Ca devrait sortir légèrement après Essen en France…
Serais t’il testable au monde du jeu ou pas du tout ?
C’est en tout cas marqué sur le site MdJ ; Assyria et Bombay
Je confirme, ce sera testable…
Karis dit:Je confirme, ce sera testable...je dirais même plus : essayable ou disponible à l'essai
beri dit:Karis dit:Je confirme, ce sera testable...je dirais même plus : essayable ou disponible à l'essai
Oui bonne remarque

bonjour
juste un doute apres la lecture de la regle concernant la construction d’un puit n peut construire ce dernier a l’intersection de trois hexagones ou le joueur possede une hutte sans preciser si les 2 autres hexagones doivent etre occupees par 2 autres huttes alors que l’exemple montre les 3 hexagones occupees par 3 huttes.
voila et merci
Oui c’est bien cela : 3 hexagones avec une hutte sur chaque…
Moi aussi, j’ai un petit doute en lisant les règles: Le fait d’augmenter la hauteur des zigourates ne rapporte de points qu’en fin de partie, lors du décompte final, c’est bien ça?
Merci!
Non, on compte toutes ses zigourats à chaque tour…
Karis dit:Non, on compte toutes ses zigourats à chaque tour...
Merci! Au temps pour moi, j'étais resté bloqué sur le compte des offrandes lors de crues, où là, la taille de la zigourate ne compte pas...
Première partie hier à 3 joueurs. Je ne suis pas déçu, c’est vraiment bon, avec beaucoup de tension et pleins de choix déchirants à faire durant la partie (une nouvelle zigourate? Augmenter la taille de celles déjà existantes?..). La stratégie “4 zigourates + le multiplicateur X4 des offrandes” a l’air puissante! Nous avons tous sous-estimé le pouvoir de blocage des puits (pour empêcher la construction de zigourate), je sens que le prochaine partie sera très différente!
Un excellent moment et une grosse envie d’y revenir dans les plus brefs délais!
gloomy dit:Première partie hier à 3 joueurs. Je ne suis pas déçu, c'est vraiment bon, avec beaucoup de tension et pleins de choix déchirants à faire durant la partie (une nouvelle zigourate? Augmenter la taille de celles déjà existantes?...). La stratégie "4 zigourates + le multiplicateur X4 des offrandes" a l'air puissante! Nous avons tous sous-estimé le pouvoir de blocage des puits (pour empêcher la construction de zigourate), je sens que le prochaine partie sera très différente!![]()
Un excellent moment et une grosse envie d'y revenir dans les plus brefs délais!
Moi après un bon nombre de parties, j'avoue que je me fais plaisir avec le "jeu dans le jeu": le choix des ressources qui permet de bien pourrir les autres (et par exemple, freiner un adversaire distant pour faire des puits, créer des pénuries chez ses voisins afin de s'assurer que certains espaces seront à nous quel que soit l'ordre du tour...). La seule grosse obligation est de construire au moins une ziggourat de plus dans la partie car elle ouvre les options (les 2 premiers crans de l'offrande aux dieux, un point d'ancrage, les points additionnels pour les niveaux construits) mais chacune des stratégies 2, 3 ou 4 ziggourats ont en effet leur force et faiblesse. Et c'est probablement mon préféré dans la gamme Ystari brute à 2 joueurs, car la lecture y ait bien plus aisée pour moi.
Grunt dit:La seule grosse obligation est de construire au moins une ziggourat de plus dans la partie car elle ouvre les options (les 2 premiers crans de l'offrande aux dieux, un point d'ancrage, les points additionnels pour les niveaux construits) mais chacune des stratégies 2, 3 ou 4 ziggourats ont en effet leur force et faiblesse.
Pas moyen de gagner avec une seule ziggourat?


gloomy dit:Pas moyen de gagner avec une seule ziggourat?(Bon d'accord, ça a l'air chaud...
