Paris est Ludique 2018

Ce qui est décrit dans cet article ne présente pour ma part aucun intérêt. Par ailleurs, quoi de plus stupide que de se permettre d’écrire un préambule où l’on commence par cracher gratuitement sur le dos d’une personne en particulier ( et sans la connaitre en plus! )? Franchement, ça donne pas envie de poursuivre ce pseudo article qui n’apporte rien et qui donne l’impression d’un Hors Sujet des plus réussi! Et puis ce qui est dit sur Paris, ce n’est ni plus ni moins que ce qui se passe dans toute ville de France. Alors pour l’originalité d’un écrit comme le vôtre, on repassera. Le nombre de" Je n’aime pas" juste au bas de l’article est franchement significatif! Alors par par pitié Monsieur-qui-a-vécu-dans-une-grotte-jusqu’à-présent, ayez la décence de supprimer votre torchon pour aller le pendre ailleurs. :wink:

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Je suis sidéré devant les réactions de Mr Jeux Viens à Vous. On dirait la réaction d’un ado sur Facebook, vexé par un quelconque commentaire sur son boulot.
Franchement, aller jusqu’à citer l’identité complète et le métier d’une personne mettant en doute la qualité de votre travail… La seule identité qui sera retenue sera la vôtre finalement (révélée en réponse à votre commentaire puéril), et vous aurez récolté une réputation peu souhaitable.

Je vous conseille également, comme d’autres ici, de faire une pause d’écriture (pourquoi pas sans reprise d’ailleurs). Vos interviews étaient parfois intéressantes, mais comportaient TOUJOURS au moins une question “People” dont on s’en contrefout, et qui gênaient vos interlocuteurs (ça se sentait).

Pour votre article, si vous voulez une critique objective : sur le fond et la forme c’est vraiment moyen, voire insultant. Du “second degré” à toutes les lignes, c’est lourd, très lourd (et j’utilise les guillemets car à la fin on ne distingue plus le second degré du premier tellement vous en abusez).
Ce genre d’écrits n’a rien à faire à côté d’article de Mr Mops, Mr Guillaume ou Mr Phal. Quelle honte…

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“… que je crache sur les gens, au point de ne pas me regarder dans ma glace…”

Ah oui je connais, c’est la version “Je viens sur vous” :smiley:

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Quoi ? Chez toi le café est à 1,50€ ? (“la moitié du prix d’à La Revanche”) tu te fais franchement arnaquer… à 50m de La Revanche il est à 1,20€… Tu vois, dire que Paris c’est plus cher qu’ailleurs c’est surfait… :smiley:
Mais à La Revanche, ce qui est à 3€ c’est 1 café + un droit d’accès et d’usage à une ludothèque de +600 jeux pendant 2 heures… et là ça devient compétitif… :wink:
Paris te choque par la misère qui s’y dévoile en plein jour ?
Mais pourquoi cette misère est-elle moins visible à Dijon ou ailleurs ? Parce que les pauvres, les migrants et les fous n’y ont déjà plus du tout leur place ? Parce que Paris ne serait finalement que leur dernier refuge ?.. Le dernier endroit ou survivre ?
Parce que Paris attire mais ne laisse pas repartir (ou alors ceux qui, outre l’envie, possèdent une situation sociale le leur permettant…) J’ose dire que c’est un luxe de quitter Paris et sa banlieue aujourd’hui.
Mais que sais-tu de ces personnes aujourd’hui ? As-tu pris le temps d’aller à leur rencontre dans Paris ? D’aller sur leurs lieux de vie (squatts, campements, foyers, cabanes, la rue,…) Pour comprendre ?
Pourquoi les malades psychiatriques errent-ils dans le métro parisien et pas celui de Dijon ? Ha bah parce qu’il n’y a pas de métro où se réfugier à Dijon quand on est à la rue… CQFD, le mieux est donc, pour ceux qui ne veulent pas voir, de partir dans des villes qui ne laissent aucun espace de survie à ces “inutiles” : loins des yeux, loin du coeur…
Ces malades psy j’en ai aussi rencontré à Marseille ou à Lille dans le cadre de mon ancienne vie professionnelle. On retrouve ces profils de personnes en grande détresse dans toutes les grandes agglomérations, Paris n’en a pas l’exclusivité.
Et sinon, au quotidien, dans ta vie de citoyen, hors l’activité qui te rémunère et te permet de vivre je veux dire, que fais-tu pour aider ces personnes ? Pour “ne pas faire abstraction de cette misère” comme tu dis ? Toi le “Gaulois” qui envahi Paris mais se réfugie dans le “village PEL” pour ne pas être envahi par les autochtones…
Alors oui, Paris n’est pas belle, en apparence du moins ! Nous sommes d’accord.
Mais si demain Paris “nettoie ses rues au karcher” pour redevenir belle pour ces “gaulois” qui viennent la visiter, que deviendront ces exclus, ces pauves et ces fous pour qui tu dit “ne pas pouvoir faire abstraction” ?
Es-tu prêt à leur proposer des lieux d’accueil dans la rue où tu habites pour permettre à Paris de “Partager la misère” ?

