Merci de vos réponses… mais j’avoue avoir encore quelques doutes sur l’équilibre de ce point de règle précis.
Car justement dans les cas de figure qui sont apportés, la stratégie du joueurs ayant le moins de cartes est presque obligatoirement de faire perdre ses cartes à son adversaire.
Par conséquent, à partir du moment où ce dernier le sait, il laisse son challenger miser et s’enfoncer tout seul puisqu’il est obligé de retourner le skull qu’il a en main :
laudaphnis dit:De 2 à 4 cartes en fait :“B” sachant que “A” est obligé de retourner ses 2 cartes s’il remporte l’enchère, il n’a aucun intérêt à monter au dessus, quoi qu’il ait posé lui-même (alors que si la règle n’impose de retourner que sa première carte, “A” en misant 2 conserve la possibilité de retourner sa carte du sommet et celle de son Challenger).
Joueur A (1er joueur)1 carte
Joueur B (2ème)1 carte
Joueur A1 carte ou pari
Joueur B1 carte ou pari
Joueur APari puisque plus de carte à poser.
L’objectif de “A” sera de tenter “B” à monter l’enchère pour lui faire perdre ses cartes petit à petit : Comme l’a signalé BackDraft, il joue 1 carte puis mise à son tour (Skul ou pas ?) ou attend le second tour et pose sa deuxième carteSi “B” pose une seconde carte également et que “A” a disposé un “skull” en haut de sa pile, il peut miser “2” en espérant que “B” mise “3” et ainsi révéler ses 2 roses personnelles + le skull de “A”
Perte d’une carte
Je sais que Monsieur Marly a considérablement travaillé sur l’épure de ce petit bijoux, et justement je me demande comment il en est arrivé à fixer ce principe de “l’enchérisseur retourne obligatoirement toutes ses cartes” (dans la limite fixée par l’enchère) plutôt que “l’enchérisseur retourne obligatoirement sa première carte”. Dans les tréfonds de mon esprit tordu, une petite voix me chuchote que la seconde solution ouvre plus de possibilités pour le moins fortuné en cartes (que voulez-vous, chaque fois que je vois un démuni je ne peux m’empêcher de vouloir l’aider).