Un petit jeu de réflexionS...

Hier, je n’ai pas joué.
La cause : pas de compagnons de jeu !



Avant hier, je n’ai pas joué.
La cause : trop de jeux !


D’un coté, pas assez. De l’autre, de trop ?

Mais où est le malaise ?!



Ca me fait penser de créer un “topic” sur le sujet : “trop de jeux tue le jeu”.

Le but : les tric-traciens sont de grands collectionneurs de jeux de société, comme d’autres de timbres ou de “pins” (prononcer : pinesseux). Cette activité, le jeu de société, n’est pourtant, à la base pas faite pour ça. Au contraire, son but est de, à mon sens, réunir autour d’une table : tous les sexes, âges, couleur de peau, sans discrimination aucune.

Alors, qu’est ce qui fait que nous sommes, pour la plupart ici, devenus des acheteurs compulsifs sitôt un “spiel des jahres” attribué, ou un salon d’Essen fini, hmmm ?



Ce que je voudrais arriver à faire, c’est un “topic” qui parte d’un constat sur notre ludothèque chérie, afin de déterminer quels sont les 3, 4 ou 5 jeux (à déterminer) qui sortent vraiment du lot. Qui ne soient pas des redites en clair, et surtout qui méritent d’être joués par tous.

Je lis bien souvent : voilà un jeu à l’ “allemande” ou bien, un jeu à l’ “américaine” (très peu à la française d’ailleurs ?!). Bref, des écoles d’approche ludique. Celle qui n’aime pas trop le hasard (l’allemande ?) et celle qui fait tout autour du dé ou bien des cartes (l’américaine ?).

Oui mais…

L’école on s’en fiche, on préfère aller faire l’idiot avec les copains !

Hein ?!

Je m’aperçois que l’approche n’est pas bonne : “quels sont vos 5 meilleurs jeux ?”.

Non non, ce n’est pas comme cela qu’il faut aborder le sujet !

Il faut plutôt se demander : “quels sont vos 5 jeux les moins pires ?” et surtout dire pourquoi !

Car, car, si on achète autant de jeux (j’avoue, j’en ai une bonne quarantaine, et je suis loin d’être le pire ici !), c’est que forcément, les anciens (les précédents) ont des défauts, sinon à quoi bon, hmmm ?

Tenez, rien que dans la tête des classements divers et variés. Allez, attaquons un peu nos inattaquables, égratignons-les, ça ne peut leur faire que du bien et ça ne fait pas de mal des fois, non ? si ! :

Puerto Rico : je n’aime pas sa fausse légèreté d’apparence, c’est un jeu pour les opportunistes, les premiers de la classe, juste pour les sérieux ! Et pourtant…

Caylus : je n’aime pas sa règle, une horreur. J’aime encore moins l’expliquer à des novices, c’est imbuvable ! Et pourtant…

Dominion : un jeu de cartes, de plis, qui se joue faussement en groupe, alors qu’il pourrait se jouer seul. Une “Réussite” évoluée en somme ! Et pourtant…

Euphrate & Tigris : Mais quelle froideur, un jeu presque essentiellement “positionnel” somme toute, ça ne rigole vraiment pas ! Et pourtant…

Agricola : cette préparation et son rangement après coup, une honte sans nom ! Il faut plus de temps pour l’administrer que pour y jouer, c’est un monde ça ! Et cette pléthore de cartes ?? mais quel intérêt à complexifier un jeu qui somme toute reste basique : la terre et sa culture ?



Sans compter les “extensions”, raaah les extensions !

définition : une “extension”, c’est un ajout (payant, ben voyons !) à un jeu de société, dit de “base”, pour lui apporter du contenu, voire des améliorations notables. Un peu comme l’autre “voleur” de parts de marché, je veux parler bien entendu du “jeu vidéo”.

Mes orteils oui !

