Cette interview sera la dernière publiée chez Tric trac car suite à un entretien téléphonique avec Guillaume Gicleux de plus de 2 heures, Tric trac effacera rapidement ce compte et les articles allant avec, ces derniers gênant des personnes interviewés (ou non) mais n’aillant pas le courage de venir m’en parler
Bien à vous et bonne continuation à tous!
Dans la première partie de mon entretien avec Simon Murat, nous évoquions un sujet important : l'homophobie.
Certains n'ont pas compris qu'on puisse évoquer un tel sujet alors que depuis 5 ans j'ai évoqué avec mes invités des sujets aussi graves que le racisme, la maladie, le sexisme, la pauvreté, la dictature, l'obésité et les moqueries qui peuvent aller avec...
Certains ont même tenté de m'accabler de propos homophobes sans même éventuellement se poser la question de ma propre sexualité, ce qui est assez cocasse, je dois l'avouer.
Je m'excusais d'avoir blessé Simon si ma question avait pu le toucher, mais en aucun je ne la renierai, car tous les sujets peuvent/doivent être évoqué selon moi et ce même dans le monde ludique.
Mes invités ayant toujours le choix de ne pas répondre à une question s'ils le souhaitent.
Ceci étant dit, passons à la suite de cet entretien où nous évoquons avec Simon sa reprise du Passe Temps et son lien avec Bruno Desch désormais son ancien patron, de ses projets pour le magasin, de la chaîne youtube le Passe Temps et de ses répercussions au niveau commercial et également au sein de la profession, de la concurrence entre Asmodée et Hachette, de Lars Von Trier et South Park, mais aussi d'écologie et de green washing dans le monde ludique sans oublier Reiner Knizia et Régis Bonnessée...
Et bien ma foi, je me demande si je dois me réjouir ou pas au sujet de cet “effacement” de compte. J’ai été interrogé pour ma part, et puis une amie l’a été également grâce à moi, puisque j’ai donné le contact comme “lot” des 10 000 ou 15 000 ludistes francophones à l’époque… Mais je devrais dire “à cause” au lieu de "grâce " car certaines insinuations ont été prises dans cet échange. Des insinuations qui auraient pu être très mal pris. Ça ne m’a pas plu du tout.
J avoue que j’avais trouvé la question “homo” plutôt maladroite dans l’épisode précédent mais ce serait regarder le doigt quand on montre la lune. Le travail d’intw est colossal et si on parle de vidéos, celui de l’écriture n’est pas plus simple ou moins chronophage. Et ce travail met en lumière une personne qui vaut bien plus que son image de “saltimbanque youtube”. bonne continuation
Rien à voir avec le doigt… Mais plus de cinq ans d’interrogations sur des articles à tendance Closer et Voici… In fine, il y a certainement de la place et de l’intérêt pour certaines et certains à ces interviews… Et ça tombe bien, il y a de la place ailleurs pour aller les lire.
Quant à celui qui regarde le doigt, et malgré plus de deux heures d’argumentations téléphoniques, reste l’incompréhension de voir ces articles sur Tric Trac alors même que son auteur « se pose beaucoup de questions, comme plein d’autres gens, sur l’honnêteté et la transparence de ce site dont le propriétaire est un gros éditeur de jeux, amenant par là même, des suspicions de conflit d’intérêts… du doute ! » Et bien moi, quand je « doute » du professionnalisme d’un restaurant, je n’y vais plus manger… Surtout quand il y a d’autres restaurants ailleurs !
“Cette interview sera la dernière publiée chez Tric trac car suite à un entretien téléphonique enregistré avec Guillaume Gicleux de plus de 2 heures, Tric trac effacera ce compte et les articles allant ailleurs rapidement ces derniers gênant des personnes interviewés ou non mais n’aillant pas le courage de venir vers moi. :-)”: Les relectrices sont en burn out ou elles sont à la plage ? S’il fallait une raison pour virer ces articles, ce genre de citation pourrait suffire.
Ben honnêtement, ça va pas me manquer, déjà que c’était pas terrible au début, ça devenait de plus en plus mauvais : des questions sans grand intérêt, une qualité rédactionnelle médiocre. Comme dit M. Guillaume, y a de la place ailleurs.
C’est la question maladroite à mettre sur le tas déjà conséquent de maladresses diverses et variées. Beaucoup de signaux lui ont été envoyés, depuis le début et malgré ce qu’il en dit, mais on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif. Un prix pour l’ensemble de son œuvre en somme. Mais oui, l’idée de départ était, et reste, bonne.
La comparaison avec le restaurant est frappante, mais un peu injuste. Car il ne vient pas à proprement parler manger dans le restaurant, il vient mettre ses plats avariés sur le buffet tournant, au milieu des autres plats, dont la qualité est très inégale. Ceux qui viennent manger doivent faire bien attention aux étiquettes pour ne pas s’intoxiquer. Je ne vois pas d’équivalent. Le Dépôt Vente, à la limite ?
“Certains ont même tenté de m’accabler de propos homophobes sans même éventuellement se poser la question de ma propre sexualité, ce qui est assez cocasse, je dois l’avouer.”
Perso, je ne vois pas le rapport. Les homophobes sont-ils tous hétérosexuels ? Je n’en suis pas sûr.
Grosse précision : je ne vous accuse pas d’homophobie, je n’en sais rien et je m’en fiche, je réagis juste à cette phrase qui semble indiquer que connaitre votre sexualité permettrait de connaitre votre opinion sur le sujet. Hors, pour moi, cela n’a aucun rapport. Pire, je suis persuadé qu’une des raisons de l’homophobie est une homosexualité non assumée.
Je n’ai pas eu le loisir de lire toute l’œuvre, ce qui vous place à l’égal de Proust et de Bukowki, mais au milieu des questions sur homosexualité, infertilité et handicap, est-ce qu’il y avait quelque chose sur le sentiment que tout le monde vous en veut parce que vous êtes génial et les techniques de harcèlement ? Une sorte d’auto-interview en quelque sorte ?
