Skinner dit :Le jeu est de retour !
Normal, avec toute la pub la FNAC va en vendre pas mal.
Cela dit j'ai un ami qui en avait acheté un et a été très déçu par le jeu en lui-même.
Il faut cependant voir le bon côté des choses, il pourra le revendre plus cher, il y en a un neuf à 200 € sur Okkazeo.
Antifa suppôt du capitalisme ! 
L’Humanité, c’est ce qui est à mon image… Une définition commune aux grands massacreurs, si prompt à monter les différences en épingle, et aux inclusifs, jusqu’à ce mouvement :
Statut juridique de personne pour les grands singes — Wikipédia
Je me fiche de l’autorité supérieure ou principe instrumentalisé ou prostitué. Ici, je vois juste une exploitation du média ludique pour accuser de la rage des cibles réelles réifiées en cartes évènements.
Chacun est libre de s’investir et de s’exposer, en se présentant aux élections pour défendre ses idées par sa capacité à convaincre ses concitoyens. Rester masqué et publier des listes de cibles en est l’exact opposé.
Pas Antifa : Antidém ! (-ocratie)
nmerobis dit :L'Humanité, c'est ce qui est à mon image... Une définition commune aux grands massacreurs, si prompt à monter les différences en épingle, et aux inclusifs, jusqu'à ce mouvement :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Statut_juridique_de_personne_pour_les_grands_singes
Je me fiche de l'autorité supérieure ou principe instrumentalisé ou prostitué. Ici, je vois juste une exploitation du média ludique pour accuser de la rage des cibles réelles réifiées en cartes évènements.
Chacun est libre de s'investir et de s'exposer, en se présentant aux élections pour défendre ses idées par sa capacité à convaincre ses concitoyens. Rester masqué et publier des listes de cibles en est l'exact opposé.
Pas Antifa : Antidém ! (-ocratie)
Parfois pour combattre le mal, il faut savoir rester masquer... Regarde Zorro... (ok je sors).
Il est de retour car les exemples donnés par le député seraient faux, si j’ai bien tout suivi …
Casimir Morel dit :Vicen dit :(même si en vérité, on sait que les différentes éditions se contentent souvent de reformuler le travail de l'AFP)
Un abonnement à une PQR (nouvelles locales), Libé (économie sociale et solidaire) ou le Figaro (sciences et reporter de guerre) change vraiment cette perception.
C'est surtout les articles gratuits qui viennent du fil AFP (pas cher à faire, dans l'émotion du moment donc parfait pour la pub/partage sur les réseaux sociaux)
Ok, merci du détail.
Temps que faire se peut, j'essaye d'éviter d'avoir une multitude de prélèvements automatiques, donc je n'ai effectivement pas accès aux travaux d'investigations que tu évoques. Ou juste leur entête et c'est super frustrant. ^^'
Maximus Vulpes dit :Jospin, c'était il y a 25 ans. Aujourd'hui, pour dire ça, il faut vraiment être "en dehors" de la réalité.
Je vis dans le monde réel, et dans le monde réel, la menace fasciste en France, elle relève du théâtre, comme l’avouait Lionel Jospin.
jmguiche dit :Albumine Tagada dit :Yep, faisons ça
Parce que discuter antifa avec quelqu'un qui considère que les antifas sont plus inquiétants/violents que les fascistes... j'ai l'impression de parler jeu de société moderne avec un tenant du Monopoly^^
Tu as vu ça oú ?
Ici :
jmguiche dit :
S’ils n’étaient antifas, il seraient fascistes, islamistes, intégristes, anarchiste violents (avant qu’on tronque mes propos, j’ai écrit anarchistes violent, pas anarchistes), ou simplement braqueur comme au bon vieux temps ! Il y aura toujours des brutes préférant la violence à la démocratie.
Pour en revenir à Anti-fa le jeu,
d’après une joueuse militante qui s’exprimait sur un plateau sans être contredite par l’auteur présent. Avant d’être un jeu, c’était je cite: “pensé comme un outil d’éducation populaire”.
Il n’a été décidé de le commercialiser que dans un second temps. Dans une V.1 qui, il y a un an, avait déjà reçu des critiques de l’extrême droite (mais ça avait fait moins de bruit que cette V.2).
Voilà pour la petite histoire.
Ce n’est pas le premier jeu de société à caractère militantiste. The Landlord’s Game ancêtre du monopoly l’était également.