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TL;DR :

Comment pouvez vous jouer alors que des millions crèvent de faim ?
Moi chuis infirmier, Je comprends la misère du monde.
J’ai expliqué des jeux.
Y’a des visiteurs biens, d’autres chiants.
Je connais des “peoples” du monde ludique !
Mot de la fin: “Paris est une ville tentaculaire qui retient ces malades, ces pauvres pendant que certains s’amusent et jouissent des beaux quartiers .” = Je vous crache à la gueule vous qui jouez et ne pensez pas aux défavorisés, n’oubliez pas de me filer de la thune sur Tipeee.

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Je dénonce que la pauvreté existe pas de la voir.

Je ne crache pas à la gueule puisque je suis justement sur le festival… Je pense qu’il ne faut pas oublier la chance qu’on l’a.
En tout cas acceptez de voir que l’on a cette chance.

Peut être certains ne veulent pas la voir.

En tout cas, de mon côté pour conclure, je suis flatté d’apparaître dans un de vos articles (en gras et en plus, en introduction), sans avoir à débourser le moindre centime.

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Mais très cher, je la vois parfaitement, car je suis aussi animateur occasionnel, et que j’ai moi aussi eu la chance d’animer sur PEL.
Cependant, même en m’échinant à voir un autre sens à votre phrase, “une ville qui retient malade et pauvres pendant que d’autres s’amusent et jouissent”, je n’arrive qu’à saisir un coté moralisateur et surtout accusateur envers ceux qui jouent. D’où mon “je vous crache à la gueule”, qui tente d’expliquer le ressenti que j’ai de votre texte. Certes, le terme est un peu violent, j’aurai pu peut être mettre un “honte à vous”, mais je cherche moi aussi à avoir un impact un peu plus puissant au travers de mon texte.

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Ce n’est pas la lecture que je fais de tes propos.
Mais tu ne réponds pas à mes questions ? Dénoncer c’st bien, agir c’est mieux…

Si je moralise, je me moralise moi même alors vu que j’y suis…
Peut t-on regarder notre société et nos actions que l’on appelle cela être moralisateur?
Est-on accepté de ne penser qu’au jeu sans parle d’autres choses?
D’être en somme politiquement correct afin de pas blesser le joueur qui ne veut pas que l’on précise ce que l’on a vu à Paris?

Bizarre en somme…

C’est l’écriture que je fais de mon propos.

Ce n’est pas une morale sur ce qu’il faut ou ne pas faire contrairement à ce que veulent me faire dire les gens, c’est une constatation, une vision, une photographie d’un instant T .
Je ne dis à personne ce qu’il a a faire, chacun est assez grand pour cela.

C’est quand même assez exceptionnel cette façon de toujours mettre les autres en cause sans jamais réfléchir à ton propre manque d’à propos.

La misère est partout. Elle est même dans mon petit village. Elles est plus grande à Paris car tout est plus grand à Paris.

Faire des clichés, des raccourcis réducteurs sur des sujets graves n’est pas politiquement incorrect, c’est absurde. Cela nuit à la qualité d’un site internet que nous aimons tous et qui s’appelle Tric Trac. C’est pour cela que ton article a un record historique de dislike.

Nous aimons Tric Trac, pour la plupart, nous aimons y venir nous détendre (oui, il y’en a qui y travaille). Nous aimons lire des articles de qualité sur notre passion. Pour certain, nous aimons y venir pour oublier, aussi, les durs réalités du quotidien. Est-ce mal de vouloir se détendre? Est-ce mal de vouloir du positif en se réfugiant dans le jeu? Est-ce mal de vouloir oublier quelques instants les malheurs du monde? Si tu souhaites écrire un article sérieux sur ces sujets, fais-le ! Mais oublie les raccourcis, les maladresse, les fautes de frappe, les clichés, les agressions visant des personnes en les nommant et en indiquant leur lieu de travail ! C’est inadmissible !

