Beyond the Monolith

Evidemment qu’on n’a pas le choix du nb de figs, c’est défini par le scénar.
Mais le système permet sur le papier d’affecter jusqu’à 7 tuiles à une seule figs, ou jusqu’à 1 million de figs à une seule tuile.
Ce sont des choix de game design et de scénarios.
Pour Batman le max de figs est de 4 par tuile (because toutes les figs de troupaille sont au nombre de 4).
Si demain Monolith décide de faire un mode Versus pour Conan, il est possible sur le papier d’affecter 15 pirates à 1 seule tuile, si le créateur du scénar en a envie et crée un scénar qui tient la route, fun, équilibré, etc (because il y a 15 figs de pirates dans la core box Conan, de mémoire). Je ne dis pas que c’est pertinent d’affecter 15 figs à une seule tuile (si ça se trouve ça rend la création d’un scénar correct trop difficile voire impossible). Mais le système le permet. 

Redirecting...

Il y a le nombre de fig par tuile sur la tuile, ainsi que le coût de recrutement :

A Troop tile represents a group of identical miniatures, each having only one life point. How many miniatures are represented by the tile is indicated by the tiles Characteristic stat.


Recruitment cost is another evolution of the THS system. Building your dream team is now restricted by each scenario’s recruitment cost budget. During team selection you have to consider not just whether your team can handle the mission objectives but whether you can afford to include certain team members.

Les points dont ils parlent sur la vidéo sont sûrement pour schématiser entre les univers, mettre une graduation.
Sûr que dans l’exemple donné, des barbares huilés en slip face aux Avengers… ça pèsera pas lourd.

Roolz dit :
LEauCEstNul dit :
Je ne connais pas assez bien le THS pour savoir aussi comment il "s'échelonne" : est ce qu'avec 2 figs vs 2 figs, ça marche encore, est ce qu'avec 8 fig vs 8 figs ça fonctionne "mieux", est ce qu'avec 50 figs vs 50 figs ça marche encore ?

Vous diriez que c'est vers quel nombre d'unités (fig unitaire ou bataillon, peu importe) que le THS brille le plus ? 10 vs 10, par là ? (**)
 

Disclaimer : Je n'ai pas pas le mode versus Batman, mais bon je connais qd même le principe.

En fait tout est piloté par le nb de tuiles sur le plateau OL. C'est pas tant le nb de figs. Et on peut mettre tuiles 8 max (idem pour Conan et Batman). Sachant que sur les 8 tu as une tuile "évènement", ça te laisse 7 tuiles "bonhommes" maximum. Une tuile peut représenter 1 fig ou 100 figs (sur le papier). Donc 6vs6 tuiles ou 7vs7 tuiles c'est bien (sur le papier il est possible de créer une scénar sans tuile évènement, donc faire du 8vs8, mais la tuile évènement c'est fort sympa).
Sur le papier, en mode Versus 2 figs vs 2 figs ça marche, voire même 1 vs 1 (vu qu'il possible d'avoir plusieurs tuiles pour une seule fig, chaque tuile permettant un type d'activation différent de la fig).
Et pareillement sur le papier c'est possible de faire 7 escouades de 100 figs.
Mais les facteurs limitants principaux sont la taille du plateau (poser 2 figs sur un plateau normal, bah ça va être bien vide ; et pour poser 1400 figs faut un plateau de 40 mètres carrés), et l'ergonomie (bouger 2 figs c'est chiant, et bouger 1400 figs c'est super chiant).
Après, ll faut que le scénar soit bien foutu, mais c'est une autre histoire.

Ok merci beaucoup!

Et... 8x plusieurs étages, ca le fait pas du tout ?

LEauCEstNul dit :
Roolz dit :
LEauCEstNul dit :
Je ne connais pas assez bien le THS pour savoir aussi comment il "s'échelonne" : est ce qu'avec 2 figs vs 2 figs, ça marche encore, est ce qu'avec 8 fig vs 8 figs ça fonctionne "mieux", est ce qu'avec 50 figs vs 50 figs ça marche encore ?

Vous diriez que c'est vers quel nombre d'unités (fig unitaire ou bataillon, peu importe) que le THS brille le plus ? 10 vs 10, par là ? (**)
 

Disclaimer : Je n'ai pas pas le mode versus Batman, mais bon je connais qd même le principe.

