merci ptitlou 
Tiens, je vois 2 posts + haut un vieux post de Ptilou et je dois saluer son respect de l’adversaire puisque je me souviens bien qu’un jour il y a longtemps je faisais une partie de GDA chez lui eton a pris 2 bonnes heures de retard sur l’horaire annoncé à sa compagne : il avait quand même tenu à terminer 
Malheureusement, tout le monde n’est pas comme lui !
Le pire du pire que j’ai vu de toute ma vie de joueur c’est un certain Berger qui prétendait travailler dans l’édition de jeu (!) et qui a carrément pris 1h30 pour jouer 2 tours d’un simple jeu de cartes avant de partir en disant qu’il ne pouvait plus rester lors de ce qui devait être le dernier des 15 tours de jeu.
Le truc qui rendait ce cas particulier par rapport à d’autres muffles, c’est que pendant ce temps où il aurait eu le temps de jouer une partie entière sans problème, il a répété une bonne quinzaine de fois, et je n’exagère pas, qu’il était pressé ! Il est resté, à un moment, une demi-heure entière avec ses 5 cartes à jouer dans la main à les regarder et à commenter interminablement ses stratégies possibles pendant que nous lui demandions tous de se dépêcher. Mais rien n’y faisait… 
Perso, je n’ai jamais fait un truc pareil à qui que ce soit et je trouve que si on est pressé, c’est vraiment hallucinant d’agir ainsi. Je me demande bien ce qui lui est passé par la tête, personne n’a rien compris à son attitude.
Oui moi j’abandonne assez souvent pour une question de temps surtout:
Comme je joue beaucoup à des jeux dans lesquels la chance (ou la proba pour certains) est faible ou contrôlée, on sait quand même bien qui peut gagner ou perdre à partir d’un certain moment.
Donc j’arrête à ce moment simplement car je sais que si j’arrête on pourra recommencer une partie peut être plus équilibrée.
Il est coutumier d’abandonner dans tous les grands classiques des jeux de stratégie à 2 joueurs. Je pratique les échecs en compétition depuis presque 15 ans et 95% des parties se terminent soit par la nulle soit par l’abandon: le mat est très rare dès que les joueurs ont quelques années d’expérience.
Je joue souvent à 2, pas par choix, aux jeux de plateau modernes et le seul où l’on a convenu avec mes différents partenaires que l’abandon est envisageable, c’est Cyclades où l’écart à un moment donné à une furieuse propension à croître.
Moi j’ai abandonné une partie de the résistance une fois, on venait de faire le premier tour et un pote me demande “au fait on gagne comment déjà ?” “ben c’est simple : si les resistants gagnent 3 missions, ils gagnent et si les espions font échouer 3 missions on gagne… euh je veux dire…” “Que tu es un espion” “Non… Enfin oui… Bon, on recommence à zéro ?”
(ps : depuis à chaque fois qu’on y rejoue mes potes me redemandent les conditions de victoire au premier tour les moqueurs !)
J’ai abandonné une seule fois une partie. C’était sur un TTA qui a duré bien 5 à 6 heures à la louche. Ce devait être ma 4ème partie de ce jeu. Jusque-là j’avais toujours fais du militaire, et là j’ai voulu tenter une voie pacifique. Bien mal m’en a pris 
Je me suis envolée en PV, vu que je ne perdais pas de temps ni de ressource à faire du militaire. Résultat sur les 3 derniers tours que j’ai joués, je me suis prise guerres et agression à la chaîne, et j’ai absolument tout perdu…
Et là j’ai découvert pourquoi, dans la règle de TTA, il existe une section “abandonner avec honneur” (ce n’est pas tout à fait ce nom de mémoire, mais un truc dans le genre), que j’ai dûment appliquée et comprise
Andromeda No Shun dit:Moi j'ai abandonné une partie de the résistance une fois, on venait de faire le premier tour et un pote me demande "au fait on gagne comment déjà ?" "ben c'est simple : si les resistants gagnent 3 missions, ils gagnent et si les espions font échouer 3 missions on gagne... euh je veux dire..." "Que tu es un espion" "Non... Enfin oui.... Bon, on recommence à zéro ?"
(ps : depuis à chaque fois qu'on y rejoue mes potes me redemandent les conditions de victoire au premier tour les moqueurs !)
Cas similaire à une partie de Saboteurs, une joueuse regarde la carte de rôle qu'elle vient de recevoir et demande "Et si il n'y a rien d'écrit sur ma carte, comment je sais si je suis ou non un saboteur ?".
