Pour répondre à la question précédente: Le texte de la carte Immortels est changé en: jouable immédiatement après une bataille terrestre où l'armée perse est anéantie. Reprenez jusqu'à 3 armées perses éliminées au cours de la bataille précédente pour démarrer une nouvelle bataille.
Et la précision: Tous les évènements de la bataille précédente sont annulés. Le joueur Grec peut jouer de nouveaux évènements de bataille.
sur bgg, l'auteur aurait répondu à quelqu'un que ce n'est pas une nouvelle bataille qui démarre...
Mmmm… Ben du coup je veux bien quelques précisions sur le pourquoi de ces changements. Et s’ils sont confirmés… La question se repose pour la carte 300 alors. Parce que dans ce cas là ma remarque sur la première traduction angl est juste et tellement plus simple. Les Immortels font CONTINUER la même bataille. 300 est jouée jusqu’à la fin d’une bataille (et non l’anéantissement d’une armée). Bref, c’est comme cela que perso j’ai joué depuis le début et ça me paraissait bien plus logique.
Je remettrai sur BGG ce que je vais écrire ici. Certains ont l’air de penser que la version Nuts aurait dû/pu être une “simple” traduction de la version japonaise de 300 par Bonsai Games. Et bien non, nous l’avons redéveloppé légèrement. Le jeu était très très bien à l’origine mais nous avions l’impression que quelques petites choses pouvaient être améliorer pour parfaire l’équilibre du jeu.
Donc, oui, nous avons changé des choses en accord avec l’auteur, notamment la suppression de la cité majeure Naxos pour une cité normale. Nous avons précisé des cartes à jouer mais pas assez de toute évidence.
Donc, je le redis ici. L’évènement Les Immortels clôt la première bataille et en redémarre une autre. Cela pour l’équilibre du jeu. J’ai fait 120 parties pendant les tests avec des adversaires différents et 30-40 parties depuis (oui, les confinements n’aident pas pour tester). Tous ceux qui ont pu tester ce jeu plusieurs fois trouvent le jeu équilibré. par contre, la courbe d’apprentissage est plus élevée qu’il n’y paraît, surtout pour le Perse. Je crois qu’un guide stratégique va paraître dans un futur numéro de Plato. Rien de sûr pour l’instant.
Dans un futur très proche, nous allons mettre sur notre site quelques précisions et FAQ sur la fiche du jeu.
Une foule d’éléments rend le jeu extrêmement plaisant.
Le matériel est vraiment superbe, fonctionnel et parfaitement adapté, sans superflu ni fausses notes. Les règles sont claires et détaillées et l’on se demande pourquoi elles sont si longues (sans l’être) pour un jeu de ce format mais l’on comprend aussi que le luxe de précisions ne s’avère pas inutile tant le moindre mot peut sembler parfois prêter à interprétations sur ce genre de jeu. En tout cas, aucune hésitation pour ma part et pour le moment au regard des parties jouées.
La miniaturisation du design pour rendre accessible et jouable les guerres médiques en une trentaine de minutes est bluffante. L’équilibre et l’implémentation minimales des notions essentielles et inhérentes au conflit, entre gestion des ressources, via le ravitaillement et les lignes de communication, asymétrie des forces (ressources humaines fantastiques contre meilleur valeur tactique au combat) et évènements historiques (introduits par les évènements des cartes) suffisent à rendre sensible l’incarnation des deux camps. On sent bien l’effarement et la désolation des autres cités grecques lorsque les spartiates décident de rester à Lacédémone au prétexte que la bamboche est plus importante que de partir guerroyer, par exemple.
Bilan de ces cinq parties : 5 victoires très nettes (2 mort subites, 3 victoires à 4 et 6, 6 points), 1 défaite légère (1 point). 3 victoires avec le camp perse, 3 victoires avec le camp grec. Sur ces 6 parties, 5 fois sur 6, celui qui a marqué les points en sa faveur au cours de la première expédition a finalement emporté la partie. Il faut dire que mon adversaire boxait dans la catégorie agogé niveau 1, donc l’opposition n’était pas aussi âpre qu’elle pourrait l’être avec un adversaire plus âgé ou plus expérimenté. Mais j’ai trouvé que les forces n’étaient pas si outrageusement en faveur des grecs comme mes lectures ici ou là le laisseraient penser. S’il semble y avoir, sinon des voies royales (sic), du moins des axes privilégiés vers la victoire de l’un ou de l’autre, cependant, du haut de mon expérience limitée à six parties, j’ai pu constater que chaque partie était bien différente et demandait une adaptation constante aux choix de l’adversaire et à l’évolution de sa propre main.