En fait tout est piloté par le nb de tuiles sur le plateau OL. C'est pas tant le nb de figs. Et on peut mettre tuiles 8 max (idem pour Conan et Batman). Sachant que sur les 8 tu as une tuile "évènement", ça te laisse 7 tuiles "bonhommes" maximum. Une tuile peut représenter 1 fig ou 100 figs (sur le papier). Donc 6vs6 tuiles ou 7vs7 tuiles c'est bien (sur le papier il est possible de créer une scénar sans tuile évènement, donc faire du 8vs8, mais la tuile évènement c'est fort sympa).
Sur le papier, en mode Versus 2 figs vs 2 figs ça marche, voire même 1 vs 1 (vu qu'il possible d'avoir plusieurs tuiles pour une seule fig, chaque tuile permettant un type d'activation différent de la fig).
Et pareillement sur le papier c'est possible de faire 7 escouades de 100 figs.
Mais les facteurs limitants principaux sont la taille du plateau (poser 2 figs sur un plateau normal, bah ça va être bien vide ; et pour poser 1400 figs faut un plateau de 40 mètres carrés), et l'ergonomie (bouger 2 figs c'est chiant, et bouger 1400 figs c'est super chiant).
Après, ll faut que le scénar soit bien foutu, mais c'est une autre histoire.

Ok merci beaucoup!

Et... 8x plusieurs étages, ca le fait pas du tout ?

Tu veux dire louer un immeuble de 8 étages pour jouer, avec une partie à chaque étage ? Si tu as l'argent, dans une grosse agglomération ça doit pouvoir se faire...

@rools: par étage, je me demandais s’il était possible de mettre des tuiles sur des tuiles. L’idée est un peu bizarre, je veux bien l’entendre.

@adrien: ce me fait penser a autre chose : si une tuile indique “arbalétriers”, les arbalétriers sont obligés d’être tous dans la même case ? Parce 7 type de troupe différentes permettrait de faire de la masse assez facilement dans ce cas. On bouge chaque arbaletrier, et on resoud, puis on passe aux tuile de l’adversaire qui active, disons, chaque tuile de cavalerie, etc.

LEauCEstNul dit :@rools: par étage, je me demandais s'il était possible de mettre des tuiles sur des tuiles. L'idée est un peu bizarre, je veux bien l'entendre.

@adrien: ce me fait penser a autre chose : si une tuile indique "arbalétriers", les arbalétriers sont obligés d'être tous dans la même case ? Parce 7 type de troupe différentes permettrait de faire de la masse assez facilement dans ce cas. On bouge chaque arbaletrier, et on resoud, puis on passe aux tuile de l'adversaire qui active, disons, chaque tuile de cavalerie, etc.

Physiquement c'est possible. Comme c'est possible de mettre de l'huile sur une tartine beurrée. Mais dans les deux cas ça sert à rien.

Honnnêtement, le mieux c'est que :
- tu lises les régles de Conan (ou Batman), ou que tu regardes une vidéo de partie. Y'en a plein le web.
- ou mieux, tu trouves qqun qui ait Conan ou Batman, et que tu joues en tant qu'OL (ou en VS à Batman).
Là on va passer 100 ans à t'expliquer la méca, alors que ça prend 5 minutes en jouant.
 

Bonjour à tous

Petit test personnel de “Bataillesde Westheros” en mode Monolith…

Tout est prêt y a plus qu’à tester ce soir…


Des éclaircissements de Fred (publié sur FB)

