@Monsieur Phal :
"Le jeu est cher, pourri, et les Space cowboys vont se planter parce que c'est indécent de vendre un jeu a ce prix. Ok. Cool."
Est-ce la nature de mes propos ? Ma critique est d'autant plus constructive que je souhaiterais que les éditeurs développent des scénarii sur Internet ou en free-to-play pour respecter un peu mieux les joueurs vis à vis du prix. Est-ce si destructeur, je crois que c'est l'inverse, non ?
Loin de moi la volonté que T.I.M.E Stories devienne un fiasco, vraiment, mais encore faudrait-il qu'il soit aussi abouti qu'on veut bien nous le faire croire. Je trouve le projet vraiment très bon mais surfait, définitivement surfait d'où le terme "pétard mouillé" vu l'attente générée auprès de la communauté ludique.
Mes arguments foireux sont ce qu'ils sont mais le "chacun est libre" est une "bonne grosse botte en touche" tellement facile... pour un expert de la chose ludique tel que vous, il y a de quoi flancher.
Bref, en y regardant un peu plus sur différents sites et leurs avis (Tric trac, Gus and Co, Ludovox, Philibert...) et l'avis général des joueurs sur votre beau site (qui permet il est vrai beaucoup de libertés en ce sens), je sens de plus en plus un décalage grandissant entre une partie des joueurs et les "experts-connaisseurs de la chose ludique professionnels". L'éternel question de la collusion éditeur-site d'information ludique (initiée depuis Abyss, Elysium ou Conan) se pose de plus en plus. Je ne suis pas adepte de la théorie du complot mais on ne peut pas nier son impact sur la paysage ludique tout en respectant son utilité financière en même temps pour la survie des sites web sus-nommés.
On atteint le sublime avec ce genre de lien (http://ludovox.fr/ce-quil-faut-savoir-pour-bien-a-debuter-a-time-stories-sans-spoil/) où les internautateurs se forcent à publier des guides de jeu pour combler les lacunes dans la rédaction des règles avant la date de sortie du jeu, en répétant que bien que le bug de règles soit problématique, il est quand même brillant et génial.
Une erreur d'un éditeur un peu moins connu, aurait entraîné une levée de boucliers et pas autant de mansuétude (exemple Z first impact, je reconnais que vous aviez néanmoins défendus les deux personnes qui l'éditaient à l'époque). Deux poids, deux mesures... et je mets au défi quiconque de me prouver par A+B que ce n'est pas vrai...
Voilà mes arguments foireux, avec quelques exemples les plus pertinents que j'ai à disposition dans mes lectures, j'attends les vôtres c'est-à-dire malheureusement des qualificatifs peu élogieux à mon encontre tels que "idiot, lourdaud" ou "sent le rance", j'ai à peu près eu droit à tout, il me manque juste d'être comparé au produit de votre illustre fondement, qui fait tant votre renommée. Le qualificatif "vieux réac'" que j'ai osé vous donner semble bien peu de choses à côté.