Emlyn dit:Andromeda No Shun dit:Moi j'ai abandonné une partie de the résistance une fois, on venait de faire le premier tour et un pote me demande "au fait on gagne comment déjà ?" "ben c'est simple : si les resistants gagnent 3 missions, ils gagnent et si les espions font échouer 3 missions on gagne... euh je veux dire..." "Que tu es un espion" "Non... Enfin oui.... Bon, on recommence à zéro ?"
(ps : depuis à chaque fois qu'on y rejoue mes potes me redemandent les conditions de victoire au premier tour les moqueurs !)
Cas similaire à une partie de Saboteurs, une joueuse regarde la carte de rôle qu'elle vient de recevoir et demande "Et si il n'y a rien d'écrit sur ma carte, comment je sais si je suis ou non un saboteur ?".
Idem ici, un mec qui avait un nain tout bête, mais qui pensait être un saboteur parce que sur l'image, il avait l'air méchant...
Il en entend encore parler :p
Pour moi, l’abandon n’existe pas, mais le forfait oui !
Bref, quand un joueur abandonne, implicitement il concède la victoire, ce qui est pour moi tout à fait acceptable.
On joue pour se faire plaisir, et si ce n’est pas un plaisir autant arrêter tout de suite.
Le soucis est quand le joueur quittant la table “flingue” la partie de tout le monde, je comprend que ça fasse grincer des dents, là encore, j’accepte très bien, je ne veux imposer à personne de se faire ch… pendant que moi je m’amuse.
Sinclair dit:On joue pour se faire plaisir, et si ce n'est pas un plaisir autant arrêter tout de suite
Oui mais on doit penser au plaisir des autres joueurs et pas qu'au sien. Sinon on est un beau XXXXXX. Le pire du pire c'est le type qui s'en moque de pourrir la soirée des autres en abandonnant juste parce qu'il a peur de perdre ou parce qu'il n'a rien compris au système de jeu et qu'il se croit désavantagé.
Il y a aussi des gars biens qui abandonnent parce qu'ils voient tout en noir ou qu'ils se sous-estiment. Mais eux sont prêts à finir si on leur demande, juste pour pas gâcher le plaisir de tout le monde.
L'histoire la plus marrante que j'ai - et je promets qu'elle est vrai - c'est à une partie de Little Big Horn. Au bout d'un bon moment de jeu, mes indiens entourent Custer de partout et mon pote me sort que "c'est foutu, ya plus aucune chance que je gagne, je ne peux qu'abandonner". Je lui dis que non, il analyse mal la situation. Il me dit que si, que c'est juste IMPOSSIBLE pour lui de gagner quelle que soit sa stratégie. Je lui dis alors : "on échange nos camps !"
Il me dit banco et la partie continue...
Custer a massacré les indiens jusqu'au dernier !
CmoiSig dit:m'enfin !? si une personne, pour une raison x ou y, ne prend plus plaisir à jouer, elle se doit de faire passer votre propre plaisir avant ?? je crois que là, il n'est plus question de jeu mais d'égoïsme ou non...
Pour moi, quelqu'un qui, au ciné, n'aime pas le film et le pourri jusqu'à la fin en parlant, en gesticulant, en allant sans arrêt au toilette n'est pas, pour moi, quelqu'un de socialement poli. Pareil pour le jeu : quand cela concerne un groupe, on ne prend pas de décision individuelle. Si tout le groupe abandonne ou accepte le départ, ok, mais une décision unilatérale...
Topic intéressant, je rebondis !
Vous arrive-t-il de quitter une partie quand vous voyez que c’est foutu et que continuer ne fera que générer du king-making ?
Perso, quand je suis en position de Kingmaking:
1. J’essaie d’être le plus neutre possible
2. Quand le jeu m’oblige à choisir, je favoriserai celui qui ne sera pas à l’origine de ma deroute
J’ai eu le cas sur une partie d’Eclipse à 7.
Un joueur décide que dès le tour 2, il ne peut plus rien faire.
Du coup, il boude, fait le minimum d’actions pour entretenir son “empire”.
Ses deux voisins (dont moi) le ménagent donc pour pas qu’il soit dégouté, qu’il puisse se refaire et tout quoi.
Lui il prend un bouquin et se désintéresse du jeu, accompli le minimum avec un maximum de râlage. Soit.
On l’ignore donc et on laisse un trou virtuel autour de son secteur.
Des alliances se forment, des conflits galactiques démarrent.
Alors que nous sommes en plein combat décisif sur un front particulièrement hostile au tour 7, monsieur se réveille, songe qu’il peut enfin faire quelque chose et se met à ravager nos lignes arrières, tranquille. 
Je pense qu’il ne rejouera jamais plus à ce jeu ^^
Perso je n’ai pas abondonné par politesse 2 parties affreuses :
La 1ère de Harkham Horror… en VO!!! 