Pour ma part, je me bats bien souvent pour aider les autres, leur venir en aide. Je suis extrêmement malheureux quand je vois des sans abris. Ca me brise le coeur. Tellement que j’ai besoin de sortir de ces malheurs pour pouvoir avancer. Ce n’est pour autant que je les ignore. Il me semble que les choses sont blanches ou noir pour toi. Que tu veux réfléchir mais que tu ne le fais pas assez que pour comprendre la complexité des situations et des gens. Que tu as toujours la faiblesse de croire que tu as un avis définitif sur les choses et les gens en quelques regard. Ca m’est devenu insupportable et tes interviews me sont devenus insupportables aussi. Je ne regarde pas l’introduction que tu avais vu car je ne veux pas lui donner d’importance. Juste que tu me considérais comme froid ou distant?? Un truc du genre. On ne se connaissait même pas. Mais tu où un gars que je ne connais pas me juge aussi durement???

J’écris ceci afin d’essayer d’aider à ce que Tric Trac continue de passionner et que d’autre trop mauvais articles ne viennent participer à un manque de qualité globale… C’est probablement maladroit mais au moins, c’est ma contribution…

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C’est cool d’avoir son nom et sa profession sur un article qui détient un record du coup !^^

Sebduj
Je répète ce que je viens de dire : Si je moralise comme vous dites, je me moralise moi même alors vu que j’y suis…

Ai je dis que la misère n’était qu’à Paris?
Vous lisez ce que vous avez envie de lire et qui n’est pas écrit.
Je dis que cela fait 2 ans que je reviens àParis et la misère que j’y vois me choque.
Est ce mal que de dire cela?

Ai je dis qu’il ne fallait pas jouer, ne pas se détendre?
A AUCUN moment je dis cela, je dis juste que de mon voyage c’est l’une des choses que j’ai retenu de tout mon week end,
En quoi cela est ce inadmissible que d’avoir retenu cela?

Je ne cesse de dire que je n’ai pas d’avis définitif sur les choses et les gens et que c’est pour cela que je fais notamment les entretiens, où j’indiquais que j’avais dépassé mes aprioris sur toi. Je reconnaissais mon apriori , tu souhaites également me reprocher cela?
Car des aprioris que tu le veuilles ou non, on en a tous, dire le contraire c’est se mentir à soi même.

Quand je rentre dans une chambre d’un patient, j’ai un apriori sur lui, il en a un sur moi. Tout cela en quelques dixièmes de seconde.
Ca été prouvé .Mais après on avance. On va vers l’autre.
Chaque fois que je vais vers quelqu’un, je commence par un apriori négatif ou positif mais effectivement c’est un apriori comme lorsque je vais dans un pays étranger.

Mais si les gens n’ont pas d’apriori et ne souhaitent pas que l’on parle autre chose que de jeu et du malaise que l’on a quand on arrive à Paris, alors ne me lisez pas.

Chouette, un débat !

1ere phrase de votre réponse: Faux. le Schtroumpf à lunettes habite au village, et ne moralise que les autres. On peut très bien moraliser les gens sans se sentir concerné. J’allais mettre au final que vous avez aussi raison, on peut moraliser les autres en se moralisant soit même, mais en général, quand on fait la leçon aux gens, c’est qu’on se sent déjà supérieur et qu’on a déjà “compris la leçon”. De toutes façons, dans un cas comme dans l’autre, je vis vous répondre: “oui, et alors?”.

2eme phrase: D’une, j’ai eu du mal à la comprendre, parce que il manque un “sans”. De deux, oh oui, on peut regarder sans être taxé de moralisateur. Mais dans ce cas, il ne faut porter aucun jugement mais rester strictement objectif. Ce qui n’est pas le cas dans votre article. De trois, et je pense que c’est là ce que vous reproche de tout de façon un bon nombre de lecteur, c’est que ça n’a rien à faire là. Mélanger problème de société et jeux de société, franchement…

