@Fred: Oui, évidemment, comparativement à aujourd’hui il y avait bcp moins d’offre en JdS et surement plus en JdR mais si on s’intéressait aux JdS plutôt qu’au JdR (c’était mon cas), il y avait largement de quoi faire. Cela dit que je ne foutais pas les pieds à l’Oeuf cube ^^
Descartes éditait quand même pas mal de jds, pour le coup. Tout comme Tilsit, Gigamic et quelques autres. Ainsi que la boutique Oya qui distribuait des jeux allemands.
Salut abettembot.
Je ne connais pas les ventes des jeux que tu cites, par contre je remarque qu’ils sont tous édité par GW… qui est aussi distributeur. Encore une fois c’est là une différence colossale (entre 30 et 40% de marge en plus).
Ça me ramène à mon boulot, dans l’agriculture
Aujourd’hui, soit on est producteur, on vend à des coopératives et on doit produire énormément pour survivre.
Soit on intègre tout le circuit de distribution et on fait de la vente à la ferme ( et ceux qui font ça s’en sortent très bien).
Mais entre les deux, ce n’est plus tenable.
Tu lances quand ton KS pour ouvrir ta première boutique et monter une franchise ?
Pour les prix, on pourrait effectivement envisager de marger “normalement” (cout de revient x2). Le jeu serait alors en prix public à son Cout de revient x 6, soit 34 x 6 =204$ (autour de 180€ TTC). Mais à ce prux la se vendrait il plus qu’à 100€ ?
Effectivement, là, sans maitriser la distribution… ça parait compliqué.
Du coup, je ne comprends pas plus (voire moins) cette polémique autour des boutiques qui, si j’ai tout saisi, préfèrent qu’un jeux n’existe pas s’il ne rentre pas dans leur moule commercial ?
C’est comme si la télé détestait internet et les youtubeurs car ça permet à des gens de s’exprimer sans passer par eux. Ça serait absurde
Zut, j’avais répondu mais mon message n’apparait pas (j’ai du cliquer à côté, au trop tarder et ma session a expiré).
En effet, à 200€, on peut légitimement être pessimiste sur le volume des ventes. Mais j’avoue ne pas comprendre (ou trop bien comprendre) la polémique. À croire que les boutiques préfèrent qu’un jeu n’existe pas plutôt qu’il puisse exister ailleurs.
Comme si la télé détestait internet et les youtubeurs car ça permet à des gens de s’exprimer sans eux… ça serait absurde.
Mais de toute façon la problématique va bien au-delà de la question du prix. Elle se situe au niveau de la rationalité économique du modèle :
Lorsque une société externalise une partie de son activité en payant un prestataire, quel qu’il soit, c’est parce qu’il apporte une Valeur Ajoutée supérieure qui au final s’inscrit dans le résultat de la société en question.
Si ce n est pas le cas, donc si le contrat ne se révèle pas “gagnant/gagnant”, mais “perdant/gagnant”, il n’a pas de raison d’être.
Autrement dit, si, au total, sans passer par les boutiques un éditeur gagne 100, alors qu’il ne gagne que 70 en passant par les boutiques, au nom de quoi devrait-il s’infliger ce manque à gagner ?
Renversons la perspective : si, sans vendre Conan, une boutique gagnait au total 100. Mais qu’en le vendant, elle s’aperçoive qu’a la fin de l’année elle ne gagne que 70. Qui lui jettera la pierre lorsqu’elle décidera de ne plus le vendre, parce que pour une raison quelconque cela crée un manque à gagner ?
C’est ce qui me gène dans tout ce débat. On reconnait aux distributeurs et aux retailers le droit d’être économiquement rationnels, mais dès lors qu’il s’agit de l’éditeur ou pire de l’auteur, on considère que la passion devrait “naturellement” se substituer à la rationalité et combler le trou laissé par le manque à gagner. Comme si l’un était exclusif de l’autre.
Tout le problème est là : on cherche à maquiller la réalité brutale sous toute sorte de horipaux moraux et cela ne génère que de la confusion et voilant la véritable problematique.