700 000 $
- Pourquoi le seuil de financement de la campagne Conan Beyond The Monolith, sera-t-il aussi élevé ? -
C’est de notoriété publique, le seuil de financement affiché à l’occasion des grosses campagnes KS ne correspond jamais aux besoins réels de financement du projet en question. Pour des raisons markéting, cette somme est systématiquement réduite à une portion congrue du montant qui véritablement permettrait de payer le développement, l’illustration, la sculpture, la fabrication, l’acheminement, et les différentes taxes et royautés nécessaires à la complétion du projet. Nous le savons d’autant mieux que nous sommes nous-même coutumiers de l’usage de cet artifice (sur Conan, le seuil affiché ne représentait pas le dixième de nos besoins réels. Sur Mythic Battles, il n’en représentait pas le quinzième. Sur Batman, il devait en représenter au mieux le quart…). Cela permet aux éditeurs (dont nous-même) de pouvoir s’enorgueillir d’un communiqué enthousiaste (« Awsome, Financé en moins de 5 minutes » ) du plus bel effet, alors que derrière le rideau, toute l’équipe croise les doigts en suant à grosse gouttes pour que le jeu parvienne enfin (idéalement avant la fin de la campagne) à atteindre son véritable point mort. Cela permet surtout de lancer la machine à Stretch Goals, en faisant croire aux pledgers que ceux-ci sont des cadeaux offerts grâce à la décroissance des prix unitaires de production (quand bien même cette décroissance ne commenceraient à être sensible qu’une fois le seuil annoncé franchi de dix ou vingt fois son montant). Le problème de ce subterfuge markéting, est qu’il encourage fortement les porteurs à s’engluer dans des projets non finançables, en se raccrochant à l’espoir tout hypothétique et rarement vérifié, d’un Pledge Manager qui se révèlerait aussi lucratif que la campagne s’est montrée poussive. Mais ce faisant, les éditeurs prennent le risque de se lancer dans une dangereuse cavalerie financière. En effet, ils récoltent l’argent des pledgers durant la campagne, en partant du principe que « ce qui est pris n’est plus à prendre ». Seulement, « ce qui est pris » est parfois loin d’être suffisant, et les éditeurs n’ont absolument aucune assurance que le PM permettra de combler l’écart de revenu. Aussi, à l’occasion du lancement de la gamme Beyond The Monolith, j’aimerais rompre avec cette pratique et fixer, peut-être pour la première fois, un seuil correspondant aux véritables besoins de financement du projet et de sa continuité.
-Pourquoi fixer un seuil correspondant aux réels besoins de financement du projet ?-
Parce que je vise le long terme. Parce que la campagne Conan BTM a pour ambition de lancer la gamme Beyond The Monolith. Elle dépasse la question de Conan lui-même. Aussi, afin de réussir ce lancement (c’est-à-dire d’installer le plus de «Core System» chez nos pledgers) nous avons choisi de jouer à son maximum la carte du prix (c’est notamment pour jouer cette carte que nous recyclons une grande partie de nos anciens moules). Nous faisons donc le pari que des prix compressés à leur maximum seront surcompensés par une proportion plus importante encore de pledgers. Nous jouerons donc réellement, pour la toute première fois, le jeu du « tout ou rien » prôné par la plateforme. A quoi bon en effet nous lancer dans un projet de cette envergure s’il ne recevait pas l’adhésion d’une partie suffisante de notre communauté et de celles de nos partenaires ? Donc, En fixant un seuil aussi haut, nous nous interdisons de prélever l’argent des pledgers tant que celui-ci ne sera pas suffisant pour nous assurer qu’outre la complétion du projet lui-même, nous serons aussi en mesure d’en assurer la pérennité (c’est à dire de dégager une marge suffisante pour investir dans la suite de BTM). De ce point de vue, le Pledge Manager ne doit être qu’un « plus », mais certainement pas une condition nécessaire.
-Le constat d’une évolution des pratiques de pledge qui alimente le risque de cavalerie financière.-
Au cours des cinq dernières années j’ai passé énormément de temps à observer et à discuter avec mes pairs de l’évolution des pratiques des pledgers. Toute une partie de ces évolutions n’est mesurable qu’au travers de données qui ne sont malheureusement visibles que des seuls porteurs de projet.
La première tendance forte observée est l’explosion du taux de dépledge au fil des campagnes, lequel est un bon indicateur de la croissante Volatilité des pledgers. Nous arrivons aujourd’hui à de tels chiffres qu’il n’est plus rare, lorsqu’une campagne termine avec 10 000 pledgers, qu’en réalité 15 000 personnes y auront adhéré, mais 5 000 seront finalement revenus sur leur engagement. Ces variations demeurent relativement invisibles pour le public qui n’a accès qu’aux chiffres nets, mais sont une véritable angoisse pour les porteurs de projets qui se retrouvent face à des pledgers qui, de plus en plus, papillonnent d’une campagne à l’autre au gré d’une offre désormais pléthorique.