Bonjour,
la Fnac suite a une evidente perte d’identité est en train de revaloriser les initiatives de ses vendeurs.
ce que faisait pourtant son identité il y a une trentaine d’année
a ce titre chaque établissement a la liberté d’alimenter des rayons en produit qui ne sont pas dans les grandes série
je trouve que c’est une bonne initiative
Dialogues à Brest, une société concurrente pourrait servir de modèle dans le genre, permettant de sortir des sentiers battus…
si le jeu tient la route je vais probablement l’acheter pour ma collection et pour le principe.
stefil dit :
si le jeu tient la route
C'est bien là le problème.
loïc dit :Maximus Vulpes dit :Jospin, c'était il y a 25 ans. Aujourd'hui, pour dire ça, il faut vraiment être "en dehors" de la réalité.
Je vis dans le monde réel, et dans le monde réel, la menace fasciste en France, elle relève du théâtre, comme l’avouait Lionel Jospin.
L'extrême droite est tellement banalisée en France que beaucoup ne la voit plus. Elle est partout et penser qu'elle n'est pas dangereuse relève, au mieux, de la naïveté.
Je vais me répéter, mais l'ED pour les antifa, ça commence à Bayrou.
Ce que je conteste c'est le fait qu'il existe un péril fasciste en France, comme tout le monde ancré dans la réalité justement, et qui ne s'invente pas des périls inexistant. Je vous laisse comptabiliser le nombre d'agressions verbales ou physiques que vous avez subi et dont vous avez été témoin durant votre vie, et remplir vos petites coches dans la colonne "agressions de skinheads".
Que l'état face son boulot en terme de contre terrorisme et cible des groupuscules qui préparent des attentats c'est une chose. Dire que la France risque de basculer dans le fascisme, et cautionner la violence intrinsèque aux mouvements antifa en est une autre.
Après j'ai bien conscience que pour beaucoup de gens à gauche, l'Italie de Meloni, la Hongrie d'Orban, les USA de Trump, ou même le Danemark avec sa nouvelle politique migratoire, ce sont des régimes fascistes. Ceci rejoint mon premier point.
Vicen dit :Pour en revenir à Anti-fa le jeu,
d'après une joueuse militante qui s'exprimait sur un plateau sans être contredite par l'auteur présent. Avant d'être un jeu, c'était je cite: "pensé comme un outil d'éducation populaire".
Il n'a été décidé de le commercialiser que dans un second temps. Dans une V.1 qui, il y a un an, avait déjà reçu des critiques de l'extrême droite (mais ça avait fait moins de bruit que cette V.2).
Voilà pour la petite histoire.
Ce n'est pas le premier jeu de société à caractère militantiste. The Landlord's Game ancêtre du monopoly l'était également.
"militant", j'adore la capacité de l'EG pour les manipulations sémantiques par euphémisme.
Il est évident que le monopoly est à mettre au même niveau que des groupuscules qui vont accueillir à la sortie des campus d'autres étudiants à "coup de pierre" pour soit disant "casser du bourgeois", qui agressent des manifestants, des responsables politiques, des forces de l'ordre, des youtubeurs, des féministes, etc...
Si les antifa veulent faire de l'éducation populaire, ils peuvent commencer par aller dans les quartiers populaires où leur discours anti-fasciste est étrangement totalement inaudible quand il ne déclenche pas immédiatement l'hostilité.
Maximus Vulpes dit :Je vous laisse comptabiliser le nombre d'agressions verbales ou physiques que vous avez subi et dont vous avez été témoin durant votre vie, et remplir vos petites coches dans la colonne "agressions de skinheads".
La seule fois où deux skins m'ont agressé c'était quand je retirais de l'argent.
Le premier s'est pris un bon coup de coude dans le cou et s'est enfui en glapissant.
Le second y a laissé deux dents et un nez cassé, et le distributeur a été un peu taché par son sang.
Le plus beau dans l'histoire c'est que la police, appelée par un employé de la banque qui arrivait, m'a conseillé de ne pas porter plainte étant donné l'état du pauvre crâne rasé.
Il avait le culot de se plaindre et j'ai vu le moment où il allait me traiter de nazi.
enpassant dit :Maximus Vulpes dit :Je vous laisse comptabiliser le nombre d'agressions verbales ou physiques que vous avez subi et dont vous avez été témoin durant votre vie, et remplir vos petites coches dans la colonne "agressions de skinheads".