)
Honnêtement, je n'ai jamais réussi à mettre cela en place en gagnant (même dans une stratégie full puits + Assur) parce qu'une 2ème ziggourat (dont tu es "libre" du timing de placement) te donne pas mal de flexibilité (et de plans B parce que bon tu as des adversaires). Maintenant je ne désespère pas d'y arriver (mais cela suppose de faire les hauts dignitaires d'Assur dans les 2 dernières ères et le max de puits) mais pour le moment je me suis toujours rabattu sur du 2 ziggourats au final.
première partie ce w/e, ce jeu tient toutes ses promesses, calculatoire avec une petite part de hasard, des avantages à être premier joueur mais contrebalancés avec des inconvénients, encore un bon jeu Ystari.
Va falloir quelques parties pour le situer mais pour l’instant je dirais entre Ys et Amyitis niveau qualité et difficulté.
Quelques remarques sur Assyria. J’ai intitulé mon avis: “un jeu coupé en deux ?” et comme c’est surtout une première impression, je me permet de le poster à fois dans les avis et dans le forum. L’accroche est sans doute étrange mais elle est celle qui me semble le mieux résumer les premières impressions que j’ai de ce jeu. C’est quand même plus parlant que “Quand t’es dans le désert (depuis trop longtemps)” un temps envisagé.
Assyria, donc. J’avais beaucoup aimé Oltre Mare du même auteur, j’étais donc tout naturellement enchanté à la perspective de jouer à celui-là. Surtout, quelque chose (quelque chose qui m’échappe) m’attirait franchement dans ce jeu et c’est d’ailleurs une des seules nouveautés que j’ai acheté cette année. Le matériel et le plateau de jeu assez arides me plaisaient beaucoup de même que cette idée de nomadisme, les couleurs terreuses et ensoleillées ainsi que ces petites huttes échappées de la version préhistoire de Carcassonne. Je crois également que ce que l’on m’avait raconté sur le forum de cette histoire et de ce mécanisme de nomadisme et de crues me laissait entrevoir quelque chose de nouveau et d’excitant. Hélas, à ma grande déception si le jeu me semble très bon et me donne vraiment envie de l’explorer il semble en passe, dans mon entourage, de devenir un jeu maudit. Le genre que l’on respecte et que l’on évite. Mais cela reste à confirmer ou, disons, infirmer.
Ai-je vraiment joué à Assyria, d’ailleurs ? Pour être honnête, je ne crois pas. Je veux dire: peut-on décemment écrire sur ce jeu sans jamais avoir utilisé les puits ? Peut-on en dire quelque chose si on ne l’a pas exploré sur plusieurs parties ? Je ne crois pas. C’est la position que j’ai tenu jusqu’à présent. C’est pourquoi que je ne parlerai pas vraiment ici d’Assyria mais plutôt de pourquoi j’ai peur que les gens ne veuillent pas y rejouer avec moi. Et de deux ou trois autres choses. Je reviendrais avec plaisir éditer cet avis si j’ai l’occasion d’en refaire quelques parties. Je me demande cependant si j’arriverais à le replacer ou si on ne risque pas de me dire: “Tu ferais pas plutôt un Endeavor ?” Vous savez comment ça se passe en ces temps d’abondance.
Voilà l’histoire. En tout et pour tout, j’ai fait trois parties. La première dans ma tête en lisant les règles (j’étais perdu.) Nous avons ensuite fait un début de partie à deux qui s’est interrompue, cassée serait un terme plus juste, au moment de l’intrigue à Assur. C’est assez rare pour être noté que ma copine rejette à ce point un jeu sans l’amener jusqu’à la fin de la partie. La dernière fois, c’était Metropolys. Mauvais présage. Ensuite, nous avons fait une partie à trois, qui me semble être la meilleure configuration. C’était une partie de découverte, la première pour nous trois, histoire de découvrir les règles et les orientations générales du jeu. Au départ désireux de connaître cette nouveauté, mes camarades furent au final mitigés, pas très enthousiastes et comme on dirait “c’est un Godard” dirent “c’est pas le meilleur Ystari”. Le jeu n’a pas forcément été mal reçu. Cependant, les premières remarques que j’ai entendu autour de lui concernant sa supposée abstraction, son caractère incompréhensible, pénible, calculatoire, austère, désincarné m’ont surpris. Bien qu’en partie d’accord, je me demandais pourquoi on ne voyait que ça. Et pas le reste.
