@manubis333 doit être très content de t’avoir enfin accrocher à ce jeu
Bonjour Kenjin,
Oh que oui ! Tu n’as pas idée…
a++
Manubis.
Bonjour Fdubois,
Comme dit ci-dessus, un retour qui fait effectivement plaisir à lire.
LES TEMPLES ? ils rapportent des points à chaque fin de manche mais il ne faut pas s’y tromper, on construit des temples pour soutenir un dieu pour le Ragnarok. On ne construit pas des temples que pour les points bruts. J’en veux pour preuve leurs valeurs faciales qui sont très proches (3, 4, 5 et 7 pour les temples niveau I, II, II et IV (respectivement)) et leur coût de construction (2, 2, 3 et 4 runes). 3 et 4 runes, çà se fait et çà peut même se faire assez rapidement puisque tous les dieux disponibles au setup permettent d’acquérir des runes et certains pouvoirs et bonus permettent d’échanger des runes pour se donner plus de choix / se décaler par rapport à la concurrence / s’adapter au hasard du tirage (rayer les mentions inutiles). Simplement, construire des temples pour construire des temples, çà ne suffit pas : il faut les construire avec un objectif en tête et cet objectif, c’est le Ragnarok !
Alors oui, s’il n’est pas obligatoire de construire des temples D (7 PVs), il faut malgré tout “suivre” celui qui met la pression avec sa construction de temples et ceci pour deux raisons :
- Si l’on s’en tient aux Temples seuls sans considérer le Ragnarok en cours de construction par les joueurs, il convient tout de même de ne pas se mettre en retard sur les PVs acquis pendant la partie : le Ragnarok ne fait pas tout… Seulement la moitié du scoring final. On peut donc se permettre de ne pas chercher à être en tête via les Temples seuls si on compense avec les tuiles de Bataille par exemple.
- Comme dit par Fdubois, le placement des tuiles dieu sur les Mondes est critique pour le Ragnarok : ouvrir un monde peut semer la discorde (comme la fameuse Pomme d’Eris) et appeler à se placer soi-même (envoyer une tuile dieu aussi) pour ne pas être en reste. Chaque placement de tuile dieu modifie la situation du Ragnarok et ne donc pas être négligé. Une course à la construction de temples peut en résulter et c’est à celui qui sera prêt le premier.
Asgard implémente une magnifique coopétition (Coopération dans la compétition) via le soutien aux dieux. Si l’aspect coopération est souvent subie (le joueur second en support “s’incruste”), ce n’est pas toujours le cas… un apport en troupes supplémentaires est parfois ardemment désiré faisant accepter de concéder la seconde partie des PVs du monde… sans compter que le second joueur, s’il s’est placé sur un autre monde de bataille, ouvre un spot de PVs pour le premier joueur en support.
Ceci fait d’Asgard un jeu unique en son genre
a++
Manubis.