Aurevoir ...

jmguiche dit:P. Phal : vous n'etes pas un méchant, vous etes vif et tétu comme une mule.


C'est vrai qu'il est têtu, je dirais même borné.

Mais comme je suis tout aussi bourrique que lui quand je veux je comprend sa position.

Si monsieur Phal n'est pas d'accord avec ce qu'on lui propose c'est son droit et s'il ne veut pas en entendre parler inutile de lui casser les pieds pour imposer son point de vue.

Il n'y a rien de plus agaçant que quelqu'un qui veut vous imposer quelque chose contre votre volonté même si c'est fait avec les meilleures intentions du monde, croyez-en une bourrique de concours. :wink:
jmguiche dit:Ca, c'est pas "parano", ca c'est à "etre humain".


Ben y a pas etre humain dans le Robert. Par contre paranoia y est. :twisted:

:wink:
Monsieur Phal dit:Votre acharnement, et celui de Monsieur Shootar, à vouloir que je me sente coupable/responsable aussi.

:shock: :shock: :shock:
Où me suis-je acharné à vous traiter de coupable/responsable (quelle est la définition de paranoïaque déjà :D) ? J'ai juste réagi aux propos de 20100 que je trouvais manichéens et péremptoires.
J'ai aussi suggéré que pour en arriver à une telle situation, il faut être deux.
Maintenant, si vous voulez, on peut reprendre tout l'historique point par point. Mais je suis certain que cela n'a plus d'intérêt et lassera tout le monde, moi le premier.
Lorsque deux personnes se percutent (EDIT: de face) dans la rue, elle s'excusent, en rigolent et tout s'arrête. Celui qui pense que la faute en incombe uniquement à l'autre a souvent tort.
Je m'étonne aussi que vous ne puissiez douter que, par certains égards, votre attitude et vos propos aient pu, à un moment ou un autre, envenimer la situation. Ce qui n'enlève rien aux torts que peut avoir Romain (effectivement, je ne cautionne pas la politique de la terre brûlée), ni au droit de gérer TT comme vous le souhaitez, ni à toutes les qualités que la majorité d'entre nous vous reconnaissent.
J'en resterai là. La situation est assez grotesque comme celà et je n'y ai que trop contribué.

Cher Monsieur Shootar,

Quand je marche sur un trottoir en regardant droit devant et que quelqu’un me percute dans le dos parce qu’il courait la tête baissé, je ne me sens pas responsable ! Maintenant, vous pouvez bien sûr penser et m’expliquer que j’ai tort de penser que le seul responsable est celui qui court la tête baisser sans regarder où il va…

Shootar dit:J’ai aussi suggéré que pour en arriver à une telle situation, il faut être deux.
Maintenant, si vous voulez, on peut reprendre tout l’historique point par point. Mais je suis certain que cela n’a plus d’intérêt et lassera tout le monde, moi le premier.


Et bien sûr me dire aussi que tout ça n’est pas m’expliquer que j’ai une part de responsabilité :lol:

J’ai le même discours, la même démarche depuis le début, et je ne fais que répéter inlassablement les mêmes choses, si le grotesque est de répondre aux gens quand ils me prennent à partie et d’avoir des convictions que je n’oblige personne à partager, soit…

Bien à vous de cordialement

Monsieur Phal

il me semble que les intervenants principaux de ce fil se sont exprimés et qu’ils ont souhaité conclure.

Il serait bien (de l’humble avis d’un petit nouveau) que ça s’arrête là pour le bien de tous et de ce forum… :oops:

Un petit conte zen alors :

La barque et les deux moines

Qui dira la saveur du zen,
la sagesse de ces contes
simples comme l’évidence,
libres comme la vérité.

Un soir d’automne, le brouillard épais masque presque entièrement la rivière Saïtama. Un moine et un jeune novice s’apprêtent à la traverser sur une barque légère. Les flots sont jaunes et tumultueux, un vent violent s’est levé :
« Maître, je sais bien que l’on nous attend au monastère de Rishiko, mais ne serait-il pas prudent de remettre notre visite à demain ? Nous pourrions manger une boulette de riz, et dormir dans la hutte de branchages que j’aperçois là bas.
– … »
Son maître gardant le silence, Kasuku se résigne à embarquer, et commence à ramer. On ne voit de l’autre rive qu’une ligne sombre perdue dans le brouillard.
« Maître, la rivière est large et le vent qui souffle par le travers nous empêche d’avancer à notre gré.
– … »
Une dizaine de minutes s’écoulent, qui semblent une heure à Kasuku. Il rame en silence, le coeur inquiet.
Soudain, lâchant les rames, il se dresse le bras levé :
« Maître, maître ! Regardez cette barque qui émerge du brouillard, elle vient droit sur nous !
– …
– Maître, elle va nous heurter, nous éventrer, nous allons chavirer. Ohé, du pilote ! Oh, oh, du pilote ! Si je tenais celui qui gouverne cette embarcation je lui assènerais un bon coup de bâton qui lui ôterait l’envie de mettre en danger de saints hommes comme nous…
– …
– Maître, voyez la barque approche, elle va nous éperonner de sa proue effilée. J’aperçois maintenant le pilote, ce timonier assassin dort paisiblement !
– …
– Maître, la barque est tout près ! Par Brahma ! Que ce pilote criminel soit maudit, que le cycle de ses renaissances s’étende sur un million d’années, qu’il soit chacal, hyène, rat, punaise… »
À l’instant du choc, un remous opportun, ou une manoeuvre habile du maître écarte le danger, et les deux barques indemnes poursuivent leur chemin.
« Tu as observé l’intérieur de la barque, Kasuku ? demande le moine zen.
– Oui, maître. La forme que je prenais pour un homme était un sac de grains.
– Dis-moi Kasuku, contre qui t’es tu emporté ? »

Ahhh les conte philosophiques…
Allez j’en mets un aussi pour monsieur phal :wink:

Le père, l’enfant et l’âne

Un enfant demande à son père :
- Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?

Alors le père demande à son fils de le suivre ; ils sortent de la maison, le père sur leur vieil âne et le fils suivant à pied.
Et les gens du village de dire :
- Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d’aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

Le lendemain ils sortent de nouveau, le père ayant installé son fils sur âne et lui marchant à côté. Les gens du village dirent alors :
- Quel fils indigne, qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Le jour suivant ils s’installent tous les deux sur l’âne avant de quitter la maison. Les villageois commentèrent en disant :
- Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l’âne trottinant derrière eux. Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :
- Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C’est le monde à l’envers !
- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Arrivés à la maison, le père dit à son fils :
- Tu me demandais l’autre jour le secret du bonheur. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un pour y trouver à redire.

Fais ce qui tu aimes et tu seras heureux !

BdC

Si je synthétise vos deux comtes : le novice ne doit pas s’occuper de ce que raconte le maitre et le père de l’enfant devrait se demander qui il tente de convaincre. :roll:

Monsieur Phal,

Si vous vous êtes senti offensé par mes propos, je men excuse, je ne voulais pas vous insulté en disant comment j’avais été humilié par votre façon de vous exprimer. Je ne voulais que donner des explications sur mon départ.

Bien à vous de cordialement,

PS J’apprécie que vous avez enlevé ce sujet de la cage.