La seule fois où deux skins m'ont agressé c'était quand je retirais de l'argent.
Le premier s'est pris un bon coup de coude dans le cou et s'est enfui en glapissant.
Le second y a laissé deux dents et un nez cassé, et le distributeur a été un peu taché par son sang.
Le plus beau dans l'histoire c'est que la police, appelée par un employé de la banque qui arrivait, m'a conseillé de ne pas porter plainte étant donné l'état du pauvre crâne rasé.
Il avait le culot de se plaindre et j'ai vu le moment où il allait me traiter de nazi.
Mais LOL !!!! 
Et où c'est que tu as appris ces fameux moves ? Qui sait, ça pourrait me servir au cas où un groupuscule n'apprécierait soudain plus mon nom de famille suisse-allemand. 
enpassant dit :Maximus Vulpes dit :Je vous laisse comptabiliser le nombre d'agressions verbales ou physiques que vous avez subi et dont vous avez été témoin durant votre vie, et remplir vos petites coches dans la colonne "agressions de skinheads".
La seule fois où deux skins m'ont agressé c'était quand je retirais de l'argent.
Le premier s'est pris un bon coup de coude dans le cou et s'est enfui en glapissant.
Le second y a laissé deux dents et un nez cassé, et le distributeur a été un peu taché par son sang.
Le plus beau dans l'histoire c'est que la police, appelée par un employé de la banque qui arrivait, m'a conseillé de ne pas porter plainte étant donné l'état du pauvre crâne rasé.
Il avait le culot de se plaindre et j'ai vu le moment où il allait me traiter de nazi.
Témoignage intéressant qui (dé)montre s'il en était besoin que la violence est bien la seule forme d'expression respectée en tout temps, en tout lieu et par tout le monde. Bref, la loi du plus fort en somme, qui court encore dans nos soit-disant sociétés "civilisés".
Maximus Vulpes dit : [...]
Il est évident que le monopoly est à mettre au même niveau [...]
Aucune idée. N'ayant joué qu'à un seul des deux, je n'en ai évalué qu'un sur BGG (la note n'était pas glorieuse).
Je connais le principe "Don't feed the troll" sauf que...
Aujourd'hui, on a plus le droit, ni d'avoir faim ni d'avoir froid.
Skinner dit :Et où c'est que tu as appris ces fameux moves ?
A l'époque il y avait encore le service militaire et les exercices de close-combat.
Uphir dit :Bref, la loi du plus fort en somme, qui court encore dans nos soit-disant sociétés "civilisés".
J'aime pas qu'on veuille me piquer mon fric, ça fait des jeux en moins. 
Et j'avoue que je réagis un peu comme lui:
enpassant dit :Uphir dit :Bref, la loi du plus fort en somme, qui court encore dans nos soit-disant sociétés "civilisés".
J'aime pas qu'on veuille me piquer mon fric, ça fait des jeux en moins.
Et j'avoue que je réagis un peu comme lui:
Ce n'est pas moi qui te jetterait la pierre en tout cas ; je ne sais pas si c'est la meilleure solution, mais elle est quand même bien pratique.
Vicen dit :Casimir Morel dit :Vicen dit :(même si en vérité, on sait que les différentes éditions se contentent souvent de reformuler le travail de l'AFP)
Un abonnement à une PQR (nouvelles locales), Libé (économie sociale et solidaire) ou le Figaro (sciences et reporter de guerre) change vraiment cette perception.
C'est surtout les articles gratuits qui viennent du fil AFP (pas cher à faire, dans l'émotion du moment donc parfait pour la pub/partage sur les réseaux sociaux)Ok, merci du détail.
Temps que faire se peut, j'essaye d'éviter d'avoir une multitude de prélèvements automatiques, donc je n'ai effectivement pas accès aux travaux d'investigations que tu évoques. Ou juste leur entête et c'est super frustrant. ^^'
Si l'anglais n'est pas un souci, pour les nouvelles internationales le Guardian (gauches anglaises) est gratuit (essentiellement financé par les dons)
Ils font en général partie des collectifs (el passo, der speigel, etc.) sur les investigations liées aux fuites massives de données (Panama papers, leaks en tout genre)
Attention, leurs éditorialistes vont parfois loin