Lorsque j’ai sorti Rush n Crush, ce fut un four commercial monumental. Je n’ai pas vu la moindre boutique continuer à en acheter a Rackham alors qu’elle ne le vendait pas. Et personne ne les en a jamais blamé, car c’eut alors été faire preuve d’une bien mauvaise gestion. Pourquoi la situation inverse devient-elle moralement condamnable, si ce n’est parce qu’elle remet en cause les schemas établis ?
On assiste aujourd’hui au succès monumental de 7thC. Pourquoi SP, en tant que société, devrait-elle vendre passer par un distributeur ou vendre en boutique ? Ce qui est en train de se passer sous nos yeux n’est-il pas la preuve que leur choix est en fait optimal ? Pour qu’ils aillent en boutique il suffirait que cette alternative s’avère plus interessante pour eux. C’est juste une question de négociation. Nous avons proposé de revoir le système de multiplicateurs d’intermédiation. Cela semblait à l’epoque tellement ubuesque que ça a été rejeté sans même que les acteurs prennent le temps d’y réfléchir, comme si ces multiplicateurs étaient inscrits dans le marbre.
Mais de toute façon la problématique va bien au-delà de la question du prix. Elle se situe au niveau de la rationalité économique du modèle :
Lorsque une société externalise une partie de son activité en payant un prestataire, quel qu’il soit, c’est parce qu’il apporte une Valeur Ajoutée supérieure qui au final s’inscrit dans le résultat de la société en question.
Si ce n est pas le cas, donc si le contrat ne se révèle pas “gagnant/gagnant”, mais “perdant/gagnant”, il n’a pas de raison d’être.
Autrement dit, si, au total, sans passer par les boutiques un éditeur gagne 100, alors qu’il ne gagne que 70 en passant par les boutiques, au nom de quoi devrait-il s’infliger ce manque à gagner ?
Renversons la perspective : si, sans vendre Conan, une boutique gagnait au total 100. Mais qu’en le vendant, elle s’aperçoive qu’a la fin de l’année elle ne gagne que 70. Qui lui jettera la pierre lorsqu’elle décidera de ne plus le vendre, parce que pour une raison quelconque cela crée un manque à gagner ?
C’est ce qui me gène dans tout ce débat. On reconnait aux distributeurs et aux retailers le droit d’être économiquement rationnels, mais dès lors qu’il s’agit de l’éditeur ou pire de l’auteur, on considère que la passion devrait “naturellement” se substituer à la rationalité et combler le trou laissé par le manque à gagner. Comme si l’un était exclusif de l’autre.
Tout le problème est là : on cherche à maquiller la réalité brutale sous toute sorte d’oripeaux moraux et cela ne génère que de la confusion et voilant la véritable problematique.
Lorsque j’ai sorti Rush n Crush, ce fut un four commercial monumental. Je n’ai pas vu la moindre boutique continuer à en acheter a Rackham alors qu’elle ne le vendait pas. Et personne ne les en a jamais blamé, car c’eut alors été faire preuve d’une bien mauvaise gestion. Pourquoi la situation inverse devient-elle moralement condamnable, si ce n’est parce qu’elle remet en cause les schemas établis ?
On assiste aujourd’hui au succès monumental de 7thC. Pourquoi SP, en tant que société, devrait-elle vendre passer par un distributeur ou vendre en boutique ? Ce qui est en train de se passer sous nos yeux n’est-il pas la preuve que leur choix est en fait optimal ? Pour qu’ils aillent en boutique il suffirait que cette alternative s’avère plus interessante pour eux. C’est juste une question de négociation. Nous avons proposé de revoir le système de multiplicateurs d’intermédiation. Cela semblait à l’epoque tellement ubuesque que ça a été rejeté sans même que les acteurs prennent le temps d’y réfléchir, comme si ces multiplicateurs étaient inscrits dans le marbre.
Mais de toute façon la problématique va bien au-delà de la question du prix. Elle se situe au niveau de la rationalité économique du modèle :
Lorsque une société externalise une partie de son activité en payant un prestataire, quel qu’il soit, c’est parce qu’il apporte une Valeur Ajoutée supérieure qui au final s’inscrit dans le résultat de la société en question.
