Un jeu, un livre

Peux pas m’en empêcher faut que je mêle la littérature à toutes les sauces.
Désolé. :oops:
Voilà je vous propose d’associer un jeu-un livre.
Comme par exemple AGRICOLA-MARTINE A LA FERME.


Bon plus sérieusement.
FREEDOM The Underground RailRoad-LA DERNIERE FUGITIVE de Tracy Chevalier


Résumé :
« Quand Honor Bright se décide à franchir l’Atlantique pour accompagner, au cœur de l’Ohio, sa sœur promise à un Anglais fraîchement émigré, elle pense pouvoir recréer auprès d’une nouvelle communauté le calme de son existence de jeune quaker : broderie, prière, silence. Mais l’Amérique de 1850 est aussi périlleuse qu’enchanteresse ; rien dans cette terre ne résonne pour elle d’un écho familier. Sa sœur emportée par la fièvre jaune à peine le pied posé sur le sol américain, Honor se retrouve seule sur les routes accidentées du Nouveau Monde. Très vite, elle fait la connaissance de personnages hauts en couleur. Parmi eux, Donovan, «chasseur d’esclaves», homme brutal et sans scrupules qui, pourtant, ébranle les plus profonds de ses sentiments. Mais Honor se méfie des voies divergentes. En épousant un jeune fermier quaker, elle croit avoir fait un choix raisonnable. Jusqu’au jour où elle découvre l’existence d’un «chemin de fer clandestin», réseau de routes secrètes tracées par les esclaves pour rejoindre les terres libres du Canada.
Portrait intime de l’éclosion d’une jeune femme, témoignage précieux sur les habitudes de deux communautés méconnues – les quakers et les esclaves en fuite –, La Dernière Fugitive confirme la maîtrise romanesque de l’auteur du best-seller La Jeune Fille à la perle. »

ROBINSON CRUSOE-SUZANNE ET LE PACIFIQUE de Jean Giraudoux.


Résumé :
« Loin de toute méditation angoissée sur la solitude humaine, Suzanne et le Pacifique est un pied de nez à Pascal, emporté comme viatique, et à Flaubert, qui aurait tempêté contre cette île faite femme où « les pommiers donnent des oranges », et aurait trouvé là une nouvelle occasion de rager contre le « besoin de poétisation » des femmes, dont la maladie commune est de « demander des oranges aux pommiers… » Traité sur le bonheur de ne point demeurer en repos dans sa chambre, Suzanne et le Pacifique fait le pari de l’ « eudémonisme païen » - dont Sartre parlait à propos de Giraudoux -, bouleverse les classifications de la faune et de la flore, dresse l’inventaire d’un monde qui n’existe que parce qu’il est nommé. Giraudoux nous mène en bateau et l’île a ceci de commun avec le radeau, leitmotiv de l’oeuvre giralducienne, qu’il permet à l’« anarchiste distingué » - que Philippe Soupault voyait en Giraudoux d’isoler la révolte et de laisser l’ordre du monde intact : « On ne devrait s’aimer que sur un navire, un radeau, on le laisse aller, une fois tout fini, et tout le reste du monde est sauf.»
Voilà, voilà, alors si ça vous dit de temps en temps de donner envie de lire-jouer… :wink:

Robinson crusoe, ben il y avait robinson crusoe non ? :mrgreen:

Il y avait aussi Vendredi ou les limbes du Pacifique mais c’est un peu plus scabreux encore que magnifiquement écrit. :wink:
A Few Acres of Snow invite à lire Le Dernier des Mohicans et Tales of The Arabian Nights, ben les Contes des Mille et Une Nuit.
Et pas de doute après une petit Smallworld rien de tel que Orcs :D

Zombicide => “Le guide de survie en territoire Zombie”


et

Patricktruelle dit:Robinson crusoe, ben il y avait robinson crusoe non ? :mrgreen:

Evidemment mais celui-là tout le monde l'a lu, non ? :shock:
Par contre le Giraudoux est vraiment excellent, le pendant féminin de Robinson :D

Les Contrée de l’horreur et L’Appel de Cthulhu, de Lovecraft.
Sword of Rome et Tite-Live.

COLORETTO-BLEU de Michel Pastoureau


Résumé :
“Bleu
L’histoire de la couleur bleue dans les sociétés européennes est celle d’un complet renversement : pour les Grecs et les Romains, cette couleur compte peu ; elle est même désagréable à l’œil. Or aujourd’hui, partout en Europe, le bleu est de très loin la couleur préférée (devant le vert et le rouge).
L’ouvrage de Michel Pastoureau raconte l’histoire de ce renversement, en insistant sur les pratiques sociales de la couleur (étoffes et vêtements, vie quotidienne, symboles) et sur sa place dans la création littéraire et artistique, depuis les sociétés antiques et médiévales jusqu’à l’époque moderne. Il analyse également le triomphe du bleu à l’époque contemporaine, dresse un bilan de ses emplois et significations et s’interroge sur son avenir.”
Michel Pastoureau
Historien, spécialiste des couleurs, des images et des symboles, il est directeur d’études à l’École pratique des hautes études. Il a notamment publié, en “Points Histoire”, “L’Étoffe du Diable. Un histoire des rayures et des tissus rayés” ; “Le Petit Livre des couleurs” (avec Dominique Simonnet) et “Noir. Histoire d’une couleur”

Gueules noires

Duckomenta

Thunder Alley

Lewis & Clark

Tokaïdo

River Dragons

Star wars Empire vs Rebellion

Letters for Santa

Kingsport festival

Dead of winter

Euphoria

Flanders fields