[Sherlock Holmes Detective Conseil : Jack l’Eventreur & Aventures à West End]
Bonjour les enquêteurs !
Qu’avez vous pensé de cette enquête ?
Avec ma cops on à explorer à peu près toutes les pistes car nous n’arrivions pas à faire de lien entre ce que nous racontaient les protagonistes et les faits, ça ne collait pas. On a même fait les hôpitaux pour trouver trace d’un blessé, mais en vain.
Au bout de 3 heures n’ayant pas réussi à avancer j’ai donné ma langue au chat.
A la lecture des questions, ma cops à accusé le petit ami de la victime en invoquant une raison issu de son imagination (faute de mieux), moi je me suis abstenu de répondre.
Quand nous avons lu la solution, les bras nous en sont tombés ! Rien en effet ne nous à orienté sur la piste de Dubois.
Je ne vois pas comment le fait qu’il ne se soit pas levé de son fauteuil constitue un indice pour Sherlock …
Cette enquête est pour nous quasiment introuvable.
Et là je pose la question à la communauté et aux Space Cow-boys, il aurait peut-être fallu donner une piste quelque part, non ?
Est-ce que l’on à pu rater quelque chose ou bien il fallait simplement passer son temps à relire tous les journaux pour y trouver le suicide de Dubois père ?
Qu’en pensez vous ?
Grands Dieux que ce fut laborieux ! Un an et demi pour résoudre 21 enquêtes SHDC, trois ans et demi pour boucler les 6 West End ! Mais j’en suis venu au terme.
Cette ultime affaire se révèle sans grand relief, comme toutes les enquêtes de ce cycle (les auteurs ont clairement perdu le feu sacré et l’éditeur n’a pas eu le cran d’injecter plus de chair romanesque à tout ça, hélas), mais elle est cohérente, comme la quatrième enquête (La Mort d’un comte transylvanien) et comme elle parfaitement oubliable. Ceux qui avaient rêvé d’une montée en puissance, de finir en apothéose et en haleine, en seront pour leurs frais. C’est mou du genou.
Nous avons trouvé les récompenses de points un peu déséquilibrées (80 points sur 100 répartis sur deux questions seulement) et reposant sur un enchaînement de pistes trop linéaire (Heatchcliff-Tod-Charpentier, passage obligé ! Pas de voie déductives alternatives).
Par ailleurs, pour se souvenir de l’information dans le journal c’est coton. L’info est formulée à dessein de façon très anecdotique et Dubois est un nom extrêmement banal ; là, c’est clairement la mémoire qui est sollicitée. Peut-être faudrait-il renommer l’industriel et son fils par un nom plus distinctif, plus mémorisable, et qui nous permette de nous dire qu’il ne peut y avoir de coïncidence d’homonymie. Ou alors il faudrait une deuxième source un peu plus claire pour étayer l’hypothèse de la vengeance, par exemple à l’ambassade de France, où les victimes du duo devraient être plus précisément nommées (en laissant au journal l’info du suicide, à développer peut-être un chouilla)…
Autre point qui nous a chiffonnés : le comportement de Holmes en introduction (quelqu’un a-t-il compris ce que c’était que cette histoire de corbeaux à la Tour de Londres ?). Soit Holmes se désintéresse de l’affaire qui lui est soumise, soit il enquête. La justification qui nous est donnée de sa petite mise en scène est bancale, car Holmes ne dispose pas comme nous de la lettre avec les noms des personnes escroquées par Mignon Pierre. Et pourtant Holmes va voir Heatcliff. Coup de force des auteurs, là encore. Il faudrait le justifier, en expliquant que Holmes va voir Morris à son bureau et que ce dernier les lui communique (il fait donc une piste supplémentaire).
En tout état de cause, on ne peut pas dire que ces enquêtes auront soulevé les passions des foules.
J’ai entamé la campagne Jack, dans quoi réside l’ultime espoir de repêcher ce cycle du naufrage. Je n’en attends rien ludiquement parlant, sinon une ambiance à couper au couteau (haha). A suivre.