Salle de repos pour catcheurs(euses) fatigués

Flapy dit:
sebduj dit:Ca fait 7 mois que j'attends ca: le chômage. Ma vie est un miracle. C'est une grande journée :roll: :bonnetpouic:

Courage Sebduj...


Merci francois! Le chomage est une bonne chose pour moi qui me permet d'enfin chercher un vrai boulot. Reste à en trouver le courage...

[SNIP].

Réponse déplacé vers le topic dédié crée ex nihilo par un tout puissant modo (que je soupçonne d’^être une modette). Zou.

–faut, jamais aussi bien servi que par soi même :wink: **

merdum, un modo bien intensionné à déplacé le sujet pendant que je répondais :lol:

bon ça va faire un mois que 'ai pas bossé


je tiens bien le coup :)

Dites, je peux cogner ma collègue ? :twisted:

Cookie dit:Dites, je peux cogner ma collègue ? :twisted:


Vas-y fais toi plaisir. :mrgreen:
Cookie dit:Dites, je peux cogner ma collègue ? :twisted:


L'Arlesienne que tu dois nous présenter un de ces jours ? L'abime pas trop quand même... :wink:

Bah non, si elles étaient collègues, il y a longtemps qu’elles ne seraient plus copines.

Fadest dit:Bah non, si elles étaient collègues, il y a longtemps qu'elles ne seraient plus copines.


Tu veux dire que malgré sa prépa, Cookie ne fout rien au boulot? :mrgreen:

J’suis pas catcheur mais j’suis fatigué…
Je rentre chez moi…

petezahh dit:
Fadest dit:Bah non, si elles étaient collègues, il y a longtemps qu'elles ne seraient plus copines.

Tu veux dire que malgré sa prépa, Cookie ne fout rien au boulot? :mrgreen:


Non, grâce à ma prépa, je peux glander au boulot et en faire autant que les autres... :mrgreen:
Tu me cherches, tu me trouves... :pouiclove:

je suis triste, j’ai mal au dos et en plus je tombe de sommeil. :|
vivement mon lit et mon polar…

Ô vous les arracheurs de dents,
Tous les cafards les charlatans
Les prophètes
Comptez plus sur l’oncle Archibald
Pour payer les violons du bal
A vos fêtes

Mon oncle à moi s’appelait Olivier. Il était réputé pour avoir un caractère torturé et on partageait une passion pour Brassens. Il est mort à 61 ans. Ca a été rapide, c’est peut être mieux pour lui. Mais pour sa femme, ses enfants et petits enfants, ça aurait sans doute pu attendre un peu. Moi aussi…

Yaël, ma fille qui ne le connaissait qu’à peine, sait pleurer à ma place…

;-(
Les paroles en de telles circonstances sont toujours un brin absurde, elle rappelle au mieux la perte au pire elles ne font que faire regretter un peu plus celle-ci…
Nous croisons tous, à un moment ou un autre, parfois un peu trop souvent la Camarde de Brassens qui est moins plaisante quand elle quitte les chansons.

Kouynemum dit:je suis triste, j'ai mal au dos et en plus je tombe de sommeil. :|
vivement mon lit et mon polar...


Et c'est quoi comme polar hein dit ?
Cheesegeek dit:;-(
Les paroles en de telles circonstances sont toujours un brin absurde, elle rappelle au mieux la perte au pire elles ne font que faire regretter un peu plus celle-ci...
Nous croisons tous, à un moment ou un autre, parfois un peu trop souvent la Camarde de Brassens qui est moins plaisante quand elle quitte les chansons.


et c'est parfois si loin.... si proche..... :(
Eric dit:Yaël, ma fille qui ne le connaissait qu'à peine, sait pleurer à ma place...


Eric, pleurer, c'est pouvoir ne pas emprisonner sa souffrance; même si c'est le moyen le plus instinctif d'évacuer la douleur, chacun trouve sa façon de le faire. chanter, par exemple, en est une.
je souhaite juste très sincérement que tu aies déjà reconnu la tienne et que tu ne te charges pas d'un fardeau supplémentaire.


ps pour Monsieur Mops :
"Niet camarade"d'Olen Steinhauer
l'auteur, né en Virginie, vit aujourd'hui à Budapest. Ses romans se déroulent dans un pays de l'Est jamais nommé, à partir de 1948, à raison d'un roman par décennie. Celui-là est le deuxième opus et débute en 1956, un peu avant l'entrée des chars soviétiques à Budapest.

C’est gentil. Je chante et j’écris (enfin pour le moment j’écris dans ma tête et un peu ici avant d’écrire à mes cousins, ma tante, ma grand-mère et vraisemblablement sur Miettes…)
Mon allusion aux larmes de Yaël n’avait rien d’amer, au contraire, j’ai été touché et réchauffé…

Eric dit:
Mon allusion aux larmes de Yaël n'avait rien d'amer, au contraire, j'ai été touché et réchauffé...


ça me rassure :pouiclove:
j'avais cru entrapercevoir l'ombre d'une culpabilisation personnelle. :?

En fait, c’est parce que je n’ai pas trouvé la fin de ma phrase…