J’ai parlé d’un jeu coupé en deux. Par la suite, je parlerai souvent de ce jeu comme étant en deux parties. C’est impropre, car en fait les deux sont entremêlées. Mais, cependant, cela me semble bien rendre mon impression. A savoir que j’ai du mal à ressentir Assyria comme un ensemble cohérent et linéaire: pour moi c’est plutôt comme un jeu plein de cassures, de ruptures de rythme et de ton. D’une part, cela tient à ce qui pourrait apparaître comme le manque de continuité de l’ensemble entre ce que je présenterais comme une première partie et une deuxième partie. D’autre part cela tient aussi au fait que j’ai l’impression quand je joue à Assyria que l’on me raconte une histoire qui se perd dans les détours, qui passe sous silence des faits importants et qui une fois qu’on est censé être se trouver à l’acmé nous donne l’impression d’être embourbés dans les sables mouvants: on ne sait plus d’où l’on vient ni où l’on va ni si, c’est le plus grave, si on a vraiment envie d’y aller. ( A la relecture je me dis que mon écrit doit produire le même genre d’impressions, tant il est composite.)
La première partie, donc, commencerait au moment où l’on pioche la carte développement, se poursuivrait dans la recherche de nourriture, inclurait la construction de zigourrats et de puits, la famine , et se continuerait jusqu’à la résolution des effets de la crue. Pour être clair, ces moments là sont pour moi une pure réussite, un chef d’oeuvre ludique. C’est subtil, fin, profond et “incarné.” On est transporté, on y est vraiment. La deuxième partie est celle qui concerne l’intrigue politique et religieuse. C’est toute cette deuxième partie – à l’exclusion de la construction des zigourrats – qui est la plus gênante. Elle introduit comme une cassure: on passe de quelque chose de très bien “incarné” (le nomadisme, l’installation, les crues, la nourriture) a des calculs d’apothicaires du genre vous marquez un demi point par bosse de chameau qui se trouve dans l’oasis. J’exagère à peine. L’articulation géniale existant dans la première partie entre thème / mécanisme / matériel/récit est beaucoup moins présente, voire inexistante. Quelque chose s’effondre, ou s’enfonce, ou s’écrase, ou que sais-je, à ce moment-là. L’histoire est bien moins “rendue”, c’est comme un brusque et brutal retour à la réalité, une rupture. Le plus embêtant c’est que après la première crue, une fois qu’on a fait nos petites affaires, il faut y retourner et on y croit moins. Comme si quelque chose s’était cassé. Le rythme induit est donc particulier entre des moment de mouvement et d’autres où l’on est statique ce qui vient redoubler le fait que la première partie est très compréhensible alors que la deuxième est hermétique. Plus gênant, alors que ce rythme aurait pu faire partie de l’histoire – la civilisation rythmée par les crues qui sont des moments de pause et de repli – on a plus l’impression qu’il s’impose comme une nécessité mécanique. La couture est un peu trop apparente à cet endroit-là alors que par ailleurs, le jeu est très subtil.
La première partie est géniale et inventive puis au moment des crues, on retombe dans le commun, le banal et le presque pénible. A ce moment là on n’y est plus du tout. Je n’ai pas l’impression de faire de l’intrigue politique pas plus que je n’ai l’impression de faire d’ offrande religieuse. Pire, je ne vois pas de différence entre les deux – ce qui pourrait être finalement assez réaliste – et je ne comprend pas pourquoi ça se passe au moment des crues. Il ne manque sans doute pas grand chose, une monnaie réelle plutôt qu’un échelle, une petite histoire, des noms de temples ou de dignitaire (le gros, le petit, le moyen, ça le fait moyennement), le sens du gain que l’on obtient (pourquoi le petit me donne une charrue et pourquoi d’ailleurs la charrue me donne du sel ?) Est-ce que vous voyez ce que je veux dire ?
