tom vuarchex dit: mmmh, il va falloir m'expliquer la subtilité trop balèze que j'ai pas compris
Très simple.
La subtilité est celle-ci :
ce que je pense de tout cela tout le monde s'en fiche. Et heureusement.
ce que vous pensez de tout cela tout le monde s'en fiche.
Vous et tous les autres auteurs faites des jeux; ensuite ils se vendent, ou non.
Au final, comme toujours, ce sont les consommateurs qui décident et c'est très bien ainsi.
Copie, inspiration, "Buzz" et alors...
Au départ, j'ai rebondi sur ce sujet mais c'est bien vous qui l'avez lancé. Et c'est vrai que ma première réaction a été "C'est l'hôpital qui se moque de la charité".
M. fait Sporz et il ne cite pas Mafia et alors...
UNO cite-t-il le 8 américain, vraiment, sincèrement, je m'en fiche...
Lorsque la guerre des moutons est sorti, il y avait un avertissement précisant que le jeu avait été inventé avant Carcasonne. J'avoue que cela m'avait fait sourire. Vrai, faux, si le jeu plaît...
Vivre et laisser vivre.
Après cela peut devenir uniquement un combat, sur certains critères, entre avocats des sociétés concernées, à juste titre, suivez mon regard.
Création d'un côté, "business" de l'autre.
Mais personnellement en tant que joueur et consommateur ce n'est pas mon problème. Je me dit juste "Tiens cela me rappelle tel ou tel jeu, tel ou tel principe."
Cela est valable dans plein de domaine. Lorsque ma fille me fait écouter le dernier tube qui passe en boucle à la radio là aussi, je pense "Oui, James Brown a fait çà il a 30 ans". Cela n'empêche pas le tube en question de se vendre et, plus d'une fois, les avocats se sont arrangés à coup de billet vert et tout le monde est content.
Pour finir, je trouve que le plus fort c'est quand même M. Knizia.
Il crée des jeux, puis il fait du Knizia-Like à foison !