C’est pas faux !
J’ai également une dédicace de Jacques Martin mais dans un album d’Alix.
Pour moi 'est Tintin au Tibet, mais celui qui m’a le plus marqué quand j’étais môme c’est Les 7 boules de cristal avec la momie de Rascar Capac. J’en ai fait des cauchemars à cause d’elle 
Depuis j’ai eu plein d’occasions de me venger 
Jer dit:adel10 dit:Eric dit:Mathias dit:
Bref, il faut replacer tout ça dans le contexte de l'époque... quand le lis Lovecraft, je vois aussi des descriptions racistes.
Oui, enfin, Lovecraft, même pour son époque, il était vraiment raciste et xénophobe... Alors c'est peut-être pas le meilleur exemple...
jack london aussi la question est et alors ?
Jack London raciste et xénophobe ?
C'est un peu n'importe quoi.
London est imprégné de la culture colonialiste de la fin du XIXe, comme l'était Kipling, ou Conrad. Il était témoin des différences culturelles entre les Européens et les peuples qu'il a rencontré lors de ses voyages, mais jamais il ne juge les autres comme inférieurs ou ne montre du dégoût ou de la répulsion.
Au contraire. Il est très souvent admiratif du mode de vie des gens qu'il croise.
Ses récits parlant des Indiens d'Alaska, des Hawaïens, des Grecs ou des Chinois sont des histoires humaines, cruelles et lucides.
Il a juste dans "Les Mutinés de l'Elseneur" qu'il décrit l'équipage comme un ramassis d'étrangers, métèques ou juifs aussi laids que méchants. Mais c'est un roman particulier, où le narrateur est un représentant de la bourgeoisie blanche. Il s'agit plus d'une mise en scène de la lutte des classes sur un navire perçue du point de vue des classes possédantes. De plus, c'est un roman tardif, écrit alors que London était malade.
Quand tu lis les superbes histoires se passant dans le Grand Nord ou dans les mers du Sud, les blancs et les autochtones sont mis sur un pied d'égalité.
Tous insignifiants face à la nature.
ce n'est pas n'importe quoi mais il était comme les gens de son époque , et je ne lui reproche rien , mais c'est vrai que décrire les noir comme des singes sans cervelle ce n'est pas du racisme ,
adel10 dit:ce n'est pas n'importe quoi mais il était comme les gens de son époque , et je ne lui reproche rien , mais c'est vrai que décrire les noir comme des singes sans cervelle ce n'est pas du racisme ,
Dans quel ouvrage ?
greuh, qui n'a lu que Croc Blanc, L'Appel de la Forêt et Le Talon de fer...
adel10 dit:Jer dit:adel10 dit:Eric dit:Mathias dit:
Bref, il faut replacer tout ça dans le contexte de l'époque... quand le lis Lovecraft, je vois aussi des descriptions racistes.
Oui, enfin, Lovecraft, même pour son époque, il était vraiment raciste et xénophobe... Alors c'est peut-être pas le meilleur exemple...
jack london aussi la question est et alors ?
Jack London raciste et xénophobe ?
C'est un peu n'importe quoi.
London est imprégné de la culture colonialiste de la fin du XIXe, comme l'était Kipling, ou Conrad. Il était témoin des différences culturelles entre les Européens et les peuples qu'il a rencontré lors de ses voyages, mais jamais il ne juge les autres comme inférieurs ou ne montre du dégoût ou de la répulsion.
Au contraire. Il est très souvent admiratif du mode de vie des gens qu'il croise.
Ses récits parlant des Indiens d'Alaska, des Hawaïens, des Grecs ou des Chinois sont des histoires humaines, cruelles et lucides.
Il a juste dans "Les Mutinés de l'Elseneur" qu'il décrit l'équipage comme un ramassis d'étrangers, métèques ou juifs aussi laids que méchants. Mais c'est un roman particulier, où le narrateur est un représentant de la bourgeoisie blanche. Il s'agit plus d'une mise en scène de la lutte des classes sur un navire perçue du point de vue des classes possédantes. De plus, c'est un roman tardif, écrit alors que London était malade.
Quand tu lis les superbes histoires se passant dans le Grand Nord ou dans les mers du Sud, les blancs et les autochtones sont mis sur un pied d'égalité.