Si ce n est pas le cas, donc si le contrat ne se révèle pas “gagnant/gagnant”, mais “perdant/gagnant”, il n’a pas de raison d’être.
Autrement dit, si, au total, sans passer par les boutiques un éditeur gagne 100, alors qu’il ne gagne que 70 en passant par les boutiques, au nom de quoi devrait-il s’infliger ce manque à gagner ?
Renversons la perspective : si, sans vendre Conan, une boutique gagnait au total 100. Mais qu’en le vendant, elle s’aperçoive qu’a la fin de l’année elle ne gagne que 70. Qui lui jettera la pierre lorsqu’elle décidera de ne plus le vendre, parce que pour une raison quelconque cela crée un manque à gagner ?
C’est ce qui me gène dans tout ce débat. On reconnait aux distributeurs et aux retailers le droit d’être économiquement rationnels, mais dès lors qu’il s’agit de l’éditeur ou pire de l’auteur, on considère que la passion devrait “naturellement” se substituer à la rationalité et combler le trou laissé par le manque à gagner. Comme si l’un était exclusif de l’autre.
Tout le problème est là : on cherche à maquiller la réalité brutale sous toute sorte d’oripeaux moraux et cela ne génère que de la confusion et voilant la véritable problematique.
Lorsque j’ai sorti Rush n Crush, ce fut un four commercial monumental. Je n’ai pas vu la moindre boutique continuer à en acheter a Rackham alors qu’elle ne le vendait pas. Et personne ne les en a jamais blamé, car c’eut alors été faire preuve d’une bien mauvaise gestion. Pourquoi la situation inverse devient-elle moralement condamnable, si ce n’est parce qu’elle remet en cause les schemas établis ?
On assiste aujourd’hui au succès monumental de 7thC. Pourquoi SP, en tant que société, devrait-elle vendre passer par un distributeur ou vendre en boutique ? Ce qui est en train de se passer sous nos yeux n’est-il pas la preuve que leur choix est en fait optimal ? Pour qu’ils aillent en boutique il suffirait que cette alternative s’avère plus interessante pour eux. C’est juste une question de négociation. Nous avons proposé de revoir le système de multiplicateurs d’intermédiation. Cela semblait à l’epoque tellement ubuesque que ça a été rejeté sans même que les acteurs prennent le temps d’y réfléchir, comme si ces multiplicateurs étaient inscrits dans le marbre.
Mais de toute façon la problématique va bien au-delà de la question du prix. Elle se situe au niveau de la rationalité économique du modèle :
Lorsque une société externalise une partie de son activité en payant un prestataire, quel qu’il soit, c’est parce qu’il apporte une Valeur Ajoutée supérieure qui au final s’inscrit dans le résultat de la société en question.
Si ce n est pas le cas, donc si le contrat ne se révèle pas “gagnant/gagnant”, mais “perdant/gagnant”, il n’a pas de raison d’être.
Autrement dit, si, au total, sans passer par les boutiques un éditeur gagne 100, alors qu’il ne gagne que 70 en passant par les boutiques, au nom de quoi devrait-il s’infliger ce manque à gagner ?
Renversons la perspective : si, sans vendre Conan, une boutique gagnait au total 100. Mais qu’en le vendant, elle s’aperçoive qu’a la fin de l’année elle ne gagne que 70. Qui lui jettera la pierre lorsqu’elle décidera de ne plus le vendre, parce que pour une raison quelconque cela crée un manque à gagner ?
C’est ce qui me gène dans tout ce débat. On reconnait aux distributeurs et aux retailers le droit d’être économiquement rationnels, mais dès lors qu’il s’agit de l’éditeur ou pire de l’auteur, on considère que la passion devrait “naturellement” se substituer à la rationalité et combler le trou laissé par le manque à gagner. Comme si l’un était exclusif de l’autre.
Tout le problème est là : on cherche à maquiller la réalité brutale sous toute sorte d’oripeaux moraux et cela ne génère que de la confusion et voilant la véritable problematique.
