Carton-plume.
Hop !
M’oui, je m’en doutais. J’ai parfois été moins soigneux : trop pressé de jouer, je collais cela parfois sur de simples bouts de carton et pas forcément avec la colle adéquate; Pour certains, j’ai perdu les pions des premiers numéros, avec d’en retrouver plus tard des impeccables avec encarts encore accrochés. Pas plus tard que ce week-end, un cousin m’a donné plein de numéros en très bon état dont deux que je n’avais jamais eu en main, c’est pour cela que j’ai aujourd’hui des numéros parfois en double et triple exemplaire. J’ai l’intention de faire des séances de montage bientôt. Pour les plateaux, carton-plume aussi ? Et pour la colle, c’est quoi le mieux ?
Pour les plateaux je recommanderais plutôt des grands calendriers. Ça se rapproche de nos plateaux, c’est moins épais et moins fragile.
@bruno-des-montagnes utilise du carton gris, il en existe de bonnes épaisseurs.
Des grands calendriers…Et bien figure-toi que j’en récupère un ou deux chaque année. D’ailleurs le seul “plateau grande feuille” J&S que j’ai collé à ce jour, c’est celui de la bataille d’Aboukir (J&S n° 28), il y a longtemps, sur un calendrier de…1992. Oui, c’était pas hier…
Le carton gris…je connais pas, il faudra que je regarde cela.
Moi, tout jeunot, c’étaient les emballages de cornflakes. Un peu fin et de piètre qualité, mais ça suffisait à mon bonheur pour mettre tous ces petits mondes en place. Punaise, je me suis saigné sur mon argent de poche pour des magazines dont je ne pouvais à l’époque résoudre que très partiellement certaines énigmes un peu exigeantes. Mais les encarts, en particulier, c’était quelque chose !
Oui, d’ailleurs le jeu en encart, c’est la première chose que je regardais. Je cherchais aussi un éventuel Labyrinthe-aventure de Philippe Fassier, les pages Echecs, Othello et autres, souvent en fin de mag, l’actu des sorties, tournois, festival (ce qui me faisait rêver, comme le pion d’or J&S…c’est ainsi que j’ai connu Fief).
Aujourd’hui, quand je feuillette des pages de J&S, je m’attarde par exemple sur les publicités pour les boutiques ludiques ; C’est ainsi qu’à Montpellier par exemple, je me suis amusé à retrouver des adresses de boutiques que j’ai pas connues ou dont je me souvenais plus de l’emplacement exact.
Un numéro de J&S, c’est une promenade dans le jeu d’autrefois avec l’arrière fond d’une époque. Je pense que certains jeux en encart, limités pour des raisons évidentes de format, non seulement ont inspiré d’autres jeux bien plus tard, mais aussi, que quelques-uns d’entre eux avec de nouveaux développements, qui sait, pourraient trouver un public aujourd’hui…
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Je faisais partie des sagouins qui jouaient directement avec les pions papier, que je conservais généralement dans les boites de cigarillos de mon père. Ce qui veut dire que
- Mes pions puaient le tabac
- J’en perdais régulièrement, surtout quand je jouais en extérieur avec un peu de vent.
Mes quelques tentatives à l’époque pour coller sur carton avaient été des fiascos. Probablement pas la bonne colle (ma colle à papier galérait avec le papier glacé des encarts.)
Alors qu’ironiquement, le jeu en encart de mon premier J&S (le chateau des sortilèges, J&S n°4) avait eu droit à un cartonnage “deluxe” (pions sur carton gris, plateau sur carton toilé avec une “charnière” bien propre en tissu), parce que c’était un cadeau de mon tonton bricoleur.
Oh oui, ça faisait partie de mes trucs préférés avec les jeux en encart et les énigmes/casse tête logiques illustrés. Les premiers trucs que je cherchais dans un J&S (et aussi les scénarios de Méga quand je maitrisais ce jeu) 
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Sur abandonware il manque des numéros de J&S. Par contre il y quelques années j’ai tout mis sur mon blog et sur BGG.
https://laurent36.typepad.com/blog/2007/12/les-encarts-de-jeux-et-stratégie-n-1-à-10.html Et pages suivantes…
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Les labyrinthes de Fassier sont tous sur son site web : - Le site de Philippe Fassier - Labyrinthes -
… Je suis tombé dans J&S avec le numéro 19 jusqu’au dernier, avant de compléter plus tard ma collection avec les numéro 0 à 18 !
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J’espère que tu l’as encore, c’est un numéro historique dans le cadre de l’arrivée du JdR en France. François Marcela Froideval (R.I.P) l’évoque dans son entretien mené par Ancestral geek, il parle d’un jeu “hybride” pour la Château des Sortilèges, le jeu en encart qu’il a créé ; Hybride car entre le jeu de plateau et le jeu de rôle. Je suis en possession de deux J&S n° 4, mais un seul est complet avec l’encart et les pions, des numéros acquis plus tard car mon tout premier J&S a été le n° 8 avec Tétrarchie.