Je ne suis assurément pas un acharné du réalisme, dans le jeu pas plus qu’ailleurs. Peu m’importe que dans Assyria la charrue donne du sel qui permettra de nourrir un peuple du désert. L’important n’est pas là. Je sais bien qu’on est dans le jeu, dans la représentation, dans la mise en scène, donc que le réalisme n’est pas de mise, mais je reste néanmoins en général attentif au récit et à la cohérence de l’ensemble. Des jeux entièrement abstraits au thème absent – comme Justinian ou Carolus Magnus – ne sont pas pour me déplaire car s’ils ne me racontent rien, me font vivre une expérience peu commune. A la réflexion d’ailleurs, ce qui se passe au moment des crues n’est pas plus abstrait que, au hasard, la caravane d’Yspahan. Par contre, je pense être un peu obsédé de cohérence. Je l’avais noté dans une discussion sur Dominion au niveau des graphismes: je préfère un jeu où le style graphique me déplait mais où il est uniforme. Quelque chose du même ordre s’est opéré pour Assyria. J’aurais préféré soit qu’il poursuive sur sa lancée du début où qu’il se pose dès le départ comme un jeu plus abstrait. Ainsi, la deuxième partie n’est pas forcément ratée, elle est juste trop différente. Sans doute que cela m’est propre mais la dichotomie existant entre les différentes parties du jeu me gêne dans mon plaisir.
Le melting pot fonctionnait mieux pour Oltre Mare dont l’ambition semblait de vouloir greffer le cerveau de Bohnanza sur le corps de Méditérannée. Là quelque chose de cette greffe opère moins, si je puis me permettre. Il y a comme un rejet. La bête n’est pas domestiquée. Pour prendre une comparaison absurde, cela donne un peu l’impression de regarder un film aurait été commencé par un réalisateur contemplatif (par exemple “Le nouveau Monde” de Terence Malick) et fini par le mec qui a fait Independance Day. Voyez…
C’est d’ailleurs comme si cette phase venait contaminer tout le jeu qui, dans notre groupe de joueurs passe pour un jeu abstrait où il faudrait tout calculer. Comme je le disais plus haut, je suis toujours étonné de cette remarque. Pour moi, d’une certaine manière, à sa façon, Assyria est un jeu léger, aérien. En effet, il y a suffisamment d’imprévisibilité (hasard des cartes, des mouvements de l’adversaire) pour nous empêcher, heureusement, de tout contrôler. Comme le disait joliment Grunt, Assyria est un jeu de plans B. Il faut se ménager le plus de possibilités de mouvements, de retrait, de temporisation, d’opportunisme. Garder un peu de nourriture par exemple. Tout cela est d’ailleurs cohérent avec le fait que l’on se trouve dans le désert. Comme le fait que l’on ne sache pas trop où l’on va, qu’on n’en voit pas la fin, et qu’on ait pas assez de tout. Enfin, l’interaction y est très directe ce qui n’est pas pour me déplaire. Bien sûr, pas plus qu’il n’y a de monstres marins il n’y a de rayons lasers pour détruire les zigourrats de l’autre, mais néanmoins, l’occupation de l’espace, de la nourriture, la gestion de l’ordre du tour est propice à bien s’empoigner. Les rapports sont rudes comme le milieu, comme l’époque.
Cette réserve étant faite, j’ai vraiment trouvé le jeu excellent. Je l’ai même préféré à Yspahan que j’adore pourtant. Sans doute parce que yspahan, comme Endeavor après lui fait figure de premier de la classe. Le beau gosse qui plaît aux filles, doué en mathématique et au handball, doté d’un bon relationnel, sans failles. Assyria serait plutôt lui le petit génie qui gâche son talent, celui qui n’est bon que par fulgurances, par éclats, mais qui se vautre. Et j’ai plus de sympathies pour ceux-là.
Loin d’être un Ystari mineur, ou commun ou banal, comme il a parfois été présenté, cet opus me semble plutôt être le produit de la rencontre de Ornella (la manière de réarranger avec goût des choses milles fois goutées ?) et d’ Ystari (le réglage au poil de chameau près, le sérieux, l’aridité du matériel ?) Je serais d’ailleurs intéressé d’en savoir plus sur la conception de ce jeu. Ce qui a été ajouté, rejeté, ce qui est le fruit de compromis, etc. Car, parfois fructueuse, parfois ratée, cette rencontre n’en est pas moins passionnante. Au final, parmi les nouveautés, c’est un de ceux que j’ai le plus envie d’explorer.