Un jeu bien conçu doit se vendre en UNE SEULE FOIS ou bien cela revient à dire que son concept a été volontairement tronqué pour qu’il soit, dans sa règle, prévu de le réduire pour une amélioration future !

Euh…j’achète une machine à laver…sans électronique…et l’électronique sera livrée plus tard pour améliorer…le concept…ben oui, on ne mélange pas mécanique et électronique mon bon Môssieur !

Mes orteils que je disais, oui !

Je suis RADICALEMENT contre les extensions, et je me suis accordé qu’un seul travers à mon postulat : “Descent - Héros de Légende”. Mais je préviens, il n’y en aura pas d’autre !

De plus, les extensions sont vendues très souvent à des prix bien trop élevés ! Du coup, je préfère MILLE fois acheter un nouveau jeu, un nouveau CONCEPT, plutôt que de continuer l’aventure avec un modèle essentiellement…commercial.

Vous pouvez balancer les tomates si tel est votre désir. Moi j’ai déjà fait ma réFLEXION et, forcément, mon EXTENSION.

:shock:

Euuuhhh… C’est un appel aux trolls ?
Non parce que grosso modo tout ça a déjà été débattu sous une forme ou une autre, et ça dégénère toujours… :oops:

Bon allez, on va essayer de répondre avant que ça ne tourne à la foire. :mrgreen:

drahcir dit:Hier, je n’ai pas joué.
La cause : pas de compagnons de jeu !

Vive les jeux solos.
Oui je sais, c’est plus sympa à plusieurs. Mais c’est comme l’amour, si c’est mieux à deux (ou plus selon les moeurs de chacun), la masturbation ça fait aussi du bien parfois quand on manque de partenaire(s), et ça passe le temps de manière agréable… :oops:
drahcir dit:Avant hier, je n’ai pas joué.
La cause : trop de jeux !

:shock: :? :?:
Pas pigé :P
drahcir dit:D’un coté, pas assez. De l’autre, de trop ?
Mais où est le malaise ?!

Probablement du côté d’une espèce de lassitude passagère. Un mal de la quarantaine (de boîtes de jeux). Soit ça va passer, soit ça va s’aggraver et tu vas devenir un vieux grincheux (comme j’en suis parfois un).
drahcir dit:Alors, qu’est ce qui fait que nous sommes, pour la plupart ici, devenus des acheteurs compulsifs sitôt un “spiel des jahres” attribué, ou un salon d’Essen fini, hmmm ?

- L’envie de la nouveauté, du mieux qu’avant. Pourquoi acheter un nouveau téléphone portable si l’ancien marche encore ?
- L’envie du changement. Pourquoi acheter un nouveau livre alors que je peux très bien relire mes anciens titres ? Un nouveau DVD alors que je peux très bien revisionner les anciens ? Un jeu raconte une histoire, qui reste dans les mêmes grandes lignes à chaque fois même si les détails changent, et parfois on veut tout simplement changer d’air.
- L’envie d’avoir du choix. Quand les copains viennent, ça permet de pouvoir varier les goûts et les couleurs, qu’il y en ait pour tout le monde.
- Pour certains, l’envie de collectionner. Ca a quand même de la gueule, ces boîtes colorées bariolées alignées les unes à côté des autres…
drahcir dit:Ce que je voudrais arriver à faire, c’est un “topic” qui parte d’un constat sur notre ludothèque chérie, afin de déterminer quels sont les 3, 4 ou 5 jeux (à déterminer) qui sortent vraiment du lot. Qui ne soient pas des redites en clair, et surtout qui méritent d’être joués par tous.

Ca n’existe pas. Des jeux qui sortent du lot, il y en a bien plus de 3, 4 ou même 5, car ils ne s’adressent justement pas aux mêmes joueurs. Et donc aucun ne mérite d’être joué par tous. Tout dépend des joueurs. Et c’est là aussi l’intérêt, justement.
drahcir dit:Je lis bien souvent : voilà un jeu à l’ “allemande” ou bien, un jeu à l’ “américaine” (très peu à la française d’ailleurs ?!). Bref, des écoles d’approche ludique. Celle qui n’aime pas trop le hasard (l’allemande ?) et celle qui fait tout autour du dé ou bien des cartes (l’américaine ?).