La seconde tendance forte est celle du Late pledging, qui remet à plus tard le moment de la transaction. On constate d’ailleurs que nombre de late pledgers se retrouvent dans les dépledges de la campagne elle-même et font le choix de n’y revenir qu’ultérieurement. Le late pledge a un avantage aussi bien pour le backer (le décalage dans le temps du paiement) que pour le porteur (le taux de prélèvement sur le chiffre d’affaire des PM est généralement moindre que celui de KS), mais possède aussi un effet pernicieux majeur : l’absence de visibilité sur la réalité des comptes au moment ou sera prélevé l’argent du KS.
Ces deux tendances fortes concourent à l’opacité croissante des résultats financiers réels des campagnes, en intensifiant drastiquement leur caractère virtuel (pendant la campagne) et spéculatif (entre la campagne et la clôture du PM). Or, ce caractère virtuel et spéculatif, est au principe même du risque de cavalerie financière. Pour autant, les pledgers sont difficilement blâmables : les seuils de financement facticement bas les encouragent dans leurs pratiques. En effet, les pledgers savent depuis longtemps maintenant que les Stretch Goals ne servent que de variables d’ajustement au rythme de la campagne (les gaps s’élargissent quand la campagne va bon train et se resserrent lorsqu’elle ralentit). Autrement dit et grosso modo, une fois le « seuil de financement » (sic) franchi, le plus ou moins grand nombre de backers n’a pour ainsi dire qu’un impact marginal sur l’offre globale finale. Ce qui implique, qu’il n’y a techniquement aucune espèce d’intérêt pour les backers à ne pas décaler au PM le moment de la transaction. Ainsi, pour reprendre un exemple que je connais bien, Batman 2018, que nous ayons récolté 3M$ ou 8M$ n’aurait strictement rien changé à la quantité de SG relâchés (tous étaient déjà prets et avaient déjà leur place dans la boite)… et donc à ce qu’auraient reçu les joueurs chez eux.
Le problème posé par le décalage de la transaction au moment du PM est que les porteurs qui ont le courage d’interrompre une campagne sous-financée, plutôt que d’en récolter l’argent, est bien rare. A la place, on voit fleurir les PM à rallonge ou à réouvertures multiples, lesquels ne seront définitivement clos qu’une fois la véritable capacité de financement atteinte… dans l’espoir, tout hypothétique, qu’elle finira par l’être. Aussi, la solution la plus simple pour remédier à ce phénomène délétère me semble être le rétablissement du seuil de financement pour ce qu’il est censé être : le montant minimal permettant, sans risque pour le pledger, la bonne complétion du projet.
- Mais alors pourquoi paradoxalement une campagne aussi courte ?-
Parce qu’à l’instar de la campagne de Claustrophobia, nous n’utiliserons pas le subterfuge des Stretch Goals. La valeur pour le pledger sera étirée à son maximum dès le jour 1. N’importe quelle bonification supplémentaire serait nuisible au bon équilibre économique du projet. Donc, plutôt que d’extraire à dessein une partie de l’offre pour la réintégrer au cours de la campagne sous la forme de Stretch Goals, nous jugeons qu’il est plus sain que cette valeur soit d’entrée de jeu intégrée à l’offre. Ce qui implique qu’il est inutile de faire durer artificiellement une campagne qui privilégiera le prix au détriment du show (nous serons bientôt en mesure de vous fournir un exemple d’offre).
-Le Deal avec les pledgers-
Le deal avec les pledgers sera donc le suivant : Pendant cette courte campagne (probablement 5 jours, peut-être une semaine, (au-delà tout le monde s’ennuierait) ), nous vous proposerons, au titre du lancement, les prix les plus faibles que le marché puisse offrir. Dans le même ordre d’idée nous offrirons à ceux qui pledgeront pendant le KS un « cadeau » (notez la présence des guillemets"). En contrepartie de quoi, nous attendons des Backers qu’ils jouent leur part du jeu, en nous aidant à passer ce seuil au cours du KS. Evidemment, les Frais de ports seront solidement établis en amont, afin de vous éviter tout risque de mauvaise surprise.
-N’est-ce pas trop de précautions ?-
Je suis parfaitement conscient du caractère contreproductif, en terme de business, de toutes ces précautions. Mais le fait est, qu’à ce jours, je n’ai aucune idée de ce que l’expérience BTM peut donner en terme de résultats, et je ne veux faire courir aucun risque à ceux qui m’auront fait confiance. En effet aucun jeu 1 VS 1 ne figure dans la liste des 25 plus gros KS (j’ai extrait les jeux de cartes de la liste pour me concentrer sur les jeux de plateaux avec figurines). Seuls deux jeux 1 VS ALL y figurent (Conan et Batman :wink:). Enfin, seuls quatre jeux Compétitifs-Multi-joueurs sont dans cette liste. Tous les autres (19/25 !!!) sont des jeux Coopératifs. Conclusion : Rien n’est donc encore gagné… mais au fond, n’est-ce pas ça qui rend le pari intéressant :wink: ?
Merci encore de m’avoir lu (et merci de m’avoir, encore, lu)
Fred Henry et l’équipe Monolith.