Tous insignifiants face à la nature.
ce n'est pas n'importe quoi mais il était comme les gens de son époque , et je ne lui reproche rien , mais c'est vrai que décrire les noir comme des singes sans cervelle ce n'est pas du racisme ,
Ah, ça, je veux bien que tu me donnes la référence.
Parce que du London, j'en ai lu beaucoup et je n'ai jamais lu ce genre de remarques.
Il parle parfois des atavismes de race propres aux Chinois ou aux peuples des mers du sud ou d'Alaska, ou décrit des personnages en liant leur physique, leur comportement et leur classe sociale, c'est tout, et ça n'a rien de choquant pour un écrivain du XIXe, début XXe.
Jer dit:adel10 dit:Jer dit:adel10 dit:Eric dit:Mathias dit:
Bref, il faut replacer tout ça dans le contexte de l'époque... quand le lis Lovecraft, je vois aussi des descriptions racistes.
Oui, enfin, Lovecraft, même pour son époque, il était vraiment raciste et xénophobe... Alors c'est peut-être pas le meilleur exemple...
jack london aussi la question est et alors ?
Jack London raciste et xénophobe ?
C'est un peu n'importe quoi.
London est imprégné de la culture colonialiste de la fin du XIXe, comme l'était Kipling, ou Conrad. Il était témoin des différences culturelles entre les Européens et les peuples qu'il a rencontré lors de ses voyages, mais jamais il ne juge les autres comme inférieurs ou ne montre du dégoût ou de la répulsion.
Au contraire. Il est très souvent admiratif du mode de vie des gens qu'il croise.
Ses récits parlant des Indiens d'Alaska, des Hawaïens, des Grecs ou des Chinois sont des histoires humaines, cruelles et lucides.
Il a juste dans "Les Mutinés de l'Elseneur" qu'il décrit l'équipage comme un ramassis d'étrangers, métèques ou juifs aussi laids que méchants. Mais c'est un roman particulier, où le narrateur est un représentant de la bourgeoisie blanche. Il s'agit plus d'une mise en scène de la lutte des classes sur un navire perçue du point de vue des classes possédantes. De plus, c'est un roman tardif, écrit alors que London était malade.
Quand tu lis les superbes histoires se passant dans le Grand Nord ou dans les mers du Sud, les blancs et les autochtones sont mis sur un pied d'égalité.
Tous insignifiants face à la nature.
ce n'est pas n'importe quoi mais il était comme les gens de son époque , et je ne lui reproche rien , mais c'est vrai que décrire les noir comme des singes sans cervelle ce n'est pas du racisme ,
Ah, ça, je veux bien que tu me donnes la référence.
Parce que du London, j'en ai lu beaucoup et je n'ai jamais lu ce genre de remarques.
Il parle parfois des atavismes de race propres aux Chinois ou aux peuples des mers du sud ou d'Alaska, ou décrit des personnages en liant leur physique, leur comportement et leur classe sociale, c'est tout, et ça n'a rien de choquant pour un écrivain du XIXe, début XXe.
ii s'avere que j'ai ce livre mais dans un grenier bon le temp que je le retrouve je vous donne
ce lien
http://www.slate.fr/story/26433/jack-lo ... re-raciste
pour le reste en tapant jack london raciste dans google quelqu'un va trouver
pour moi il s'agit d'un livre pseudo sf ou le hero change de corps mais je n'arrive pas a me rappeler du titre de ce titre ce qui est sur c'est que quand je l'ai lu j'ai été choqué ( j'étais jeune à l'époque soit)
Merci pour l’article.
Le livre c’est “Le Vagabond des étoiles”.
Je vais tâcher de retrouver ce passage.
Je suis espagnol, donc, malhereusement je ne maitrisse pas la langue de Moliere et de Hergé!
Mes albums preferés font reference auux anne´s 40 et 50, dont je croie que l`inspiration el qualité des recits atteint le plus haute niveau. Tous , sauf le premiers albums ( pechés de jeunesse ) sont magnifiques mais les tros j aime plus sont :
1.- Sept Boules
2.- Licorne
3.- Affaire Tournesol
Et trois que je ne compte comme les deilleures mais sont géneralement très bien considerés sot:
1.- Lotus
2.- Tibet
3.- Bijoux
J ´espere bien suivvre en contact avec cs forums
Merci. Leo