve la manoeuvre bien vile… il est hors de question que ça reste sans conséquence…
Cookie dit:Et puis je trouve la manoeuvre bien vile... il est hors de question que ça reste sans conséquence...
Ça dépend, la prime de licenciement pourrais payer la réfection de la cour ?

Sinon, tu envoies un mail à pas mal de monde pour annoncer que tu vas féter ton 1 an de boite par un punch à la maison, et “par erreur”, tu mets le gazouilleur des bois en copie. Bon, le risque, c’est qu’il vienne
Et tu n’oublies pas de leur dire de venir avec leur CV, ma boite recrute et la prime de cooptation a l’air d’avoir augmenté.
Ah c’est pas mal, ça… on a un WE de libre ?
Cookie dit:Et puis je trouve la manoeuvre bien vile... il est hors de question que ça reste sans conséquence...
L'autre solution c'est de faire livrer par erreur, dans sa boîte par exemple, une boîte de viagra.
Puis de le raconter.

Oh, ça c’est mignon !!!
Ca doit bien marcher aussi avec un magasine pour pratiques sexuelles peu courantes avec l’enveloppe à moitié déchirée pour laisser apparaitre le contenu
Vivement que l’école deviennent obligatoire le mercredi !!!
En fait, la boîte de viagra, c’est trop petit, trop discret. Il faudrait que ce soit un cadeau plus gros que la secretaire le voit…