Dire qu’au début c’était “nul, mais honnête”. Maintenant c’est juste “honnête” ^^

Ouch, campagne de 5 jours ça fait court, y en a pas mal qui risque de la louper moi le premier, n’étant pas accro aux forums ou réseaux sociaux…

C’est vrai que j’aime bien 7 jours moi pour les campagnes ^^

Cette approche me parle.
Néanmoins, je me pose la question sur mon cas de figure: j’ai Batman versus. D’après ce que j’ai pu comprendre je n’ai donc pas besoin du core system.
L’univers Conan ne m’attire pas plus que ça donc si je saisis tout, cette campagne ne me sera pas destinée ?

Y’aura les règles génériques non ?

Sans aucun doute.
Mais les plateaux, les gemmes, … j’aurais à priori déjà tout ça.
Je pense que le core system se retrouvera sur de futures campagnes avec d’autres univers qui m’attireront plus.
Mais à la lecture du message plus haut, ces dernières dépendront du résultat de la campagne initiale.
Je suis réellement intéressé par cette réflexion de ré-utiliser du matos déjà acquis.
Néanmoins, quelle sera la proportion de gens comme moi ayant déjà le mode versus de Batman et/ ou attendant un univers qui les attire et quel impact sur la future campagne de Conan ?

Si les gars de Monolith passent par ici, qu’ils n’hésitent pas à venir répondre sur le forum consacré à la livraison du kit 1.5 de Mythic Battle.

Désolé pour le hors sujet, mais comme on crie visiblement dans un seau, il semble qu’ici soit the place to be pour être entendu.

Bon jeu à tous !

Merci Barbi pour les explications de Fred.

C’est un grand pari quand meme.

Toujours interessant ces paris de Monolith et de Fred Henry.

Je sais pas encore quelle forme ça prendra tout ça, et le prix que ça nous coutera, donc je sais pas si je vais pledger ça (Batman est deja dans le systeme 1V1 et MB:P est a mon sens tres bon tel qu’il est - de plus je n’ai ni Zombicide ni Cthulhu Wars) mais l’approche est bien expliquée en amont, donc ça évitera les commentaires/questionnements inutiles pendant le KS.

En gros : on est prévenu a l’avance (surtout pour la partie SG). Donc on adhere et on achete ou on pledge pas et on se plain pas. C’est clair.

Pit0780 dit :
FranHoiss dit :Hmm...
Et le THS?
Après 5 années d'existence officielle, est il toujours innovant?


Les gens ne cherchent pas forcement l'innovation. Ils peuvent aussi simplement apprécier un système qui leur plait.

 

++

Si c'était l'innovation qu'on aimait, ça ferait longtemps que le jeu de société serait complètement mort... 

Pourtant, l’innovation, la création, c’est bien ce qu’on recherche souvent quand on achète un jeu non ?
En tout cas, c’est ce que je recherche.
Et c’est ce qui fait que j’achète de moins en moins de jeux.

Cela ne m’empêche pas d’être fidèle à des systemes que je trouve réussis, memoire 44, pandémie, aventuriers du rail.

Mais le nième jeu du créateur allemand (façon de parler) qui me ressert un nouvel agencement de mécanismes usés jusqu’à la corde ou les ameritrashs qui donnent souvent tous les mêmes sensations, je suis de moins en moins client.

En même temps, au bout de 40 ans a s’intéresser au jds on devient peut être plus difficile.

A mon avis, une campagne trop courte est un risque. On peut la louper, hésiter avant de pledger…
Mais Fred connaît mieux que moi la structure d’engagement des pledgers que moi. S’il considère que les 5 premiers jours suffisent, il a sûrement validé le truc.