Reste que j’ai beaucoup aimé sans doute parce que depuis Noël j’ai replongé dans les échecs et que ça change un peu le rapport à l’abstraction et au calcul des possibilités stratégiques. Sans doute aurais-je été beaucoup plus dur à une autre époque. Reste aussi que je développe parfois un enthousiasme un peu démonstratif et délirant pour des jeux sur lesquels on passe un peu rapidement, qui se font un peu vite cataloguer.
Je suis assez d’accord pour dire que le “thême” de ce que tu appelles la “deuxième partie” du jeu est mal ( voir pas) rendu.
Maintenant je ne suis pas d’accord pour dire que le jeu est coupé en 2 au niveau des mécanismes: c’est justement cette “seconde partie” qui permet la diversité, la réflexion, et l’adaptabilité à la situation, bref ce qui rend le jeu intéressant et pas automatique.
Pire encore, l’imbrication se fait même au niveau des huttes et pas seulement au niveau de la monnaie: les fins de parties ou tu n’as plus de huttes pour pouvoir intriguer malgré la monnaie pour le faire demandent de sacrifier son expension pour pouvoir se positionner chez les dignitaires.
Maintenant, thématiquement, cette intrigue nous laisse de marbre. Mais ludiquement, c’est une vraie réussite.
Un bijoux de profondeur hyper-accessible.
Néanmoins je n’y ai joué que à 2.
calculs d'apothicaires du genre vous marquez un demi point par bosse de chameau qui se trouve dans l'oasis
Je crois avoir eu sensiblement la même réaction : un jeu où tu gagnes des points pour acheter des points pour dépenser des points pour gagner des points avec des ratios différentiels en fonction du degré d'hygrométrie.
Ceci dit, il me semble que toute la possibilité du jeu de batir une esquisse de stratégie à long terme repose sur la gestion de la piste des chameaux. L'avantage des chameaux, c'est qu'ils te laissent libre de tes choix, contrairement à un enième jeu de ressources sans doute plus thématique mais ou tu te trouve contraint de faire ton jeu avec ce que tu récoltes.
1 chameau = 1 chameau =X,X points de victoire. Sachant que ce X va dépendre des choix que tu va faire à coté, donc de ta stratégie d'ensemble. (constrire de multiples bases de ziggurat, c'est cher mais ça se compense avec les offrandes aux dieux par ex).
Je suis effectivement pas fan de la piste des dignitaires et de la piste des offrandes aux dieux mais du point de vue de l'équilibrage de l'ensemble (et de la viabilité des multiples stratégies) ils sont indispensables.
Par ailleurs je remplacerais pas la piste de chameaux par un ennième assortiments de bouts de cartons sensés représenter de la monnaie. Assyria est sans doute un jeu aride en contrepartie de quoi il est excellent dans le rapport légèreté du matos / densité de jeu.
Personellement, j’en ait fait une petite dizaine de parties, et je ne m’en lasse toujours pas.
J’y ais joué à 2, 3 et 4 joueurs, en j’avoue ne pas voir de réelles différences. C’est en ça que le jeu est très flexible. On a juste un peu plus de stress à 4 car notre tour vient plus tard. Mais pour ce qui est des mécanismes du jeu, ça revient à peu prêt au même. Même pour l’intrigue, la carte bonus, permet à tout le monde d’y aller et des rapporter suffisamment de points par rapport à notre investissement.
Effectivement, ce jeu est calculatoire, mais tellement accessible, qu’il est facile d’initier de joueurs avec ce jeu. On approfondira la stratégie après avec eux si il ont envie.
Je ne vois pas spécialement de différence entre les 2 phases donc tu parles.
Je calcul autant pour construir/agrandir mes ziggourat, que pour les intrigues.
Niveau stratégie, elles se valent toutes. Il y a de très bon articles la dessus, ici http://alacarte.over-blog.fr/categorie-11132941.html
J’ai vu gagné avec 2, 3 ou 4 ziggourat, mais effectivement jamais avec une seule (mais je sais pas si j’ai déjà vu quelqu’un la tester). Après il faut choisir celle qui nous va le mieux. Personnellement je n’arrive à gagner, que avec 3 Ziggourat, et une stratégie assez mixte.