Lorsque j’ai sorti Rush n Crush, ce fut un four commercial monumental. Je n’ai pas vu la moindre boutique continuer à en acheter a Rackham alors qu’elle ne le vendait pas. Et personne ne les en a jamais blamé, car c’eut alors été faire preuve d’une bien mauvaise gestion. Pourquoi la situation inverse devient-elle moralement condamnable, si ce n’est parce qu’elle remet en cause les schemas établis ?
On assiste aujourd’hui au succès monumental de 7thC. Pourquoi SP, en tant que société, devrait-elle vendre passer par un distributeur ou vendre en boutique ? Ce qui est en train de se passer sous nos yeux n’est-il pas la preuve que leur choix est en fait optimal ? Pour qu’ils aillent en boutique il suffirait que cette alternative s’avère plus interessante pour eux. C’est juste une question de négociation. Nous avons proposé de revoir le système de multiplicateurs d’intermédiation. Cela semblait à l’epoque tellement ubuesque que ça a été rejeté sans même que les acteurs prennent le temps d’y réfléchir, comme si ces multiplicateurs étaient inscrits dans le marbre.
Mais je ne dis a aucun moment le contraire Tom. Je dis juste que les rayonnages et la clientèle des boutiques ont énormement changé en 25 ans et continus à changer. Et c est juste “normal”.
Mais de toute façon la problématique va bien au-delà de la question du prix. Elle se situe au niveau de la rationalité économique du modèle :
Lorsque une société externalise une partie de son activité en payant un prestataire, quel qu’il soit, c’est parce qu’il apporte une Valeur Ajoutée supérieure qui au final s’inscrit dans le résultat de la société en question.
Si ce n est pas le cas, donc si le contrat ne se révèle pas “gagnant/gagnant”, mais “perdant/gagnant”, il n’a pas de raison d’être.
Autrement dit, si, au total, sans passer par les boutiques un éditeur gagne 100, alors qu’il ne gagne que 70 en passant par les boutiques, au nom de quoi devrait-il s’infliger ce manque à gagner ?
Renversons la perspective : si, sans vendre Conan, une boutique gagnait au total 100. Mais qu’en le vendant, elle s’aperçoive qu’a la fin de l’année elle ne gagne que 70. Qui lui jettera la pierre lorsqu’elle décidera de ne plus le vendre, parce que pour une raison quelconque cela crée un manque à gagner ?
C’est ce qui me gène dans tout ce débat. On reconnait aux distributeurs et aux retailers le droit d’être économiquement rationnels, mais dès lors qu’il s’agit de l’éditeur ou pire de l’auteur, on considère que la passion devrait “naturellement” se substituer à la rationalité et combler le trou laissé par le manque à gagner. Comme si l’un était exclusif de l’autre.
Tout le problème est là : on cherche à maquiller la réalité brutale sous toute sorte d’oripeaux moraux et cela ne génère que de la confusion et voilant la véritable problematique.
Lorsque j’ai sorti Rush n Crush, ce fut un four commercial monumental. Je n’ai pas vu la moindre boutique continuer à en acheter a Rackham alors qu’elle ne le vendait pas. Et personne ne les en a jamais blamé, car c’eut alors été faire preuve d’une bien mauvaise gestion. Pourquoi la situation inverse devient-elle moralement condamnable, si ce n’est parce qu’elle remet en cause les schemas établis ?
On assiste aujourd’hui au succès monumental de 7thC. Pourquoi SP, en tant que société, devrait-elle vendre passer par un distributeur ou vendre en boutique ? Ce qui est en train de se passer sous nos yeux n’est-il pas la preuve que leur choix est en fait optimal ? Pour qu’ils aillent en boutique il suffirait que cette alternative s’avère plus interessante pour eux. C’est juste une question de négociation. Nous avons proposé de revoir le système de multiplicateurs d’intermédiation. Cela semblait à l’epoque tellement ubuesque que ça a été rejeté sans même que les acteurs prennent le temps d’y réfléchir, comme si ces multiplicateurs étaient inscrits dans le marbre.