3eme phrase: encore plus incompréhensible. Est on accepté… Peut on accepter ? Doit on accepter ? Bref. J’accepte tout à fait de parler de problèmes de société. Rassurez vous, vous avez travaillé dans le médical, je travaille actuellement dans le social, nous pourrons échanger des visions de professionnels. Mais je me pose deux questions: 1) Le jeux de société ici n’est qu’un support, le vrai lien c’est le lieu de la manifestation versus les différences de niveau de vie et l’exclusion. Pondez moi un article en m’expliquant comment le jeu de société est lié au chômage, à l’exclusion, à la faim, à l’immigration… je vous attends là dessus. Et pitié, ne me pondez pas un poncif du genre : “comment peut on jouer/créer des jeux de société alors qu’il y a des personnes qui ont faim”. 2) Venir parler de problèmes sociétaux sur un site dédié aux jeux de société, faut pas s’étonner des réactions derrière. Quel est le but ? Est on désengagé et indifférent si dans un article sur les jeux, la mode, un bouquin, on ne parle pas de la misère du monde ?

Etrangement, ce texte me fait penser à une chanson de Mickey3D.

L’autre jour à Paris, j’étais seul à me demander
Quand c’est qu’on va rentrer
La fureur et le bruit m’enfument la pensée, je ne peux supporter
2, 3 jours à Paris, me suffisent à retrouver, le dégoût de la ville
A quoi bon le nier, mon nid est bien ici, je ne peux le cacher.

C’est plus simple, qu’il n’y paraît
Beaucoup plus simple, que d’essayer de se noyer

Au début de la vie, aucun de nous ne sait, ou ne peut décider
De vivre en autarcie, personne n’a choisi son statut d’oppressé
Au-delà de nos pieds, de nos bien tristes villes, existent d’autres vies
J’aimerais bien aller un jour m’y promener, et pouvoir en parler.

C’est plus simple, qu’il n’y paraît
Beaucoup plus simple, que d’essayer de se noyer
C’est plus sain, que la nausée
Beaucoup plus sain, que d’essayer de se noyer dans la foule.

Medjesfromcpc
Pensez que je moralise si vous le souhaitez…
Que je vous dise non ou non, vous penserez que oui donc pensez ce que vous avez envie.
Il n’y a aucune qui phrase du type “C’est mal ce que vous faites” , Il n’y a aucun jugement contre qui que ce soit dans l’article à part contre la pauvreté.

S’il ne faut pas mélanger problème de société et jeux de société alors… je m’excuse de ce grand crime…et je vais me fouetter
Je comprends bien ce qui choque alors…
Et pourquoi cela n’aurait rien à faire là?
Moi c’est ce qui me consterne, que l’article ne plaise pas, qu’on est envie de lire autre chose, pas de soucis.
Qu’on soit choqué d’y voir que l’on parle de pauvreté parce que le festival pour mo ice n’est pas simplement le festival et les jeux mais bien TOUT le week end que j’y passe.
De mon départ à mon arrivée.
J’y vois de la misère, j’en parle, sans encore mettre quiconque au pilori et vous souhaitez y voir autre chose.
Tant pis.

2 choses importantes puis j’arrête de parler au mur:

  • j’ai surtout écrit inacceptable pour avoir cité Ludo et son lieu de travail. Le reste, ce sont des maladresses d’une personne manquant de recul sur ce qu’elle écrit.
  • je pense que les personnes gentilles et avenantes ont des à priori essentiellement positifs sur les gens qu’elles ne connaissent. Et dans le cas contraire, auraient la courtoisie de ne pas l’écrire.
    Adieu, je vais appeler Shadi (cooooool, je connais un chanteur d’opéra, trop classe, la chance du bonhomme XD)
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Le problème c’est que quand on écrit pour les autres (ce qui semble être ton projet) il faut écrire pour être compris par les autres… pas par toi seul !
Tu dis avoir été (ou être encore) infirmier en psy : quand tu es amené a écrire des rapports sur des situations rencontrés dans ton cadre pro, je pense que tu le fais pour être compris par tes lecteurs, pas par toi seul… Pourquoi ne pas faire de même ici ?
Ta photographie donne à penser que tu ne vois pas de misère chez toi, que c’est “sale”, “à fuir”,… Alors oui tout est plus grand à Paris comme dit Sebduj, mais malheureusement elle est partout, plus ou moins visible et différente. Pourquoi la pointer pour dénigrer Paris ? Tu dis “ne pas pouvoir faire abstraction” ? Pointant du doigt par contraste ceux qui feraient abstraction… Mais ne pas faire abstraction c’est agir ! Encore une fois je te pose la question : Que fais-tu ?