Déjà si, on entend parler de “french touch” comme intermédiaire entre l’école américaine et l’école allemande depuis quelques années. Et cette distinction entre ces deux écoles n’est absolument pas basée sur le matériel, mais sur l’approche d’origine.
L’école allemande se tourne plutôt vers la mécanique du jeu. Bien huilée, qui équilibre les différents éléments, elle pense par exemple à introduire des concepts de rééquilibrage pour permettre à un joueur à la traîne de remonter. Le thème se retrouve souvent réduit à un élément de décor qui aurait pu être tout autre sans changer grand chose d’autre que les illustrations.
L’école américaine part du thème au service de l’histoire. La mécanique peut se retrouver émaillée de cas particuliers sensés représenter des éléments de ladite histoire qui ne doivent pas être omis. De plus elle ne recule pas devant les différences de force : si tu es dernier, ben tant pis pour toi (ce qui n’empêche pas de devoir quand même équilibrer les rôles, si tu es dernier, ça doit quand même être de ta faute et pas parce qu’une position de départ est moins avantageuse). Changer le thème d’un de ces jeux pour un autre est un exercice extrêmement périlleux.
drahcir dit:L’école on s’en fiche, on préfère aller faire l’idiot avec les copains !
Hein ?!

Vu le temps qu’on y passe, le plus sympa c’est de faire l’idiot à l’école avec ses copains :pouicboulet:
drahcir dit:Je m’aperçois que l’approche n’est pas bonne : “quels sont vos 5 meilleurs jeux ?”.
Non non, ce n’est pas comme cela qu’il faut aborder le sujet !
Il faut plutôt se demander : “quels sont vos 5 jeux les moins pires ?” et surtout dire pourquoi !

Euuhhh…
C’est pas faux :? :pouicboulet:
drahcir dit:Car, car, si on achète autant de jeux (j’avoue, j’en ai une bonne quarantaine, et je suis loin d’être le pire ici !), c’est que forcément, les anciens (les précédents) ont des défauts, sinon à quoi bon, hmmm ?

J’en ai “un peu” plus de 40 (y’a mon lien sur ma ludothèque en bas), et j’ai déjà donné des réponses au-dessus…
drahcir dit:Tenez, rien que dans la tête des classements divers et variés. Allez, attaquons un peu nos inattaquables, égratignons-les, ça ne peut leur faire que du bien et ça ne fait pas de mal des fois, non ? si ! :

Si tu veux.
drahcir dit:Puerto Rico : je n’aime pas sa fausse légèreté d’apparence, c’est un jeu pour les opportunistes, les premiers de la classe, juste pour les sérieux ! Et pourtant…

Pourtant il y a tellemment d’interaction que même les plus sérieux peuvent se faire surprendre. Mais il n’empêche qu’un joueur expérimenté tirera le plus souvent mieux son épingle du jeu. Puerto Rico est réputé pour être un titre où un joueur débutant n’a presque aucune chance de gagner face des joueurs expérimentés, mais donnera la victoire au joueur assis à sa gauche (car il l’aura moins gêné).
drahcir dit:Caylus : je n’aime pas sa règle, une horreur. J’aime encore moins l’expliquer à des novices, c’est imbuvable ! Et pourtant…

Caylus a pas mal de petites choses (le château, le prévôt, les faveurs…) qui en font un jeu en effet pas toujours facile à expliquer, mais qui s’assemblent avec suffisamment d’harmonie pour ensuite tourner de façon élégante et fluide. Il n’en reste pas moins que son absence totale de hasard le réserve à des joueurs aimant quand même la prise de tête.
drahcir dit:Dominion : un jeu de cartes, de plis, qui se joue faussement en groupe, alors qu’il pourrait se jouer seul. Une “Réussite” évoluée en somme ! Et pourtant…