Cher Monsieur Virgile,
Drôle de réaction !? En fait, c’est quoi qui ne vous plait pas dans ma remarque ? Qu’est ce qui vous fait dire que j’ai envie que vous disiez que vous avez aimé ? S’il vous plait. En fait, pour être très clair, que vous ne trouviez pas cela bien est une chose. On peut trouver le propos de Fred Henry mauvais. Ne pas être d’accord. Vous avez le droit. Tout le monde a le droit. Juste ce que je pointe, ce sont vos arguments à vous. Ils sont pour le moins totalement intéressants. On s’en fout en fait. Ils n’apportent rien. Nibe. Qued. Vous nous expliquez que VOUS, vous auriez apprécié que l’on parle d’autre chose. Super. Maintenant on sait que cela ne vous intéresse pas. C’est cool. On en sait un peu plus sur vous. C’est génial. Je propose que la prochaine fois que quelqu’un veut faire quelque chose, une interview, il vous demande si cela va vous intéresser et si la réponse est non, il ne le fait pas. C’est ça que vous voulez ? En fait.
Dailleurs le développement du Crowdfunding est si fulgurant qu’il remet en question bien d autres cadres établis.
Imaginons quand même que celui qui cette année est non seulement le jeu le mieux noté du monde, mais aussi l une tres grosse vente du secteur spécialisé (il est bien parti pour atteindre ou dépasser les 40 000 copies cette année), n’aura paradoxalement pas droit de citer aux récompenses du “Jeu de l’Année”.
C’ est là aussi je trouve un débat extrêmement intéressant.
Cher Monsieur Virgile,
Ben, comment répondre à un gars qui dit “Apres je peut effacer et écrire un commentaire disant que j ai adoré si vous voulez” ? Ce n’est pas agressif ça ? Ce n’est pas méprisant de la pensé que j’émets ? Relisez bien l’historique de notre échange. J’ai compris ce que vous dites, je vous dis que moi et d’autres cet angle nous convient. Et si je dis ça, votre réponse est “je peux écrire que j’aime si ça vous fait plaisir” ! Sans déconner. Et maintenant “on en m’y reprendra plus”… je rêve…
Ok on va arreter la … J ai effacé ce que je pouvais , je viens ici pour me detendre et m’ informer pas pour me faire sauter dessus ,bonne journée.
En fait, les auteurs que j’ai déjà interviewé (et qui parlent de créations de manière passionnante comme Christophe Raimbault ou Romaric Galonnier) ne sont “que” auteur. Et bien souvent le côté éditeur / économie / etc. Ils ne maîtrise pas ou il ne s’en intéresse pas assez pour avoir une vision du sujet.
Donc quand j’ai la chance d’avoir Frédéric Henry qui est auteur mais aussi éditeur. Je trouve pertinent d’orienter la conversation vers ce sujet.
C’est le douzième Hors Plateau et j’aime varier les sujets, les angles et les métiers. Après, tout comme vous, je suis frustré de ne pas avoir pu aborder tout les sujets possibles avec lui faute de mémoire sur ma caméra.
Cher Monsieur Virgile,
Si c’est la solution qui vous convient, tchao donc…
Ha ben si vous en rajoutez après que je vous ai répondu… Je ne vous ai pas sauté dessus. Vous avez émis une opinion, je suis venu donner la mienne sur votre opinion. Il se trouve que vous n’avez pas aimé. Point barre. J’ai juste monté d’un cran quand vous avez sortie cette phrase totalement méprisante “Si vous voulez je peux dire que c’est bien”. Parce que cette phrase est méprisante. Si vous ne le voyez pas, vous avez raison, ne vous exprimez plus ici.
@ attembot.
Ton parrallele avec ton propre secteur d’activité est ce qui me fait dire q’on est dans une problématique transversale qui va bien au delà du secteur ludique. Disons simplement que les évolutions numeriques accelères fortement les choses (on a trop tendance à oublier que le web grand public n’a guere plus de 15 ans et la forte democratisation des smartphone n en a que 5).
Chère Madame et Cher Monsieur
Devant le flux de commentaires, nous fermons la chose et nous vous proposons de continuer sur le forum. Cet espace est plus pratique pour discuter…
https://www.trictrac.net/forum/sujet/ks-economie-boutique-et-fred-henry