Wargames d'aujourd'hui, wargames d'hier : quelques questions...

@lucky30

en te lisant, j’ai eu envie de jouer à steel division.
le premier pour l’instant.
j’en suis au tout début du début, mais, en terme de gameplay, je trouve cela assez génial. Peut être un peu « frénétique de la souris », personne ne donne autant  d’ordres aussi détaillés a autant d’unités. Elles me semblent un poil suicidaires, mais c’est bien fait.
Le fait qu’elles ne soient pas capable de retraiter de leur propre chef oblige à être hyper vigilant.

L’ia me semble mieux foutue que celle de close combat, du moins en attaque.

Salut jmguiche

Oui comme je le dis plus haut Steel division est à la fois génial en apportant tout les ingrédients du meilleur wargame tactique wwII que l’on puisse imaginer et pathétique en réduisant le gameplay à une profusion de clic pour envoyer des troupes se suicider. 

La solution en solo est de mettre en pose souvent pour compenser la rapidité de décision de l’IA

Le second problème c’est la capacité des deux camps à disposer des unités rapidement et dans n’importe quel secteur La chaine de commandement n’existe pas.

Le troisième problème c’est les objectifs. Le jeu se voulant avant tout multi. Les concepteurs ont choisi de disséminé des objectifs sur toute la carte  à equidistance. Résultat, il faut être partout sans raison stratégique

Ils ont tenté aussi le mode opérationnel avec une carte historique mais à moins que cela est fortement évolué depuis un ans lors de mon essai, ce mode était simplement raté de chez raté.


Par rapport à close combat (les anciens) même si l’aspect et l’IA étaient bien moins élaboré je trouve que CC était plus historique; le joueur était obliger d’économiser ses unités. On pouvait passer une mission complète à garder ses hommes planqués quand il ne se planquaient pas eux même de panique … je me rappelle du module market garden avec la prise des ponts intermédiaires… Il fallait compter les hommes et éviter les actions suicidaires tout en prenant des risques.

Dans SD2 s’est tout l’inverse tu envoies les unités prendre les objectifs comme de vulgaire quille ou carte dans un Magic. Mais c’est très addictif comme le souhaité les concepteurs en fait.

Curieusement les premiers jeu qu’il avait fait sur le même moteur (old) avec des conflits hypothétique moderne était bien plus intéressant et réaliste car il fallait prendre des décisions au niveau opérationnel pour occuper ou pas des régions et les tenirs ou pas pour gagner le  conflit. (genre conflit en corée avec intervention chinoise puis Otan…)

Dommage pour SD2 mais je le réinstallerai pour voir l’évolution. On ne sait jamais si les concepteurs avait un éclair de lucidité historique WWII