Non mais quelle connerie j’ai eu de joué à un jeu d’ambiance aussi fort en VO alors que mon anglais n’a d’égale que mes talents de danse classique! Ce fût justement une véritable “horror” cette partie car je ne comprenais rien et qu’en plus les tours étaient ultra longs car après avoir lu les textes en anglais, il fallait les traduire pour les anglophobes… Au secour!!! MAIS j’ai refait une partie en VF et là, on découvre un jeu bien meilleur et beaucoup plus fluide!
La 2ème c’est Zombiiies : Bon, là, c’est différent, j’ai trouvé ce jeu pourri! Long, répétitif à mourrir et surtout, à 6 joueurs, après avoir attendu un tour interminable que se passe-t-il, un autre joueur te sort une carte :“Tes lacets sont défait, tu ne joues pas ce tour”… 
Non, là, vraiment, je n’ai pas compris comment ce truc pouvait avoir autant d’extensions et surtout que l’on s’inflige cette “chose” aussi longue, répétitive, hasardeuse et chiante… Attention, je vais être très dur avec Zombiiies: “Je préfère encore le Monopoly!”
Sinclair dit:Pour moi, l'abandon n'existe pas, mais le forfait oui !
Bref, quand un joueur abandonne, implicitement il concède la victoire, ce qui est pour moi tout à fait acceptable.
On joue pour se faire plaisir, et si ce n'est pas un plaisir autant arrêter tout de suite.
Le soucis est quand le joueur quittant la table "flingue" la partie de tout le monde, je comprend que ça fasse grincer des dents, là encore, j'accepte très bien, je ne veux imposer à personne de se faire ch... pendant que moi je m'amuse.
Moi je suis complètement d'accord avec toi : le forfait oui, en général d'un commun accord, je l'ai déjà pratiqué mais abandonner de manière discourtoise par ce que tu t'ennuies, par ce que tu as déjà perdu etc... Je trouve que c'est impoli et je ne rejoue plus avec la personne concernée (j'ai déjà jouer avec des loustics du genre et c'est très pénible...)
BDPHILOU dit:
La 2ème c'est Zombiiies : Bon, là, c'est différent, j'ai trouvé ce jeu pourri! Long, répétitif à mourrir et surtout, à 6 joueurs, après avoir attendu un tour interminable que se passe-t-il, un autre joueur te sort une carte :"Tes lacets sont défait, tu ne joues pas ce tour"...
On est deux !
Sinclair dit:je ne veux imposer à personne de se faire ch... pendant que moi je m'amuse.
Pour moi, se lancer dans une partie avec des gens, c'est a priori accepter une forme de contrat, avec plusieurs engagements communs à respecter : arriver tous au terme de la partie (sauf jeu à élimination), se comporter de façon fair play et courtoise, éviter de râler parce qu'on se démerde mal ou pire, que quelqu'un d'autre "joue mal" (c'est très impoli et pourtant si courant), prendre les décisions à l'unanimité si un problème se présente (laisser (ou pas) rejouer un coup, rectifier après coup (ou pas) une erreur de règles, etc.), ainsi de suite. Si l'ensemble de la table accepte d'arrêter la partie parce qu'un ou plusieurs joueurs s'emmerde(nt), pas de problème. Mais dans le cas contraire, le ou les joueurs qui s'emmerde(nt) devraient avoir la correction de poursuivre (et ne pas gâcher le jeu pour les autres). Et tant pis si le jeu est long, il ne fallait pas accepter d'y jouer au départ. Pour moi, c'est du savoir vivre de base. Accepter de faire un effort pour qu'on soit prêt en retour à en faire un pour moi.
J’ai souvenir de quelques parties non achevées, toujours des premières parties d’ailleurs, notamment La Guerre de l’anneau, Through the ages, Twilight Struggle et Antiquity.
A chaque fois c’était un problème de temps (ou, dans le cas de Antiquity, parce qu’on avait tous merdé et qu’on s’acheminait à vitesse grand V vers un étouffement collectif à la pollution)
Il y a eu aussi des parties où l’on aurait dû arrêter les frais plus tôt (genre la première de BSG ou la première de PR, achevées à bout de forces à une heure totalement déraisonnable) mais on a un peu fait les geeks
Une fois…
Sur un jeu à deux, le joueur en face ne pouvait plus rien faire, et par plus rien faire, je veux pas dire qu’il n’avait plus aucune chance de remonter au score, non, je veux dire qu’il était obligé de passer tout ses tours. Alors là forcément, on s’est dit qu’il valait mieux commencer une nouvelle partie.
Sinon non, même quand on ne peut plus remonter au score, le jeu peu rester ludique et on peut encore viser les micro victoire (je gagnerai pas, mais j’vais essayer quand même de terminer tel objectif avant la fin).