En tout cas, un plaisir réel avec des choix cornéliens à tous les niveaux : durant les préparatifs (combien de cartes je pioche ? avec cette tension entre capacité d’agir et nécessaire renforcement ; incertitude statistique avec la carte “Mort du Grand Roi”; le placement des flottes/troupes est aussi essentiel et doit se faire au regard des cartes en mains); durant la phase opérationnelle (j’ai peu de cartes, je vais passer et attendre de voir ce qu’il va faire, mais s’il passe aussi, cela ne m’arrange pas ! ; est-ce que je joue le mouvement, est-ce que je joue l’évènement ?).
Franchement, merci à Nuts ! pour ce jeu et j’espère que la gamme nous offrira d’autre pépites du même acabit.
Bon Léonidas…en gros : je lance deux dés et je choisis le résultat.
Au hasard 6… Mais quel est l’intérêt alors de lancer deux dés ? ( Si je choisis un résultat, je choisis un 6 et c’ est une victoire auto …Pourquoi lancer des dés ? Et deux en plus ?)
Si il reste des perses après ce “lancé”, je continue de lancer ces deux dés ?..
Effectivement, il y a bien une erreur dans l'exemple. Il faut comprendre "les deux armées de Delphi" et non "les deux armées de Thebai".
Je transmets cette erreur au reste de l'équipe et nous l'ajouterons rapidement au document qui précise les erreurs présentes dans le jeu.
Pour les corrections, nous les mettons dans un document qui est accessible sur notre site internet (dans la partie Ressources de la fiche du jeu). Il me semble que nous n'avons pas prévu de réimprimer les éléments qui possèdent des erreurs (nous avons reçu trois signalements pour le moment) mais je transmettrai la demande au reste de l'équipe. Je posterai la réponse officielle en début de semaine sur le forum.
toujours pas à jour sur les fichiers de votre site il me semble ?
avez-vous prévu une réimpression avec l'ensemble des corrections ?
Mister Krikounet dit :Bon Léonidas...en gros : je lance deux dés et je choisis le résultat.
Au hasard 6.... Mais quel est l'intérêt alors de lancer deux dés ? ( Si je choisis un résultat, je choisis un 6 et c' est une victoire auto ...Pourquoi lancer des dés ? Et deux en plus ?)
Si il reste des perses après ce "lancé", je continue de lancer ces deux dés ?...
Je suis perdu. Help pliz
Merki
ben tu lances 2 dés et tu choisis le plus grand chiffre non ?
On lance le même nombre de dés que l’on posséde d’armées (mais c’est limité à trois dés), on prend le plus grand chiffre car avec plus de dés plus de probabilité de faire un chiffre supérieur à son adversaire (donc avantage) on suprrime un dés à chaque fois que le chiffre de nos armées est en dessous de trois (puisque c’est le nombre maxi de dés possible) et si on perd une armée on enléve un dé à chaque perte et donc s’il reste une seule armée on ne lance qu’un dé…jusqu’à que l’un des adversaires soit totalement vaincu…en n’oubliant pas que les perses (sauf en Asie ou événement de carte) doivent noter un quatre comme étant leur résultat le plus fort (même si c’est un six ou un cinq) et que la retraite est toujours possible pour ne pas se faire anéantir si on sent que ça ne va plus…
On lance le même nombre de dés que l’on posséde d’armées (mais c’est limité à trois dés), on prend le plus grand chiffre car avec plus de dés plus de probabilité de faire un chiffre supérieur à son adversaire (donc avantage) on suprrime un dés à chaque fois que le chiffre de nos armées est en dessous de trois (puisque c’est le nombre maxi de dés possible) et si on perd une armée on enléve un dé à chaque perte et donc s’il reste une seule armée on ne lance qu’un dé…jusqu’à que l’un des adversaires soit totalement vaincu…en n’oubliant pas que les perses (sauf en Asie ou événement de carte) doivent noter un quatre comme étant leur résultat le plus fort (même si c’est un six ou un cinq) et que la retraite est toujours possible pour ne pas se faire anéantir si on sent que ça ne va plus…
Immyr dit :On lance le même nombre de dés que l'on posséde d'armées (mais c'est limité à trois dés), on prend le plus grand chiffre car avec plus de dés plus de probabilité de faire un chiffre supérieur à son adversaire (donc avantage) on suprrime un dés à chaque fois que le chiffre de nos armées est en dessous de trois (puisque c'est le nombre maxi de dés possible) et si on perd une armée on enléve un dé à chaque perte et donc s'il reste une seule armée on ne lance qu'un dé...jusqu'à que l'un des adversaires soit totalement vaincu....en n'oubliant pas que les perses (sauf en Asie ou événement de carte) doivent noter un quatre comme étant leur résultat le plus fort (même si c'est un six ou un cinq) et que la retraite est toujours possible pour ne pas se faire anéantir si on sent que ça ne va plus...
ben justement Leonidas te permet d'avoir 1 armée et lancer 2 dés, c'est de ça dont on parlait en fait.