Dominion est un jeu de cartes, mais où y as-tu vu un jeu de plis ?! D’autant que tu le réduis ensuite à une réussite ? (Je rappelle que le principe d’un jeu de plis, c’est “tout le monde joue une carte, et l’un des joueurs ramasse le pli, c’est à dire le lot de ces cartes jouées”).
Prenons une course, un 400m. Les coureurs courent seuls dans leur ligne. Ils n’ont pas le droit de se toucher. Et pourtant la compétition est bien là, en voyant les adversaires à leur niveau, ou devant eux.
A Dominion c’est au moins pareil. Quand je vois les autres commencer à acheter des Provinces, je me dis qu’il est temps d’arrêter d’essayer d’optimiser mon deck et de commencer à foncer vers la ligne d’arrivée qui s’approche. Et après quand on commence à jouer avec des cartes plus interactives, comme les cartes d’attaque, on commence à avoir le droit de donner des coups d’épaule aux voisins…
drahcir dit:Euphrate & Tigris : Mais quelle froideur, un jeu presque essentiellement “positionnel” somme toute, ça ne rigole vraiment pas ! Et pourtant…

Ah ben là je n’ai pas de pourtant. Je n’aime pas Euphrat & Tigris. Pour moi il reste froid, positionnel, et frustrant.
Ca n’empêche pas qu’il est un bijou pour nombre d’autres joueurs, donc on en revient au “il n’existe pas de jeu incontournable dans l’absolu”.
drahcir dit:Agricola : cette préparation et son rangement après coup, une honte sans nom ! Il faut plus de temps pour l’administrer que pour y jouer, c’est un monde ça ! Et cette pléthore de cartes ?? mais quel intérêt à complexifier un jeu qui somme toute reste basique : la terre et sa culture ?

Comme si la terre et sa culture était si basique que ça. Es-tu sûr que si on te parachutait sur une île déserte avec un lopin de terre fertile, un sachet de graines, et deux-trois animaux, tu parviendrais à y survivre de façon durable ? Mais passons…
La préparation d’un jeu et son rangement sont souvent mis en cause, mais d’abord avec un peu de méthode et si tout le monde s’y met ça se fait souvent assez bien, ensuite il faut mettre cette durée en corrélation avec la durée de la partie, et enfin… eh bien moi j’aime ça.
La préparation, c’est le générique d’ouverture. On commence à étaler le matériel, l’esprit commence à s’évader dans l’univers proposé, on anticipe les aventures qui nous attendent.
Le rangement, c’est le générique de fin. Le doux retour à la réalité avec la musique qui nous accompagne encore un peu, où l’on discute encore avec les partenaires de voyage de telle ou telle scène marquante que l’on vient de vivre ensemble. Après il y a toujours ceux qui quittent la salle avant la fin du générique…
drahcir dit:Sans compter les “extensions”, raaah les extensions !
définition : une “extension”, c’est un ajout (payant, ben voyons !) à un jeu de société, dit de “base”, pour lui apporter du contenu, voire des améliorations notables. Un peu comme l’autre “voleur” de parts de marché, je veux parler bien entendu du “jeu vidéo”.
Un jeu bien conçu doit se vendre en UNE SEULE FOIS ou bien cela revient à dire que son concept a été volontairement tronqué pour qu’il soit, dans sa règle, prévu de le réduire pour une amélioration future !

Alors là excuse-moi, mais c’est n’importe quoi.
Une extension est par définition faite pour “étendre” le produit de base. C’est tout. Ca ne signifie pas que le produit de base est incomplet, mais qu’il peut suffire en l’état à la plupart des acheteurs.
Pour un jeu vidéo, de nombreux joueurs se seront lassés du titre avant la fin du premier morceau, alors à quoi bon leur vendre obligatoirement l’intégrale ? Sans compter le temps d’attente… La saga des romans “Le trône de fer” en est à quoi ? 13 volumes ? C’est une honte, il aurait dû d’abord finir de tout écrire et publier une édition intégrale ?
Le seul reproche effectivement valable, c’est si le jeu de base n’est pas équilibré en tant que tel et ne peut pas être joué seul.
drahcir dit:Euh…j’achète une machine à laver…sans électronique…et l’électronique sera livrée plus tard pour améliorer…le concept…ben oui, on ne mélange pas mécanique et électronique mon bon Môssieur !
Mes orteils que je disais, oui !

- Bonjour, je voudrais un appareil photo ?
- Tenez, en voilà un avec 36 objectifs, 42 filtres, le trépied intégré, la malette de transport blindée, et le boîtier étanche pour les photos sous-marines. Ca fera 15700 euros (je vous arrondis les petites unités en-dessous).
- Euh… oui mais moi je veux juste faire des photos de famille en week-end…
- Ah ben désolé monsieur, on ne fait pas dans le pièce à pièce. Vous comprenez, on nous accuserait de profiter des gens pour exagérer les prix au détail.

Prenons l’exemple de Carcassonne. La plupart des joueurs sont très satisfaits de la boîte de base, et n’y jouent pas forcément assez souvent pour estimer en avoir fait le tour au point de devoir acheter l’une des innombrables extensions. Les extensions s’adressent aux fans qui veulent aller plus loin, et qui y jouent suffisamment souvent pour en tirer parti. En plus ça permet de personnaliser son jeu, en achetant celles des extensions qui nous font envie, et pas les autres.
drahcir dit:Je suis RADICALEMENT contre les extensions, et je me suis accordé qu’un seul travers à mon postulat : “Descent - Héros de Légende”. Mais je préviens, il n’y en aura pas d’autre !

C’est ton droit le plus strict, même si c’est une position un peu extrémiste. Cela reste toutefois conforme à un souhait de varier les titres pour varier les plaisirs. Encore une fois, les extensions s’adressent d’une part aux fans du jeu de base qui veulent aller encore plus loin avec un de leurs titres préférés, et d’autre part aux collectionneurs invétérés qui aiment bien “avoir toute la série”. Et c’est tout.
drahcir dit:De plus, les extensions sont vendues très souvent à des prix bien trop élevés ! Du coup, je préfère MILLE fois acheter un nouveau jeu, un nouveau CONCEPT, plutôt que de continuer l’aventure avec un modèle essentiellement…commercial.

Après en effet il faut voir la politique éditoriale en ce qui concerne les prix pratiqués, mais encore une fois il ne faut pas oublier qu’une extension se vendra forcément moins que le jeu de base (elle ne se vendra pas seule, et certains des acheteurs du jeu de base n’en ressentiront pas le besoin) et donc la loi du marché étant ce qu’elle est (amortissement des coûts avec la quantité), ce n’est pas toujours évident d’évaluer le prix “convenable”…
Mais en ce qui concerne le modèle commercial, on est quand même dans une société de consommation où le but de chacun est de s’apporter de quoi manger et vivre. S’il y a des clients pour ce genre de produit (et que c’est légal), pourquoi ne pas les satisfaire ?
Ca ne veut pas dire que ce n’est pas fait avec passion. Les auteurs et les éditeurs qui nous sortent ces “rallonges” sont souvent aussi intéressés par faire vivre une gamme qu’ils apprécient tout autant que les joueurs qui les attendent.
Non, le milieu du jeu de société n’est pas encore un milieu favorable à l’émergence en masse de businessmen uniquement intéressés par le profit à y réaliser, ça reste encore un milieu essentiellement de passionnés.
drahcir dit:Vous pouvez balancer les tomates si tel est votre désir. Moi j’ai déjà fait ma réFLEXION et, forcément, mon EXTENSION.

Non non, pas de tomates. Juste un petit peu d’eau dans ton vin :mrgreen: